L’investissement est l'une des thématiques centrales de la finance. Les approches théoriques et les contributions scientifiques apportées à ce sujet nous permettent d’identifier quelques grilles de lecture intéressantes pour comprendre les différentes typologies d’investissement et cerner les mécanismes empiriques des processus décisionnels et comportementaux des acteurs, comme le souligne Gérard Charreaux dans son ouvrage « L’approche économico-financière de l’investissement ».
D'un point de vue exclusivement économique et financier, l'investissement est intimement lié au capital monétaire. Il s'agit d'une activité visant à exploiter une somme spécifique d'argent afin de réaliser des gains. Dans une perspective macro-économique, le taux d'investissement matériel - objet principal du présent document - peut être calculée en corrélant la formation brute de capital fixe (FBCF) et le PIB. Ainsi, l’investissement permet non seulement une accumulation du capital, mais aussi une meilleure circulation du cash flow.
Parmi les catégories d’investissements les plus courantes, citons : l’investissement en bourse, l’investissement dans une Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) ou encore l’investissement en assurance-vie. Chacune présente ses avantages et ses inconvénients qu'il convient de relever afin que le lecteur puisse se forger sa propre opinion sur le sujet.
Le vocable "bourse" fait l'objet de multiples définitions et interprétations. Une riche et variée littérature économique et financière est désormais disponible pour définir avec précision ce concept. Dans un article publié en 2013, Jacques Hamon et Bertrand Jacquillat, deux économistes réputés, ont défini la bourse comme étant un acteur central de la finance. Il s'agit d'un lieu où les investisseurs peuvent effectuer des transactions à des fins de rentabilité de leur capital. Les marchés boursiers sont présents dans plusieurs pays du monde, mais certains pays dont les règlements économiques et financiers sont stricts n'en disposent pas; ce qui a un impact négatif sur le portefeuille des investisseurs qui se voient contraints d'externaliser leurs placements.
Le New York Stock Exchange (NYSE) domine le marché financier international; située au cœur de New York, elle est à l’origine du rapprochement entre les bourses à l’échelle internationale qui devient une tendance courante et les places boursières sont perçues comme des entreprises à part entière. Dans les années 2000, NYSE a procédé à l’acquisition d’Euronext; Sylvain de Forges, financier qualifié, revient sur cette absorption passionnante dans son article « Qu'attendre de la fusion d'Euronext et du New York Stock Exchange ? ». Ces opérations inter-boursières sont régies par des codes et articles juridiques précis mais suscitent toutefois des interrogations quant à la capacité des institutions boursières à respecter le principe de transparence et concurrence loyale pendant ces transactions.
Investir en bourse n’est pas un jeu d'enfant. Il s'agit d'un processus complexe qui doit être mené avec rigueur et précision afin de réaliser des bénéfices à long terme. Avant de commencer, il est important de définir une enveloppe fiscale adéquate et des opportunités d'investissement à haut potentiel de réussite. Cependant, le marché boursier est extrêmement volatil et imprévisible, ce qui rend difficile la prise de décisions éclairées.
Le célèbre ouvrage de Mark Vankenhove[1] sur l’investissement en bourse aborde cette incertitude du marché économique en proposant des arguments scientifiques solides et en se basant sur les approches techniques et fondamentales. La première méthode consiste à étudier les mouvements d'achat et de vente des titres sans prendre en compte le contexte économique global. L’approche fondamentale, quant à elle, tient compte du climat économique mondial, des fluctuations des prix, du comportement et des habitudes des consommateurs pour prendre une décision judicieuse sur le marché boursier.
Investir en bourse comporte à la fois des avantages et des inconvénients qu'il est important de connaître pour prendre une décision éclairée. Ces avantages et inconvénients peuvent varier selon plusieurs facteurs, notamment le type d'investissement choisi, le montant investi et l'horizon de placement. Il est donc essentiel de bien comprendre les risques associés à ce type d'investissement afin de pouvoir en tirer le meilleur parti.
La bourse, autrefois un lieu d'échange et de négociation domestique, est aujourd'hui une plateforme internationale sans frontière. Grâce à la technologie financière, les places boursières du monde entier sont connectées entre elles et offrent parfois une concurrence peu transparente et peu loyale qui joue parfois en défaveur des investisseurs individuels. Dans son article publié en 2007 intitulé "La disparition des Bourses nationales" [2], Catherine Karyotis met en évidence le contexte boursier international marqué par des divergences importantes et souligne la nécessité de dispositifs autonomes et indépendants pour surveiller les investissements effectués sur les marchés boursiers et exercer un contrôle permanent sur les entreprises cotées en bourse afin d’atténuer les risques liés à l’investissement.
Trois grandes stratégies d’investissement sont à prendre en compte lorsqu'il s'agit du secteur boursier. Ces stratégies peuvent être alternatives mais, dans certains cas, elles peuvent également devenir complémentaires.
La première stratégie que nous allons examiner est la stratégie dite globale. Il s’agit d’une méthode safe qui permet à l’investisseur de diversifier ses placements en limitant les risques liés aux fluctuations des marchés. La stratégie globale se compose notamment de l'achat d'actions ou encore des organismes de placements collectifs en valeurs mobilières (OPCVM). Ce type de stratégie est le plus souvent adoptée par les investisseurs disposant d'un capital limité.
La deuxième approche pour investir en bourse est la stratégie semi-automatique. Cette mise en œuvre repose sur les outils technologiques et informatiques disponibles sur le marché financier depuis plusieurs décennies maintenant. Grâce au développement des logiciels spécialisés, le processus décisionnel a considérablement était fluidifiée et Gerard Hartsink parle même de trading algorithmique pour montrer l’influence des logiciels et de la technologie sur la gestion boursière. De plus, ces solutions informatiques sont également utilisés par les autorités publiques afin de garantir une meilleure gestion des risques et une prise en compte anticipée des pratiques abusives [3].
Enfin, il convient également de souligner l’importance accordée à la troisième approche que nous appelons ici « Stratégie Automatique ». Celle-ci implique une utilisation avancée des technologies pour prendre une décision rationnelle et calculée grâce à un système automatisé mathématiquement très sophistiqué. Dans ce contexte particulier, nous pouvons dire que le secteur boursier est robotisable car aucune action ne sera prise par l’investisseur sans intervention humaine directe ou indirecte.
SCPI est le diminutif pour désigner une Société civile de placement immobilier. Il s’agit d'une institution de placement collectif qui n’est pas cotée en bourse, selon le Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique (2022) – Gouvernement Français [4] . Le gouvernement français définit clairement ce type d’organisme dans le portail électronique de son ministère d'Économie. Nous pouvons identifier deux catégories principales de SCPI : les SCPI d'entreprise et les SCPI d'habitation. Les premières sont destinées à l'investissement immobilier à des fins commerciales tandis que les secondes sont conçues pour l'habitation.
Selon Joinet, Pierre (2014)[5], il est également possible de répertorier ces catégories en fonction du type d’investissement et des objectifs patrimoniaux visés par l’investisseur. Ainsi, nous pouvons distinguer trois sous-catégories principales : les SCPI ‘classiques', les SCPI ‘de plus-values', et les SCPI ‘fiscales'. Les premières proposent une plateforme d'investissement visant exclusivement la rentabilité ; elles permettent aux investisseurs un fructification du capital sans érosion significative. Les secondes offrent un rendement important mais impliquent aussi un risque accru ; quant aux troisièmes, elles visent avant tout à offrir des avantages fiscaux intéressants aux investisseurs.
Investir dans une Société civile de placement immobilier (SCPI) est un procédé qui nécessite le respect des normes réglementaires en vigueur, édictées par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique 4. La première étape consiste à acquérir une part de capital dont le prix varie entre 150 et 1000 euros. La transaction se fait rapidement et en coordination avec la SCPI concernée. Une fois cette étape achevée, il vous suffit de remplir les formalités administratives et de conserver une copie certifiée de votre preuve d'acquisition. Le montant que vous investirez dépendra alors du capital disponible ainsi que du budget dont vous disposez. Cependant, il est important d'être vigilant car certaines SCPI peuvent proposer des contrats peu clairs ou incohérents ; il est donc recommandé de vérifier la validité des propositions faites et de lire attentivement les modalités d’investissement proposées avant toute prise de décision. En cas de doute, n'hésitez pas à contacter directement l’Autorité des marchés financiers pour obtenir plus d'informations sur les démarches relatives à l’investissement dans les SCPI.
Investir en bourse et dans des SCPI sont deux démarches qui présentent chacune leurs avantages et leurs inconvénients. Afin de mieux comprendre ces investissements et les résultats qu'ils peuvent engendrer, nous allons examiner plus en détail leurs caractéristiques.
Les avantages qui découlent d’un investissement en SCPI sont nombreux et variés. L'un des plus importants est celui de la mutualisation des risques : si votre investissement ne s'avère pas rentable, les pertes seront partagées entre tous les investisseurs. Cette caractéristique collective est un atout considérable, surtout lorsque les pertes sont importantes. De plus, le secteur immobilier offrant une multitude de possibilités d'investissement, vous aurez la possibilité de diversifier vos placements et d'augmenter ainsi considérablement vos chances de rentabilité, ce qui n'est pas toujours le cas avec un investissement à placement unique.
Pour ce qui est des inconvénients, la liste est longue. Le premier d'entre eux concerne les frais d'entrée. En effet, avant de commencer votre investissement dans une SCPI, vous devez acheter au minimum 5% des parts de capital. Cette part peut même aller jusqu'à 10% si vous décidez de déléguer entièrement la gestion du portefeuille à la SCPI en question. Un autre inconvénient se rapporte aux performances et à la rentabilité de l'investissement. Comme nous le savons tous, le marché immobilier est très instable et imprévisible en termes de prix. De plus, en période de crise comme celle du COVID-19 où le marché immobilier a connu une volatilité sans précédent selon l'INSEE, rien ne garantit que votre investissement sera rentable[6].
Investir en SCPI requiert, comme tout autre type d’investissement, une réflexion approfondie et une fixation au préalable des objectifs d’investissements. Les spécialistes et les experts du secteur définissent trois grandes stratégies d'investissement en SCPI : la stratégie CORE, la stratégie Value Add et la stratégie Opportuniste.
La stratégie CORE consiste à identifier les SCPI qui privilégient des investissements immobiliers dans des zones géographiques favorables ou aisés afin de rechercher une rentabilité assurée avec un taux intéressant pour les investisseurs pouvant aller jusqu’à 3%. Ces biens immobiliers sont généralement situés dans les centres villes et peuvent être à finalité commerciale ou bien des locaux administratifs (bureaux).
La stratégie Value Add vise à identifier des biens immobiliers qui ont un potentiel important grâce à leur historique ou emplacement et qui peuvent être rénovés pour une utilisation imminente.
Enfin, la stratégie Opportuniste consiste à acquérir des biens immobiliers qui n’ont pas encore suscité l’intérêt des acheteurs afin de pouvoir commercialiser ces biens à un prix intéressant. Il ne s'agit pas de spéculer sur le marché immobilier mais plutôt de déployer une expertise confirmée pour trouver les meilleures opportunités possibles. Toutefois, cette méthode reste très risquée par rapport aux autres.
L'assurance vie est souvent associée au concept de vulnérabilité[7]. Il s'agit d'un dispositif utilisé pour anticiper les scénarios d'impuissance, d'incapacité ou encore de décès moyennant une contribution financière prédéfinie. Le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique identifie l’assurance vie comme étant la première stratégie d’épargne en France (Qu'est-ce que l’assurance-vie ? Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique (2022) - Gouvernement Français)4. Selon les chiffres communiqués par France Assureur, les encours de ce type d’assurance étaient estimés à 2 milliards d'euros en 2021. On peut distinguer trois grands blocs principaux : assurance vie temporaire ou à terme ; assurance vie mixte ; assurance vie permanente ou à capitalisation continue. Chaque catégorie a ses propres réglementations et sa propre fiscalité.
Lorsqu'il est toujours en vie, le souscripteur bénéficiera du montant des cotisations versés automatiquement par le contrat si une situation d'incapacité est confirmée. En cas de décès du souscripteur, le montant des contributions sera attribué aux bénéficiaires (proches) désignés par ce dernier. Les contrats d’assurance-vies sont encadrés par les textes juridiques L131-1 et L132-1 ainsi que par des cas exceptionnels identifiés notamment par le Décret du 5 septembre 2014; il est recommandable pour tout souscripteur potentiel à un contrat assurance-vies de veiller aux évolutions possibles afin d'identifier les tendances actuelles du marchée concernant ce type produit financier.
L’ouvrage de David Dubois[8], publié en 2017 sur les théories et les pratiques de l’assurance-vie retrace les fondamentaux et les mécanismes de fonctionnement de ce dispositif. Il y présente notamment les modèles économiques sur la base desquels sont calculés les impositions fiscales et les barèmes d’impôts de ce type d’assurance. L’auteur fait référence également à la complexité des modalités d'engagement des parties prenantes engagées dans le cadre du contrat tout en déroulant les perspectives de tarification existantes.
L'assurance-vie est un dispositif contractuel qui est régi par la réglementation des contrats d'assurance. Le fonctionnement de ce type d'assurance dépendra naturellement de la nature du contrat initié. Cependant, la logique dominante veut que l'assurance -vie soit perçue comme une contribution anticipée, à la fois pécuniaire et morale, au profit d'un individu vulnérable. En outre, elle offre aux assurés une protection contre le risque financier ainsi qu'une sécurité financière pour eux et leurs proches grâce à un système fiscal avantageux qui peut générer des gains considérables pour le bénéficiaire final. De plus, elle permet aux assurés de planifier leurs finances à long terme afin qu'ils puissent atteindre leurs objectifs financiers sans être soumis aux fluctuations du marché financier ou aux aléas économiques.
L'assurance-vie est un produit d'investissement très populaire en France. Cependant, il est important de bien connaître les avantages et les inconvénients pour prendre une décision éclairée. Ainsi, il convient de souligner que l'assurance-vie offre des avantages tels qu'une fiscalité avantageuse, une grande flexibilité et des possibilités d'investissement variées. De plus, elle permet aux souscripteurs de transmettre leurs actifs à leur famille en toute sécurité et sans frais supplémentaires. En revanche, elle présente certains inconvénients comme des frais de gestion relativement élevés ou encore des rendements moins importants que ceux obtenus par d’autres produits financiers à court terme.
Le premier avantage que nous pouvons citer est celui de la flexibilité contractuelle des assureurs en termes d’objectif. En effet, le souscripteur est libre de choisir la nature de son investissement ainsi que la catégorie de bénéficiaires. Vous pouvez choisir soit de transférer votre argent aux bénéficiaires prédéfinies soit d’en bénéficier à titre personnel en cas de vulnérabilité extrême ou d'incapacité. Ces modalités doivent être mentionnées clairement et explicitement dans le contrat d'assurance.
Un autre avantage important à relever est celui de la fiscalité. En effet, après 8 années consécutives de cotisations, le gouvernement propose aux assurés des exonérations fiscales significatives et intéressantes. Pour les personnes en couple, des réductions supplétives sur les cotisations sont également proposées par certains assureurs afin de faciliter l'accès à l'assurance vie pour tous les ménages. Il convient également de mentionner que l’assurance vie est un placement liquide puisqu’il est possible de retirer son argent sous certaines conditions telles que stipulée par l’article 631-2-1 du Code général des impôts (CGI)[9].
L’inconvénient qui fait aujourd’hui débat est celui de la rentabilité. En effet, depuis quelques années déjà, la rentabilité est en chute libre surtout pour les assurés ayant des comptes en euros. En raison de la crise économique, mais pas seulement, la situation est peu rassurante. Le taux de rentabilité a diminué d'environ 1,40% entre 2013 et 2022.
Le deuxième inconvénient est celui des frais de gestion qui sont de plus en plus lourds à supporter par les assurés. La hausse généralisée des prix en Europe et ailleurs dans le monde a conduit à une hausse des frais de gestion du patrimoine des assurés par effet domino.
Les différentes stratégies d'investissement en assurance-vie
Les stratégies d’investissement pour optimiser la rentabilité de votre assurance-vie vont dépendre avant tout et principalement de votre objectif à long terme. Il est donc important que vous fixiez un objectif clair avant d'entrer en contact avec votre assureur.
La première stratégie consiste à investir dans une assurance-vie à court terme afin que vous puissiez racheter les contributions versées après quelques années et bénéficier ainsi d'un rendement important sur une durée relativement courte grâce aux cotisations plus élevées que celles habituelles.
Une autre façon d'optimiser votre investissement consiste à opter pour les unités de compte afin d’être prêt face aux fluctuations du marchés et éviter les risques liés aux dépréciations monétaires ou encore aux crises économiques soudaines. Une telle stratégie peut augmenter significativement le rendement jusqu'à 5%.
Comment choisir le type d'investissement qui convient le mieux à vos besoins et à votre profil d'investisseur ?
Le meilleur choix d’investissement est celui avec le plus de rentabilité, cependant il n’y a pas de type d’investissement unique. Investir en bourse, dans une SCPI ou encore dans une assurance-vie dépendra entièrement de votre expertise, de votre budget et surtout de votre objectif final. L’investissement est un exercice qui requiert patience, réflexion et rigueur. Avant de prendre une décision finale, il convient donc de prendre en compte les variables d’influence, les éléments du contexte et les facteurs de risques liés à chaque type d'investissement.
Une comparaison rapide des différents types permet facilement de constater que l’assurance-vie est l'option la plus sûre car elle présente peu ou pas de facteurs exogènes pouvant influencer le rendement. Cela explique pourquoi beaucoup de Français optent pour cette forme d'épargne malgré la crise économique actuelle. Toutefois, lorsque maitrisée correctement, l’investissement en bourse ou via une SCPI peut s'avérer plus rentable que l'assurance-vie si vous êtes prêt à prendre des risques supplémentaires. Cette dichotomie Investissement sûr ET Investissement rentable doit donc être prise en compte avant toute décision finale concernant un investissement particulier.
Retenons de cet article que l’argent est mieux placé lorsqu'il est investi. Les logiques de placement peuvent varier, mais l'objectif à long terme reste le même : fructifier le capital disponible et réduire les pertes d'argent inutiles. Les trois types d'investissement mentionnés dans cet article ne peuvent être entrepris sans une analyse approfondie et minutieuse en amont. Il est donc recommandé de procéder avec prudence et sagesse, en évitant les prises de décisions hâtives et irréfléchies. Notons que le pire des investissements est celui qui se fait sans réflexion préalable.
[1] Vankenhove, Marc. Comment investir en bourse. Les Editions du Net, 2012. (Lire ouvrage)
[2] Karyotis, C. (2007). La disparition des Bourses nationales. L'Expansion Management Review, 127, 38-47. (Lire article)
[3] Hartsink, G. (2015). La technologie est le meilleur garant de la gestion des risques sur les marchés financiers. Revue d'économie financière, 120, 143-154.(Lire article)
[4] Ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique (2022) – Gouvernement Français (Lire article)
[5] Joinet, Pierre. "SCPI-Objectifs." (2014). (Lire article)
[6] Citation: Chareyron, S., Régnier, C. & Sari, F. (2022). COVID-19 and Dynamics of Residential Property Markets in France: An Exploration. Economie et Statistique / Economics and Statistics, 536-37, 75–93. (Lire article)
[7] Gaulon, Nathalie. Assurance vie, vulnérabilité et dépendance. Diss. Rennes 1, 2011. (Lire article)
[8] Fromenteau, M., Petauton, P. (2017). Théorie et pratique de l'assurance-vie. Dunod. (Lire ouvrage)
[9] Leroy, Michel. "Stratégies de revenus fondées sur l'assurance-vie." La revue fiscale du patrimoine 5 (2017). (Lire article)