2265U08 – Audit Systèmes Informatiques
M. Jérôme BRZEZINSKI
Management Global – Gestion et Informatique
Formation à l’audit informatique
- Synopsis
Organisation des cours d’audit informatique
1/ Introduction – 11 janvier 2007
• La notion de risque
• Les types de risque
• Le management des risques
• Les risques liés aux systèmes d’information
• Impact sur la démarche générale
2/ Revue générale informatique – 18 janvier 2007
• La politique informatique
• L’organisation et les équipes du service informatique
• La configuration matérielle et réseau
• La cartographie applicative
• Les contrôles généraux informatiques
§ La gestion de la sécurité informatique
§ La gestion des changements informatiques
§ Le développement informatique
§ L’exploitation informatique
• Exemples
3/ Revue d’applications informatique – 25 janvier 2007
• Historique et insertion de l’application dans l’architecture globale
• Couverture fonctionnelle & dysfonctionnements
• Schéma des traitements et matrice de contrôle
• Identification des risques
• Approfondissement des risques identifiés
• Analyse des aspects « qualitatifs »
4/ Test informatiques – 1er février 2007
• Avantages des tests informatiques
• Situations amenant à procéder à des test informatiques
• Typologie des tests informatiques
• Démarche dans le cadre d’une mission CAC
• Les facteurs de réussite
• Présentation de l’outil « IDEA »
5/ Audit de la sécurité informatique – 8 février 2007
• Etat des lieux
• Continuité de service
• Confidentialité des informations et risques de fraude
• Risques d’erreur et de dysfonctionnement
• Méthode MARION
6/ Contrôle interne / SOX – 22 février 2007
• Contexte
• Démarche SOX
• Dimension Systèmes d’information
• Cas des processus externalisés
7/ Audit en environnement ERP – 15 février 2007
• Impacts des ERP sur les risques liés au SI
• L’approche spécifique d’audit des ERP
• Exemple de flux SAP
• La fraude et les méthodes de prévention de détection
8/ Examen – 8 mars 2007
• Questionnaire à choix multiple de type CISA
Introduction
Notion de risque
Définition
• Risque
« Danger, inconvénient plus ou moins probable auquel on est exposé. » (Larousse)
• Les implications directes
§ Risque pour qui ?
Rq : en fonction de l’activité (ex : industries, banques, etc.) et de la taille (ex :
régionale, nationale, internationale) des entreprises, les risques ne sont pas les mêmes.
§ Importance relative / impact ? ? Probabilité d’occurrence ?
Les concepts associés
• Risque
§ Fonction de la menace et de la vulnérabilité
§ Caractérisé par une probabilité et un impact
Un peu d’histoire
• De la perception de l’avenir…
§ Jusqu’à l’époque de la Renaissance, l’avenir est entre les mains d’une force supérieure, et l’homme agit dans une perspective d’éternité ;
§ La notion de « Progrès » bouleverse le rapport au temps : le présent est dorénavant occupé à construire l’avenir
• …A la perspective du risque
§ La théorie des probabilités date du milieu du XVIIème siècle (Pascal / Fermat) ;
§ En cinquante ans, les bases de la probabilité du risque sont posées, entraînant l’émergence des métiers de la finance, de l’assurance, etc. ;
§ La dernière pierre est posée au XXème siècle, avec la mesure du retour sur investissement, ouvrant la voie au « risk management ».
Les types de risque
Multiplicité des risques
• Risque pays
• Risque de taux
• Risque de crédit
• Risque de vol
• Risque d’approvisionnement
• Risque de change
• Risque social
• Risque environnemental
• Risque fiscal
Rq : fraude fiscale
Le risque fiscal est sous-estimé en France.
• Risque d’exploitation
• Risque de catastrophe Rq : inondation du 1910 à Paris
• Risque stratégique • Risque d’intrusion
Mode de classification Par type de menace :
• Risques de marché ? Risque de taux
§ Risque de change
§ Risque de crédit
§ Risque pays
• Risques stratégiques ? Risque d’image
§ Risque d’alliance
§ Concurrence
§ investisseurs
• Risques opérationnels
§ Risque d’approvisionnement
§ Risque social
§ Risque de malveillance
§ Risque fiscal
• Risques de catastrophe
§ Catastrophes naturelles
§ Risque juridique catastrophe boursière
§ Risque terroriste
Par moyen de protection :
Risque global
• Risque acceptable ? Risque social
§ Risque fiscal
• Risque couvrable
§ Risque de taux
§ Risque de cours
§ Risque de change
• Risque assurable
§ Risque de vol
§ Risque de catastrophe
§ Risque d’exploitation
• Risque diversifiable
§ Risque d’approvisionnement
§ Risque d’exploitation
La règle du « sur mesure »
• Il n’existe pas de classification universelle des risques, pas plus que de système de gestion prêt à l’emploi
• Chaque entreprise se doit de réaliser sa propre classification, en fonction notamment de :
§ Son secteur d’activité
§ Sa position concurrentielle
§ Son organisation
§ Etc.…
Par propriété pour l’entreprise :
Impact
Probabilité
Rq : « plan de secours » est le plan d’organisation et de réaction prévu en cas du risque concerné survenu.
Le management des risques
Démarche générale
• Stratégie
§ Définition et qualification des risques
§ Stratégie d’audit
• Evaluation des vulnérabilités
§ Evaluation de vulnérabilités
§ Plan d’action
• Moyens de protection
§ Mise en œuvre des moyens de protection
§ Plan de communication et de formation
• Actions de suivi
§ Mesure de la conformité
§ Plan d’audit
Stratégie de risque
Définition et qualification des risques :
• Identifier l’ensemble des risques
§ Inhérents à l’activité et au secteur
§ Propres à l’organisation
§ Etablir une classification (par impact, …)
§ Obtenir la validation de la Direction Générale Elaboration de la stratégie d’audit :
• concevoir une charte d’audit
• attribuer les responsabilités
• allouer les ressources
Evaluation des risques
Evaluation des vulnérabilités :
• définir les outils et les moyens d’investigation
• évaluer les dispositifs en place
§ détection et prévention
§ protection
§ transfert
• établir la cartographie du risque résiduel Conception du plan d’actions :
• objectifs claires et mesurables
Rq : plus il est simple, plus il marcherait mieux.
• responsabilités et moyens identifiés
Rq : avant tout (càd les moyens de sécurités), la gestion des risques est une mise en place d’une politique de démarches de contrôle.
Mise en œuvre
Mise en œuvre opérationnelle :
• conception et déploiement des solutions
§ mode projet incluant les opérationnels
§ mesure d’efficacité
§ respect des moyens alloués
• intégration dans les processus existant Communication et formation :
• diffuser les référentiels
Rq : « comment on mesure et classer les risques ? »
• intégrer la gestion du risque dans les objectifs individuels
Système d’assurance Mesurer la conformité :
• suivi de la réalisation du plan d’actions
• tableau de bord de la gestion des risques Etablir le programme d’audit :
• revue périodique des vulnérabilités
• contrôles spécifiques Pérenniser la démarche :
• industrialiser les outils
• maintenir la communication interne
Vers une vision dynamique
Evolution des enjeux et objectifs de l’entreprise :
• amélioration de la performance
• modification des contraintes réglementaires
• apparition de nouveaux concepts :
§ développement durable
Rq : « social », « environnemental » et « économique »
§ éthique
• recours aux nouvelles technologies
• étendue du champ de certification Trois cycles de gestion des risques :
Rq : les systèmes ont une auto-évaluation et remontent les informations à travers le système de management des risques qui fait la synthèse.
La position des organisations
Le « business model » de l’entreprise
• Processus de l’exécutif : stratégie, organisation, pilotage, … • Processus opérationnels : production, achat, vente, …
• Processus support :
§ Gestion comptable et financière
§ Gestion des ressources humaines
§ Système d’information
§ Fonction juridique
Rq : en fonction de leurs niveaux différents, on communique sur de différents termes.
Les structures de gestion des risques
• Niveau 1 : responsabilité implicite ? va de paire avec la fonction
§ absence de processus de suivi
• Niveau 2 : responsabilité définie ? délégation formelle
§ intégration à l'organigramme
• Niveau 3 : responsabilité globale
§ Comité ou direction des Risques
§ Risk Manager
• tendances :
§ gestion du risque liée aux contraintes réglementaires (organismes de crédit) ? notion de gestion intégrée :
° responsabilité transversale
° optimisation des polices d'assurance
Rq : il faut intégrer tout cela dans les pratiques quotidiennes.
§ évolutions des pratiques liées au gouvernement d'entreprise
§ communication externe sur la gestion des risques
Les risques liés au système d’information
Des risques à la hauteur des enjeux
Définition de la notion de systèmes d’information
Le systèmes d’Information : une fonction transversale
• participe à tous les processus de l'entreprise
• reflet de la stratégie
... à hauts risques
• évolution des technologies
• ouverture sur l'extérieur / image
• risques inhérents
• Coût des pertes supérieur à 2 milliards d'€
• Progression forte de la malveillance au cours des dix dernière années
Les types de risques
En utilisant les projets à la mise en conformité des contraintes externes… :
• Fraude
• Malveillance
• Contrôle interne
• Légal
• Continuité
…on cherche de plus une performance meilleure :
• Maîtrise
• Coûts
• Efficacité
• Efficience
Le positionnement de la DSI
• La tendance à la nomination de RSSI mais avec des difficultés de positionnement hiérarchique
• La possibilité du RSSI qui a la capacité d'évoluer vers un poste de RS
• Recours à des expertises externes: schéma directeur, pilotage de projets, sécurité... Rq : « schéma directeur » : une déclinaison informatique et business des acteurs opérationnels
Evolution des moyens mis en œuvre Les tendances observées :
• utilisation de normes et méthodes reconnues (Afnor, Clusif, …) et des best practices
• niveau de formalisation plus élevé
Rq : la quantité des documentations augmente
• compréhension et traduction des besoins utilisateurs
• niveau de service, performances, satisfaction : évolution vers des relations de type client / fournisseur
Les méthodes d’investigation Couverture des risques inhérents :
• Revue Générale Informatique
§ la politique informatique
§ l'organisation et les équipes du service informatique
§ la configuration matérielle et réseau
§ la cartographie applicative
§ la gestion de la sécurité informatique
§ le développement informatique
§ l'exploitation informatique
• Audit sécurité: sécurité physique et logique, continuité d'exploitation
Couverture des risques liés aux processus externes :
• revue d'application
§ application "traditionnelle"
§ Audit des flux versus audit des traitements
• approche ERP
§ audit du paramétrage
• certification de sites de commerce électronique
• tests informatique
§ tests de valeur
§ tests de détection d'anomalies
§ tests de recoupement de bases
§ tests de simulation
§ outils d'audit : WinIdea, ACL, … • respect des contraintes réglementaires :
§ article 103
§ environnement de contrôle fonction de la réglementation en vigueur
Synthèse
• En matière de gestion de risque, la pratique n'évolue pas au même rythme que la théorie • La France reste globalement en retard par rapport aux pays anglo-saxons
• Les freins souvent observés :
§ sensibilisation de la DG
§ appréciation de l'impact et de la probabilité
§ vision dynamique
§ lacunes de compétences ad hoc
Impact sur la démarche générale
Conséquence de l’« informatisation » pour l’auditeur
Apparition de nouveaux risques
• Augmentation des volumes
• Dématérialisation de l'information
• Barrière technique
• Automatisation des processus
• Évolution du périmètre du contrôle interne
Objectif
• Intégrer les travaux d'audit informatique dans l'approche de la mission pour participer à l'émission de l'opinion sur les comptes de la société
• Cette étape doit permettre de mesurer les risques liés à la présence de traitements automatisés
• La démarche vise à évaluer en particulier les risques suivants
§ principalement les risques "E", "e", "V" et dans une moindre mesure "A" Rq : « E » : exhaustive (« doit-on retraiter toutes les informations ? »)
« e » : existante (« y a-t-il des informations fictives, ex : RIB des Frs ? »)
« V » : valorisation
« A » : appartenance (« l’écriture appartient-elle à l’entreprise ? ») ? et au delà:
° pérennité
° fiabilité
° sécurité (confidentialité)
° disponibilité
Moyens
Préliminaire
Prise de connaissances de l’environnement informatique (PCEI) | Identification des grandes zones de risques liées à l’utilisation de l’informatique |
Revue générale informatique (RGI) | Analyse des risques liés à la maîtrise des systèmes d’information (les hommes et les systèmes utilisés) |
Intérim | |
Revue générale informatique (RGI) | Analyse des risques liés à la maîtrise des systèmes d’information (les hommes et les systèmes utilisés) |
Revue d’application (RDA) | Evaluation du contrôle interne de l’environnement informatiques pour un cycle donné |
Tests informatique (IF) | Assistance à la réalisation de tests par la mise en place d’interrogations de fichiers Tests de bouclage des chaines de gestion amont avec le logiciel comptable |
Sécurité | Physique, logique, continuité d’exploitation, moyens de paiement |
Normes et respect des contraintes réglementaire |
Missions spécifiques
• La maîtrise des coûts informatiques
• L’audit de la politique informatique
• L’audit des études
• L’audit de l’exploitation
• L’audit sécurité(cf. audit de la sécurité informatique)
• L’audit du respect des contraintes fiscales
• L’audit de réseau • etc.
Les acteurs
• Tous les «grands»cabinets d’audit et de conseil ont mis en place des démarches d’audit informatique en support à l’audit comptable s'appuyant sur des experts généralistes et des spécialistes
§ CISA (Certified Information System Auditor)
§ CISM (Certified Information Security Manager)
§ …
• Les S.S.I.I. réalisent également des audits informatiques mais dans un cadre moins réglementés ? expertise technique
§ expertise fonctionnelle
2007-01-18
Formation à l’audit informatique
- Revue générale informatique
La politique informatique
Rappel : le schéma directeur (R. ACKOFF)
Rq :
A. Une volonté d’existence : un projet d’entreprise à long terme
Rq : c’est un plan stratégique
B. Des scénarios à moyen terme Rq : en fonction du projet à long terme, on liste des scénarios à moyen terme qui sont susceptibles de le réaliser.
C. Un plan à court terme
D. Un business intelligence system axé sur l’immédiat
• L’entreprise dispose-t-elle d’une stratégie en matière de système d’information et d’outil informatique ?
• Le plan informatique combine-t-il au mieux les ressources disponibles pour traduire les orientations en programmes d’actions ?
• Principaux problèmes rencontrés ? Absence de schéma directeur
§ Absence de méthodologie pour la réalisation du schéma directeur
§ Recensement des besoins des utilisateurs sans véritable relation avec les objectifs généraux et informatiques de l’entreprise
§ Chantier étalé dans le temps : difficulté à réaliser les objectifs énoncés dans le schéma directeur
§ Le schéma directeur est souvent une proposition du département informatique sans véritable adhésion de l’entreprise
L’organisation et les équipes du service informatique
Risques liés au positionnement du service informatique
• Indépendance trop importante du service informatique
• Non respect des procédures
• Non prise en compte de la dimension stratégique des systèmes d’information
• Mauvaise utilisation de l’outil informatique
• Cumul de fonctions incompatibles
Organisation du service informatique
• Unicité du savoir de nature à causer des préjudices graves en cas d’indisponibilité des personnes
• Suivi insuffisant des travaux effectués et de la qualité des services rendus
• Turn-over des équipes
Rq : un fort Turn-over représente un risque de pertes des savoirs dans l’entreprise.
• Absence de suivi transversal des projets
• Formation des équipes
• Séparation des fonctions
• Procédures en place
• Compétence fonctionnelle
La configuration matérielle et réseau
• Appel à des techniques ou à des technologies difficiles à maintenir / faire évoluer
• Cohérence d'ensemble
Rq : à travers des interfaces supplémentaires (ex : couche web), on arrive à faire marcher plusieurs systèmes différents qui ne se sont pas communiqués avant.
• Concentration des informations sensibles sur des matériels uniques
• Suivi de l'évolution des capacités disponibles
• Répétition intempestive de pannes
• Fournisseur en difficulté financière
Établir l'architecture du système informatique (y compris réseau et équipement bureautique) de façon à : • identifier les risques éventuels :
§ complexité/hétérogénéité relative du système
§ matériels clés sensibles (réseau, …)
§ interconnexions avec d'autres systèmes (clients, fournisseurs, prestataires, ...)
§ disponibilité
§ incidents répertoriés
• apprécier le degré de modernité
§ machines centrales, postes de travail et réseau
La cartographie applicative
Les objectifs
• Quelles sont les principales applications composant le système d'information ?
• Comment la comptabilité est-elle alimentée ?
• Quelle est la nature et la périodicité des interfaces ?
• Tous les flux sont-ils informatisés ?
• Mieux connaître les liens qui existent entre les domaines, afin de mieux positionner une application dans son contexte global
Etapes à suivre
• Recensement des divers domaines d’activité de l’entreprise
• Inventaire des systèmes applicatifs
• Identification des liens entre systèmes applicatifs et description de la nature des interfaces existantes
• Formalisation de l’ensemble des informations recueillies :
§ Tableau récapitulatif
§ Schéma d’intégration global
Identification des risques
• Couverture des besoins de l’entreprise
• Intégration ou interfaçage entre les applications Différence : « intégré » & « interfacé »
• Cohérence d’ensemble
• Appel à des progiciels ou à des prestataires de service qui rencontrent des difficultés financières
• Identification des applications sensibles
§ poids financier et stratégique
Rq : en fonction de leurs impacts financiers et stratégiques.
§ données sensibles (financières, commerciales ou techniques ...)
§ fragilité (développement spécifique, …)
Exemple : Schéma d’intégration globale
Les chaînes garantie, publicité, CSI et services généraux exploitent des données issues de la nouvelle chaîne commerciale qui transitent via l’ancienne chaîne commerciale. Ces données sont relatives aux fichiers Clients et Produits pour l’essentiel.
La MAJ du fichier des clients dans les applications périphériques est réalisée après chaque modification dans la nouvelle chaîne commerciale. En revanche, la MAJ du fichier des véhicules n’est réalisée qu’une seule fois par semaine. Cette procédure a pour inconvénient de ne pas assurer l’homogénéité des données exploitées à un instant « t ». néanmoins, cette MAJ peut être réalisée selon une périodicité plus courte.
La chine Pièces Détachées exploite ses propres fichiers clients et produits, cel qui ne garantit pas l’homogénéité des données traitées
Les contrôles généraux informatiques
Présentation
Définition des IT General Controls : Ensemble des procédures de contrôles contribuant à assurer un bon fonctionnement continu des systèmes d’information.
Principe des travaux :
• Identification des contrôles en place
• Evaluation du design et de l’efficacité de ces contrôles par la réalisation de tests (entretiens, collecte et revue de documentation…)
1. Access to programs and data
§ 1.A – Implementation of security practices
§ 1.B – Logical and physical access to IT computing resources
§ 1.C – Segregation of duties
2. Program changes
§ 2.A – Changes have been authorized, documented and tested
§ 2.B – System and application configuration changes
§ 2.C – Migration of changes into production
3. Program development
§ 3.A – Authorization, development, and testing of new systems and applications
4. Computer operations
§ 4.A – Implementation backup and recovery procedures
§ 4.B – Problem management procedures
§ 4.C – Accuracy, completeness, and timely processing of systems jobs
5. End-user computing
§ 5.A – IT general controls applied to end-user computing environments
° Spreadsheets and other user developed programs
° Common in financial consolidation, reporting and disclosures
° Document and test in relevant Audit Program
La gestion de la sécurité informatique
Présentation
La sécurité logique
• informations confidentielles ou sensibles • gestion des droits d'accès
§ différents mécanismes en place
§ modalités de gestion des identifiants et mots de passe
§ procédures d'attribution des droits
§ (les droits d'accès en place font a priori partie de la revue d'application)
La sécurité physique et la continuité d'exploitation
• protection des matériels
• procédures de sauvegarde
• plan de secours
• plan de fonctionnement dégradé
Démarche
Identification des contrôles en place par entretien et revue de documentation
Thème | Contrôles à tester |
Accès aux programmes et aux données |
Implementation of security practices | Une politique de sécurité de l'information existe, a été approuvée par le management et communiquée aux utilisateurs. |
Des standards de sécurité ont été mis en place afin d'atteindre les objectifs définis dans la politique de sécurité. Ces standards doivent couvrir les thèmes suivants : - Organigramme de la fonction sécurité - Rôles et responsabilités - Sécurité physique et environnementale - Sécurité des OS - Sécurité des réseaux - Sécurité des applications - Sécurité des bases de données | |
Un plan de sécurité IT existe et est en ligne avec le plan stratégique IT. | |
Le plan de sécurité IT est mis à jour des changements apportés à l'environnement IT ainsi que des besoins identifiés en terme de sécurité pour les systèmes. | |
Segregation of duties | Des contrôles existent lors du processus de demande et de création des droits utilisateurs afin de garantir le principe de séparation de fonction. |
Les applications et les systèmes hébergeant les données sont correctement configurés pour autoriser l'accès aux utilisateurs selon leurs besoins (consultation, création, modification ou suppression des données). | |
Logical and physical access to IT computing resources | Des procédures existent et sont suivies afin de : - garantir l'efficacité des mécanismes d'accès et d'authentification - s'assurer que tous les utilisateurs sont authentifiés par le système garantissant ainsi la validité des transactions passées. |
Un processus de contrôle est en place afin d'effectuer une revue périodique des droits d'accès et de s'assurer de leur correcte attribution. | |
Des procédures sont mises en place et suivies pour s'assurer que les comptes utilisateurs sont créés, modifiés, suspendus et fermés en temps et en heure. | |
Des contrôles appropriés, incluant les Firewalls, la détection d'intrusion, l'évaluation des vulnérabilités existent et sont utilisés pour se prémunir des accès non-autorisés à partir des connectivités réseaux. | |
Des logs tracent les opérations liées à la sécurité des OS, des applications et des bases de données. La revue de ces logs permet d'identifier les violations de sécurité et de les remonter au management. | |
S'assurer que l'accès aux salles IT est restreint et que les règles de sécurité sont définies et appliquées. Des procédures d'accès sont en place pour les employés, les contractants et les équipes de maintenance. | |
Des moyens de protection physiques permettent de maintenir les systèmes en fonctionnement et d'assurer la disponibilité des données (messages d' alarmes pour l' eau, le feu, les intrusions, | |
extincteurs, air conditionné, groupes électrogènes…). Seules les logiciels autorisés sont utilisés par les utilisateurs. | |
Des tests périodiques sont effectués pour s'assurer que l'infrastructure matérielle et logicielle est configurée de façon appropriée. | |
La direction Informatique a défini des procédures permettant de protéger le système d'information et les équipements informatiques des virus informatiques |
La gestion des changements
Démarche
Thème | Objectif de contrôle |
Changement applicatifs | |
Changes have been authorized, documented and tested | Les demandes de : - changement des programmes, - maintenance des systèmes (incluant les changements apportés aux OS), - changement des infrastructures,sont standardisées, tracées, approuvées, documentées et respectent les procédures de gestion es changements. |
Les procédures de gestion des changements tiennent compte des changements urgents effectués directement en environnement de production. Comme tous changements, les changements dits urgents sont documentés de la même manière a postériori. | |
Migration of changes into production | Des contrôles sont en place afin que les migrations des programmes dans l'environnement de production soient limitées aux seules personnes autorisées. |
System and application configuration changes | La Direction Informatique garantit que l'implémentation des logiciels et systèmes ne met pas en danger la sécurité des données et des programmes des systèmes. |
Le développement informatique
Rappel des phases de la gestion de projet
• Étude d'opportunité et de faisabilité
• conception fonctionnelle (spécifications générales, spécifications détaillées)
• conception technique
• développement (programmation)
• Tests
• Recette
• mise en production
• maintenance
Les principaux risques par phase de développement
Identification des risques par une revue des méthodologies de développement
• Etude d'opportunité et de faisabilité
§ implication de la direction dans l’initialisation du projet
§ étape de validation de la faisabilité technique et économique
• Conception
§ participation des utilisateurs, …
§ découpage du projet en plusieurs étapes ? intégration de thèmes relatifs à : ° la sécurité
° les contrôles programmés
° la piste d'audit
Les principaux risques par phase de développement
• Réalisation
§ outils utilisés, … ? bugs rencontrés
° En moyenne, un "bug" pour cent lignes de code produites
° Tous les bugs ne peuvent être détectés avant la mise en production
° Le coût de la correction est évidemment plus élevé lorsque l'application est en service
§ Absence ou non respect des normes de programmation
• Test / Recette
§ Existence de tests unitaires d'intégration et tests de non-régression
§ adéquation de la solution au besoin (recette fonctionnelle)
§ non création d ’un échantillon représentatif
§ non suivi des incidents
• Maintenance
§ perte de connaissance de l’application
° absence de documentation
° turn-over
§ versions successives non gérées
§ absence de base de test (ou base non à jour)
§ mise en exploitation non contrôlée
Démarche
Thème | Objectif de contrôle |
Gestion des développements | |
Authorization, development, and testing of new systems and applications | L’organisation dispose d’une méthodologie de cycle de vie de développement de système (SDLC) intégrant les besoins de l’organisation en terme de sécurité et d’intégrité des données et traitements |
Les politiques et procédures SDLC considèrent le développement et l'acquisition de nouveaux systèmes ainsi que les évolutions majeures apportées aux systèmes existants. | |
La méthodologie de cycle de vie de développement de système (SDLC) assure que les systèmes d'information sont conçus pour inclure les contrôles applicatifs qui garantissent que les traitements sont complets, exacts, autorisés, et valides, et que tous les | |
composants (programmes et données) fonctionnent ensemble sans erreur. | |
L'organisation dispose d'un processus d'acquisition et de planification en cohérence avec les orientations stratégiques d'ensemble. | |
La Direction Informatique garantit que les utilisateurs sont impliqués de manière appropriée dans la conception des applications, la sélection des progiciels, et leurs tests afin de garantir un environnement fiable. | |
Authorization, development, and testing of new systems and applications | L'organisation acquiert les logiciels et systèmes conformément à ses processus d'acquisition, de développement et de planification. |
L'organisation a défini des politiques et procédures pour la gestion des développements et évolutions applicatifs, revues périodiquement, mises à jour et approuvées par le management. | |
L'organisation développe, maintient et utilise ses systèmes et ses applications en accord avec les politiques et procédures qu'elle a définie. | |
Des revues de post-implémentation sont effectuées afin de vérifier l'efficacité des contrôles implémentés. | |
Il existe une stratégie de test pour tous les changements applicatifs et technologiques significatifs, qui garantissent que les systèmes déployés fonctionnent comme prévu. Les tests sont réalisés à différents niveaux : - tests unitaires, - tests d'intégration, - tests utilisateurs. | |
Les tests de chargement et de stress sont réalisés conformément au plan de test et aux standards de tests établis. | |
Les interfaces avec les autres systèmes sont testées afin de s'assurer de l'exhaustivité, l'exactitude et l'intégrité des données interfacées. | |
La conversion des données est testée (rapprochement entre leur état original et final) afin de s'assurer de l'exhaustivité, l'exactitude et l'intégrité des données converties. |
L’exploitation informatique
• Gestion des travaux
• Gestion des moyens
• Procédures de mise en exploitation
Gestion des travaux et des moyens
• Gestion des travaux ? Planning
§ Documentation
§ Gestion des incidents
§ Contrôle de la production
§ Distribution des restitutions
• Gestion des moyens
§ Gestion des matériels
§ Plan de secours
§ Procédures de sauvegarde
§ Gestion
Procédures de mise en exploitation
• Implication de l’exploitation lors du développement de nouvelles applications
§ Evaluation de l’impact sur le planning de traitements
• Procédure d’approbation des transferts de programmes en exploitation • Séparation bien établie des fonctions avec les études
• Existence de plusieurs environnements ?
§ Environnement de développement
§ Environnement de test
§ Environnement de production
Points d’attention liés à la gestion des travaux
• Existence d’une planification automatique
• Existence d’une procédure formalisée pour les travaux exceptionnels non planifiés?
• Existence de procédures écrites
• Conservation de la maîtrise de l’enchaînement des traitements
• Standardisation du dossier d’exploitation
• Les opérateurs ont-ils accès aux logiciels de production? Aux données de production?
• Peuvent-ils modifier les programmes sources ?
• Rotation des fonctions entre les opérateurs?
• Utilisation de moyens permettant de contrôler la bonne exécution des traitements
• Procédure de suivi des incidents?
• Définition d’un niveau de gravité des incidents?
• Revue périodique des incidents non clos?
• Identification des sorties sensibles?
Points d’attention liés à la gestion des moyens
• Maintenance
• suivi des performances
• suivi de l ’espace disque disponible
• suivi des consommations
• le plan de secours couvre-t-il tous les sites ? Toutes les applications?
• s ’appuie-t-il sur une analyse des risques associés à l ’indisponibilité des différentes applications?
• Tests réguliers du plan de secours?
• Conservation à l ’extérieur du centre informatique des copies de fichiers de données et des programmes de production?
• Contrôle du contenu des sauvegardes avec les fichiers en production?
• Restauration périodique des sauvegardes?
• Refacturation aux utilisateurs
Démarche
Thème | Objectif de contrôle |
Exploitation | |
Accuracy, completeness, and timely processing of systems jobs | Des contrats de service internes et externes (Service Level Agreement) sont définis et gérés afin de répondre aux besoins des systèmes de reporting financier. Ces contrats définissent les rôles et responsabilités de chacune des parties et explicitent les services fournis et attendus. |
Pour gérer les contrats de service aussi bien internes qu'externes, des indicateurs clés de performance sont définis. | |
Un responsable est nommé afin de suivre régulièrement les critères de performance des prestataires. | |
La sélection des fournisseurs de services d'outsourcing est réalisée conformément à la politique de l'organisation en matière de gestion des fournisseurs. | |
Les fournisseurs pressentis sont correctement qualifiés au travers d'une démonstration de leur capacité à fournir le service demandé et de leur solidité financière. | |
Les contrats avec les tiers définissent les risques identifiés, les contrôles et procédures de sécurité mis en place pour les systèmes et réseaux concernés. | |
Des procédures existent et sont suivies afin qu'un contrat formel soit défini et convenu pour tous les services tiers avant le début des travaux, y compris la définition des exigences de contrôle interne et l'acceptation des politiques et procédures de l'entreprise | |
Des revues régulières des prestataires sont effectuées au travers d'audits (exemple : SAS 70). | |
Des politiques et procédures existent pour gérer la distribution et la rétention des données ainsi que pour les rapports. | |
Des contrôles de fin de traitement sont réalisés par la DSI afin de vérifier l'exactitude, la complétude et la validité des traitements informatiques. | |
Problem management procedures | La Direction Informatique a défini et mis en place un système de gestion des problèmes et incidents de telle manière que les incidents liés à l'intégrité des données et aux contrôles d'accès sont enregistrés, analysés, résolus en temps et en heure et remonter au management le cas échéant. |
Le système de gestion des problèmes assure la piste d'audit entre le problème ou l'incident relevé jusqu'à la cause identifiée. | |
Un processus de réponse aux incidents de sécurité existe afin de mettre en place les actions correctives dans les meilleurs délais et d'analyser les opérations non-autorisées. | |
Implementation backup and recovery procedures | Le management protège les informations sensibles - logique et physique -, dans leur stockage et durant leur transmission, contre les accès ou les modifications non-autorisés. |
La période de rétention et les conditions de stockage sont définis pour les documents, les données, les programmes et les messages (entrants/sortants) ainsi que pour les données (clés, certificats) utilisées pour leur encryption et authentification. | |
Le management a implémenté une stratégie de backup des données et des programmes. | |
Des procédures existent et sont suivies pour tester périodiquement | |
l'efficacité du processus de restauration et la qualité des bandes de sauvegarde. | |
Les historiques d'événements des systèmes sont conservées assez longtemps pour générer une chronologie et un journal qui permettront de contrôler, examiner et reconstruire le système et le traitement des données. | |
Les changements apportées à la structure des données sont autorisés et implémentés en accord avec les spécifications, et en temps et en heure. | |
La Direction Informatique a défini des procédures standards pour l'exécution des travaux IT y compris l'ordonnancement, la gestion, la surveillance et la réaction aux incidents de sécurité, la disponibilité et l'intégrité des traitements. |
Exemple
Entreprise commerciale sur AS400
Thèmes présentés
1) L'équipe informatique
2) La configuration matérielle
3) La cartographie applicative
4) La politique informatique
5) La gestion de la sécurité informatique
6) Le développement informatique
7) L'exploitation informatique
Equipes
Existant
Function | Age | Formation | Experience | Ancienneté | Langage |
DI | 54 | BTS | 37 | 01/04/95 | COBOL |
CPI | 46 | Secondaires | 12 | 23/06/94 | GAP/COBOL/ODYSSEE |
CP2 | 35 | Niveau BAC | 14 | 02/08/96 | COBOL |
AP1 | 41 | BAC D | 13 | 14/05/95 | GAP/COBOL/ODYSSEE |
AP2 | 31 | BAC C BTS | 3 | 28/10/96 | COBOL |
P1 | 37 | BAC | 7 | 16/11/92 | |
P2 | 25 | BEP BAC | 5 | 27/07/96 | |
MOY | 38 | -BAC | 13 | 3 ans |
Configuration matérielle
Existant
• Un IBM AS 400 B 60 ? équipé de :
° 96 MO de mémoire centrale et 10,2 GO de disques
° 108 écrans, 4 PC connectés, 30 imprimantes ? charge de l'AS400 :
° fonction de collecte des mesures de performances non utilisée en interne
° temps de réponse mauvais
° UC occupé à plus de 85 % dans la journée
° espace disque occupée à 68 %
§ héberge actuellement gestion commerciale, la comptabilité générale, la paye et la trésorerie (étude et production)
§ acheté en leasing
§ acquisition d'un AS400 E10 envisagé pour supporter la comptabilité
• 64 micros ordinations
§ ratio nombre de licences achetées / nombre d'utilisateurs pouvant être estimé à 50%
§ absence de normes pour les applications bureautiques du type tableur et traitement de texte
° Excel, Multiplan et Lotus pour les tableurs
Cartographie applicative
Existant
• Applications significatives
Comptabilité | Logiciel spécifique « maison » (1) |
Gestion commerciale | Progiciel ANTALIA de PRISME |
Paye | Progiciel PMP 38 de PROLAND |
Trésorerie | CONCEPT |
(1) Application développée en 1982 sur IBM 36. Les informations à l’origine du développement ne font plus partie de l’entreprise.
La documentation est quasi inexistante même après divers évolutions majeures de l’application (an 2000 et euro)
SIG
Politique informatique
Existant
• L’informatique évolue au fil de l’eau
Sécurité logique
Existant
• accès aux applications
§ les utilisateurs possèdent a priori des identifiants et des mots de passe
§ il existe un mécanisme de sécurité propre à "PRISME"
§ les autres applications n’offrent pas de mécanisme propre de gestion de la confidentialité
• accès au système
§ le niveau de sécurité choisi au sein du système = 20
§ la clef (keylog Switch de l ’AS 400 est sur la position « Normal »)
Sécurité physique
Existant
• Quatre niveaux de sauvegarde sont effectués :
§ tous les soirs :
° Les neuf bibliothèques de données applicatives, de disque à disque, et sur cartouche
° une société extérieure récupère les sauvegardes de l'avant-veille et les stocke dans ses locaux trois fois par semaine ? une fois par semaine :
° l'ensemble des bibliothèques systèmes (sauvegardées sur bande) ? après chaque traitement mensuel :
° les neuf bibliothèques de données statistiques, les cartouches étant conservées sur place
§ à chaque modification :
° le système d'exploitation
• Back-up
§ contrat de back-up signé en 1989 avec une société extérieure prévoyant la mise à disposition en cas d'incident majeur
Etudes – Développement informatique
Existant
• Rôle des équipes
§ Les quatre développeurs se partagent la maintenance (M) des applications et les nouveaux développements (ND) de la façon suivante :
§ Une seule personne (CP2) intervient sur la comptabilité
§ La documentation existante est quasi nulle
§ Certains mécanisme de la gestion commerciale sont inconnus de l'équipe en place en l'absence de documentation et de liens avec le fournisseur
Exploitation informatique
Existant
• Maîtrise des travaux batch
§ les travaux liés à certaines applications sont lancés manuellement
§ les incidents ne sont pas répertoriés
§ il n ’y a pas d ’historique des incidents
§ les travaux sont insuffisamment documentés (fichiers en E/S, traitements effectués,
…)
§ des contrôle
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Salim KHALIL
Fondateur, Directeur de la publication
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Soukaina Sbai Tangi
Résponsable Editorial