Cours complet sur le management et leadership
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Le leadership diffère du management. Ce mais sont deux modes d’actions distincts et complémentaires ayant chacun leurs fonctions et leurs activités propres. Tous deux sont nécessaires à la réussite dans l’environnement économique d’aujourd’hui.
□ Le manager contrôle par conséquent les gens en les maintenant dans la bonne direction ; le leader les motive en veillant à satisfaire les besoins humains fondamentaux.
Très souvent les managers s’occupent des parts de marché, de la croissance et des profits. Pourtant, seuls deviennent des managers exceptionnels ceux qui comprennent d’instincts que le management n’est pas seulement une série de tâches mécaniques mais un ensemble de contacts humains.
Tous les managers se croient intègres. Pour certain, l’intégrité est synonymes de réserves ou de loyauté aveugle. D’autres l’assimilent à la constance. Quelques−uns la confondent à la discrétion.
Or l’intégrité a, chez les managers, un sens plus ambitieux et plus difficiles. Elle signifie être responsables bien sûr, mais aussi communiquer clairement et régulièrement, agir honnêtement pour le compte des autres, tenir ses promesses, se connaître soi−même et éviter les manœuvres occultes dont les autres seraient exclues. Elle n’est pas bien différente de ce que l’on appelle l’ « honneur », qui signifie pour une part, ne pas se mentir à soi−même.
Penser à te remettre en cause en permanence pour ne pas être dépassé par les évts. Ne rester pas statique
Le manager exceptionnel doit se livrer à un exercice permanent d’apprentissage, de formation et de persuasion.
□ Il faut souvent se battre pour obtenir des gens qu’ils fassent ce qui est le mieux pour les clients, pour l’entreprise et même pour eux, car cela veut dire, le leur faire comprendre et vouloir. Cela requiert de l’intégrité, une disposition a donné du pouvoir aux autres, du courage, de la ténacité et beaucoup de pédagogie.
III. Le leadership en tant que travail (rapport avec Kadhafi
Il est essentiel de mobiliser l’entreprise pour qu’elle adapte ses comportements aux nouveaux contextes de son activité. Toute entreprise qui ne s’adapterait pas serait aujourd’hui condamnés (émeutes d’Afrique du Nord). Et, obtenir de son personnel qu’il accomplisse le travail d’adaptation est bel et bien la marque du leadership dans un monde concurrentiel.
Aujourd’hui, on a comme mangement moderne la gestion du changement.
Les leaders doivent discerner le contexte favorable à l’action ou le créer. Il leur incombe de sensibiliser les salariés à l’histoire de l’entreprise et à ses réussites passées. Les leaders doivent être capables de discerner les conflits de valeurs er de pouvoirs, de repérer les comportements, d’éviter du travail inutile et de surveiller toutes les autres réactions aux changements positives ou négatives.
Un leader doit accomplir trois tâches fondamentales pour obtenir un niveau de tension productif. Elles lui permettront de motiver ses collaborateurs sans les bloquer.
□ Il incombe par conséquent au leader de diriger, de protéger, d’orienter, de gérer les conflits et de définir les normes. Le leader doit se montrer présent et sécurisant. Canaliser l’angoisse est peut être la plus difficile de ses tâches (Kadhafi peut canaliser les angoisses de ceux qui le soutiennent comment ?
Le travail du leader est de mettre à jour les conflits et d’en faire une source de créativité (ce n’est pas parce qu’il y’a conflit qu’il faut taper sur les gens. Lorsqu’un conflit se substitut au dialogue, il faut qu’un leader intervienne et invite l’équipe à reformuler les pb.
□ Les gens ont besoin de leader qui les aide à maintenir leur attention sur les questions difficiles. Le leadership se traduit donc par une attention disciplinée.
Un bon leader doit aussi développer collectivement la confiance en soi.La confiance en soi provient de la réussite, de l’expérience et de l’environnement de votre entreprise. Le rôle le plus important du bon leader est de susciter la confiance chez ses collaborateurs. Il faut qu’ils osent prendre des risques et des responsabilités. On doit les soutenir si jamais ils font des erreurs (Proverbe français : il n’y a que ceux qui ne travaillent pas qui font des erreurs).
Si nous définissons le leadership comme « la capacité qu’à un individu d’influencer les autres dans le sens qu’il désire, sans avoir à recourir explicitement ou implicitement à des sanctions formelles »
Ainsi, le leadership constitue une façon d’exercer son pouvoir caractérisé par le fait que les destinataires ne sont pas forcées d’accepter son influence.
□ Qu’en t’à l’autorité, nous pouvons la présenter comme
« La capacité d’influencer les autres dans le sens désiré, en s’appuyant sur la possibilité de recourir à des sanctions formelles »
Les ressources à la bases du leadership sont beaucoup plus incertaines que celles à la base de l’autorité ; les ressources de l’autorité sont conférées par une source extérieur au groupe,
la structure, et de ce fait, sont assez stables. Le leadership lui−même émane des personnes sur lesquelles il est exercé, ce qui en rend l’exercice moins prévisible.
Weber est spécialisé dans l’ergonomie.
Voici quelques définitions.
□ Les différents types d’autorités
□ L’autorité c’est le droit de réaliser des activités et de diriger les comportements d’individus dans un système social, en vertu d’un rôle formel ou d’un poste occupé
L’autorité découle d’abord et avant tout d’un consensus social étendu dans le système sur le droit d’un individu de voir sa volonté avoir préséance sur celle d’un autre, en vertu de son rôle ou de son poste.
□ L’autorité d’un individu sur d’autres individus n’et réel qu’à partir du moment où il a la possibilité de recourir légitimement à des récompense ou à des punitions formelles pour affirmer ses volontés.
L’autorité est associée à un rôle ou à un poste et non à l’individu en tant que tel
L’autorité repose d’abord et avant tout sur un consensus social étendu concernant son caractère légitime, perçu à la façon des individus qui y sont assujettis.
L’une des sources de la légitimité de l’autorité découle de sa fonction d’établissement et de maintient d’un certain ordre dans les activités au sein des systèmes sociaux.
□ Voici un échantillon de définitions
L’adhésion volontaire ne suppose pas nécessairement que ce choix soit spontané ; les normes et les pressions sociales d’un milieu peuvent amener les gens à opter pour un leader qu’il n’apprécie que partiellement. L’adhésion volontaire signifie que le leadership est un phénomène qui émerge du groupe ou du milieu, et qu’il est attribué plutôt que confié comme c’est le cas pour l’autorité.
Le leadership occupeƒest très utilisé véritablement dans la pratique de la gestion et dans la vie en général d’une organisation. Le gestionnaire qui a de la pratique peut obtenir de l’enthousiasme de la motivation, de la loyauté, de la part de son personnel et, donc de meilleures dispositions à l’endroit du travail à accomplir que s’il se limitait à exercer son autorité.