Cours sur le montage et management participatif
Cours sur le montage et management participatif
INTRODUCTION GENERALE
Depuis plusieurs décennies, le Maroc, à l’instar de tous les pays en voie de développement, a fait l’objet d’investissements massifs de la part des gouvernements, des ONG, des organismes, des agences et institutions bailleurs de fond.
Ces investissements se sont soldés pour la plupart d’entre eux par des échecs ou à des résultats non satisfaisants, et plusieurs raisons se prêtent à l’explication de ces faits. Parmi ces raisons nous pouvons citer :
♦ L’inadaptation des méthodes d’approche souvent mises en place par des experts internationaux ne cernant pas forcement tous les aspects socioculturels du milieu africain. BOUKHARI (1994) remarques à cet effet que les jeux de rôle, les représentations théâtrales, les marionnettes et les maquettes ne sont pas toujours adaptées au contexte marocain ;
♦ Les contenus des programmes sont exécutés de façon très générale ne tenant pas compte des spécificités socioéconomiques ni du milieu naturel au niveau local et régional ;
♦ La participation et la question du genre sont largement abordées dans la partie « Conception » mais survolées pendant « l’exécution » ;
♦ Les systèmes de suivi-évaluation sont souvent défaillants à cause d’une ressource humaine (chargée de l’exécution) non valorisée ou non motivée d’une part et d’autre part du fait de l’inadaptation des choix des indicateurs au cours de la conception ;
♦ Les divergences des intérêts entre bailleurs de fond et pays bénéficiaires, ont souvent tendance à reléguer au second plan, les objectifs globaux des projets / programmes ;
Tous ces handicaps communs au pays en voie développement, consistent à alourdir leurs dettes et par conséquent demeurent préjudiciables au bon déroulement des actions futures puisque les procédures de financement se veulent de plus en plus draconiennes.
C’est dans ce courant d’idée que notre étude intitulée « Montage et gestion participative des projets de développement rural: Outils et méthodes d’intervention » se pose en synthèse bibliographique pour l’élaboration d’un manuel regroupant les principaux outils et approches participatives afin de contribuer à une perspective évolutive des méthodes d’interventions dans le domaine du développement.
Ces différentes méthodes et outils sont pour la plupart spécifiques aux principales agences de développement qui se sont toujours mobilisées pour améliorer ou pour mettre au point des nouveaux outils dans l’objectif global d’avoir des résultas concrets et de gérer plus efficacement les ressources et moyens employées dans la mise en œuvre des projets de développement.
Pour arriver à nos fins, nous mènerons notre étude en trois principales parties décrites succinctement comme suite :
- Une première partie exclusivement consacrée à la présentation de notre problématique, le modèle hypothétique, la méthodologie de travail et au cadre théorique qui aura la tâche d’expliciter les concepts et notions clés relatifs à notre thème d’étude.
- Dans la deuxième partie, nous étudierons les méthodes et outils clés qui font l’unanimité chez les plus grandes institutions du développement afin d’appréhender leurs démarches respectives en matière de gestion de cycle de projet de développement.
Ces outils et méthodes qui ont fait leurs preuves en matière de gestion participative de projets, restent les méthodes de travail privilégiées de certaines agences gouvernementales d’aide au développement ainsi que de certains organismes onusiens.
- Et enfin, une troisième partie qui sera réservée à la gestion participative des projets de développement au Maroc. On y analysera suite à des enquêtes sur le terrain, les méthodes de travail et leurs interactions avec le contexte marocain (les outils, les exigences et la philosophie) des grandes institutions de développement présents.
PROBLEMATIQUE :
Après la deuxième guerre Mondiale, les états du monde étaient en recherche d’un nouveau dynamisme mondial susceptible d’éviter dans l’avenir de nouvelles crises graves et où il y aura plus d’harmonie, plus de dialogue et de coopération internationale. Pour cela, plusieurs actions figuraient dans leurs plans d’action parmi lesquelles il faudrait reconstruire et équilibrer les économies internationales et rapprocher les peuples. De nombreuses organisations et institutions (FAO, PNUD, PAM, FNUAP, UNESCO, HCR, la banque mondiale…) avec chacune un objectif précis, virent le jour sous l’égide, pour la plupart d’entre elles, de l’Organisation des Nations Unis (ONU), créée au lendemain de la guerre.
La banque mondiale et le FMI mis en place durant la deuxième guerre mondiale (1944) par les accords de Breton Wood en New Hampshire (USA), ont initialement porté leurs efforts sur la reconstruction de l’Europe d’après-guerre. Il replacent aujourd’hui toutes leurs activités dans le cadre global de la lutte contre la pauvreté en finançant des programmes et des projets oeuvrant pour pallier les conséquences des catastrophes naturelles, régler les urgences humanitaires, gérer les conflits dans les pays en développement et appuyer les économies en transition. A cela, il faudrait ajouter les actions considérables des ONG (ENDA) et certains organismes gouvernementaux bailleurs de fond (UE, ACDI, GTZ, ENDA, USAID, JICA, etc.) au niveau national et international. Ces actions qui se traduisent par des interventions humanitaires financées par les pays riches en faveurs des pays pauvres dans l’objectif global de lutter contre la famine, les épidémies, et d’aider les couches les plus vulnérables (femmes et enfants) pendant les moments de crises graves comme les guerres et les catastrophes naturelles. Il est recensé actuellement plus de 50.000 ONG de ce type contre 10.000 au début des années 80 et 700 en 1939 (TROGER, 2003).
Pour confirmer ces faits, le même TROGER affirmait : « Notre siècle a connu les actions humanitaires les plus importantes de l’histoire de l’humanité » (2003). Malgré ces plusieurs décennies d’investissement et d’aide au développement en faveurs des pays en voie de développement, les résultats se sont avérés de peu à très peu convaincants. En effet, les actions de développement menées sous formes de projets identifiés, sont souvent confrontées à des grandes difficultés tout au long de leur cycle. L’une des difficultés de pérennisation de ces actions est l’inefficacité des méthodologies et des approches utilisées. En effet, elles connaissent dans la plupart des cas, des déficits dans la planification, le suivi et l’évaluation des projets. En début des années 80, Il était alors nécessaire de reconsidérer, les différentes méthodologies d’intervention afin de donner un nouvel élan à la volonté d’aide au développement.
Pendant cette période, de nombreux pays africains éprouvaient de nombreuses difficultés pour faire face au quotidien. La situation économique était la suivante: énorme dette, inflation croissance négative, etc. La banque mondiale à l’instar de plusieurs organismes financiers ont dû réorienter leurs actions à diverses reprises : les problèmes macroéconomiques et les questions de rééchelonnement des dettes se sont traduits dans les années 80, par l’avènement du Programme d’ajustement structurel (PAS). Ce programme qui toucha tous les secteurs de l’économie des pays concernés dont l’agriculture : c’est Le programme d’ajustement structurel agricole ou tout simplement, le programme d’ajustement du secteur agricole (PASA). Les actions de développement se revêtirent alors de nouveaux principes et s’articulèrent davantage autour de la participation des populations cibles, la prise en compte effective du genre, des aspects socioculturels, de la viabilité économique et de l’environnement dans la planification. De tels principes permettaient de s’inscrire dans le contexte du développement durable conformément aux exigences du sommet de la planète de Rio en 1992.
Cependant le problème de développement de l'Afrique reste posé. Les méthodologies d’approches et d’intervention en milieu rural connaissent depuis lors beaucoup de critique, de mise en cause et de mutation.
...
2 – Choix de l’outil de collecte d’informations
Pour la collecte des informations, nous avons opté pour un entretien semi-structuré avec les personnes enquêtées au sein des institutions. Il a été établit au préalable, une fiche d’entretien (cf. ANNEXE No 1) avec des questions ouvertes qui offrent la possibilité aux personnes enquêtées de s’exprimer librement sur le sujet abordé. Cette stratégie nous permettait de recueillir le maximum d’information sur les systèmes de fonctionnement de l’organisme et les difficultés réelles auxquelles il fait face. Outre les informations recueillies pendant les entretiens, nous avons bénéficié d’une large gamme de documents (brochures, publications, articles, manuels) que les personnes enquêtées nous fournissent après les entretiens. Il faut également compter le fait que nous sommes restés en contact permanent avec ces personnes jusqu’à l’établissement final du présent rapport.
II – LES DIFFICULTES RENCONTREES
Comme nous l’avons signalé précédemment, une vingtaine d’organismes figuraient dans notre programme d’entretien, mais suite à de difficultés diverses, nous n’avons pu réaliser q’une douzaine d’entretiens. Les principales difficultés sont formulées de la façon suivante :
- Les personnes enquêtées n’ont pas toujours une connaissance approfondie des différents concepts du développement. En effet, les personnes oeuvrant dans le domaine du développement au Maroc, ne sont pas forcement des spécialistes du développement. Elles sont issues de formations diverses.
- Certains concepts sont nouveaux ; donc, il était difficile de trouver une documentation riche et approfondie à leur sujet.
- Le personnel des organismes et des institutions est occupée ; d’où la difficulté d’obtenir des rendez-vous, la difficulté de synchroniser les rendez–vous et la difficulté de respecter les rendez - vous.
Malgré ces difficultés rencontrées sur le terrain, les entretiens que nous avons pu réaliser se sont passés dans des conditions de convivialité, de confiance, d’intérêt et de respect mutuel.
Table des matières :
INTRODUCTION GENERALE :……………………………………………………….…….…...…..1
PROBLEMATIQUE :…………………………………………………………………………...…...…3
METHODOLOGIE :………………………………………………………………………….……......7
I - DEFINITION :.................... 13
II - ORIGINE DU CONCEPT............................... 14
III – DEFINITION DE CONCEPTS INCLUANT LE DEVELOPPEMENT ............... 14
1– Le développement durable.................................14
2 – Le développement participatif ..........................15
3 - Le développement agricole. ..............................15
4 – Le développement rural ....................................16
5 – Le développement local....................................16
6 – Le développement intégré ................................17
CONCLUSION :...................... 18
INTRODUCTION ................... 19
I - LES PROJETS DE DEVELOPPEMENT...................................... 19
1 - Définition ...........................19
2 - L’approche projet ...............20
II - LES PROGRAMMES DE DEVELOPPEMENT......................... 20
1 - Définition ...........................20
2 - L’approche programme .....................................21
III - ETUDE COMPARATIVE DE PROJETS ET PROGRAMMES DE DEVELOPPEMENT................ 21
IV - CONDITIONS DE REUSSITE DE PROJETS/PROGRAMMES DE DEVELOPPEMENT............... 23
V - AVANTAGES ET LIMITES DES PROJETS/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT.................... 23
1 - Avantages ...........................23
2 - Limites................................23
INTRODUCTION ................... 25
I - PRESENTATION DU CONCEPT................... 25
1 - Définition ...........................25
2 - Historique du concept.........26
3 - Formes - Niveau - Type de participation ..........27
3.1 - Formes de participation ...........27
3.2 - Type de participation ...............28
3.3 - Les niveaux de participation...................................29
4 - Les outils de participation ................................29
II - LES ATOUTS DE LA PARTICIPATION ................................... 31
III - LES CONTRAINTES DE LA PARTICIPATION ..................... 32
IV – LA PARTICIPATION PENDANT LA VIE DES PROJETS .................................. 33
CONCLUSION........................ 35
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE
TABLE DES MATIERES
CHAPITRE II : LES PROJETS ET LES PROGRAMMES DE DEVELOPPEMENT
CHAP I : LE CONCEPT DU DEVELOPPEMENT
CHAP III : LE CONCEPT DE LA PARTICIPATION
INTRODUCTION :................. 36
I - LE CONCEPT DE L’EVALUATION............. 36
1 – Définition...........................36
2 - Le but de l’évaluation des projets de développement. .....................37
3 - Typologie de l’évaluation..................................37
4 – Les différents types d’évaluation et leurs rôles ...............................38
5 - Les critères d’évaluation des projets de développement..................39
II – EVALUATION FINANCIERE ET ECONOMIQUE DES PROJETS ET PROGRAMMES DE
DEVELOPPEMENT............... 40
INTRODUCTION :................. 40
1 - Différence entre évaluation financière et évaluation économique ...40
2 - Les indices quantitatifs de calcul de rentabilité des projets .............41
2.1 - les méthodes traditionnelles....................................42
2.1.1 - Le délai de récupération ou pay-back ................................42
2.1.2 - Les ratios avantage - coût sans actualisation......................43
2.2 - Les méthodes dynamiques......................................43
2.2.1 - La valeur actuelle nette (VAN) ...........43
2.2.2 - Le taux de rentabilité interne (TRI)....................................44
2.2.3 - Le taux de rentabilité économique (TRE) ..........................45
CONCLUSION :...................... 45
INTRODUCTION ................... 46
I – LES PRINCIPES DES METHODES CLASSIQUES DE PREPARATION ............ 46
DES PROJETS DE DEVELOOPEMENT........... 46
1 – Définition...........................46
2 - Caractéristiques des méthodes classiques .........46
II – LES FAIBLESSES DES METHODES CLASSIQUES .............. 47
1 - Négligence de la participation des bénéficiaires ..............................47
2 - Négligence des facteurs externes du projet .......47
3 - Des objectifs nébuleux ......................................48
4 – Ignorance de certains facteurs de qualité..........48
CONCLUSION........................ 48
INTRODUCTION ................... 49
I – HISTORIQUE DE LA MATRICE DU CADRE LOGIQUE....... 49
1 – Origine du cadre logique ..................................49
2 – L’évolution du cadre logique............................50
II – APPROCHE DU CADRE LOGIQUE........... 51
III – DESCRIPTION DU CADRE LOGIQUE................................... 52
1 – présentation du cadre logique ...........................52
2 – Les différentes parties du cadre logique ...........52
2.1 – 1ere Colonne : Logique d’intervention et les quatre niveaux d’objectifs ...53
2.2 – Les autres colonnes : Les IOV, les SMV et les Hypothèses .................53
2.2.1 - Les indicateurs objectivement vérifiables (IOV) ...............53
2.2.2 – Les sources et moyens de vérification (SMV)...................54
CHAPITRE I : LES METHODES CLASSIQUES DE CONCEPTION DES PROJETS
DEUXIEME PARTIE : OUTILS ET METODES DE CONCEPTION ET DE GESTION
PARTICIPATIVE DES PROJETS DE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE II : LE CADRE LOGIQUE
CHAP IV : EVALUATION FINANCIERE ET ECONOMIQUE DES PROJETS DE
DEVELOPPEMENT
2.2.3 - Les risques et hypothèses ....................54
3 – la logique verticale et horizontale.....................54
3.1 - La logique verticale .................54
3.2 - La logique horizontale .............55
IV – AVANTAGE DU CADRE LOGIQUE......... 55
V – FAIBLESSE DU CADRE LOGIQUE ........... 56
1 - Les faiblesses liées à la matrice.........................56
2 - Les faiblesses liées à l’utilisation du cadre logique .........................58
VI - COMMENT AMELIORER L’ EFFICACITE DU CADRE LOGIQUE ? ............. 59
CONCLUSION........................ 60
INTRODUCTION ................... 61
I – HISTORIQUE.................... 62
1 – L’agence allemande d’assistance technique (GTZ).........................62
2 – Origine et évolution de la PPO .........................62
II – LES FONDEMENTS DE LA ZOPP............ 63
1 – Les principes de la PPO....................................63
2 – Les différents intervenants et leurs rôles ..........64
3 - Les exigences de la méthode.............................66
III – LES DIFFERENTES ETAPES ET DEMARCHES DE LA PPO ........................... 66
1 – Les Objectifs de la PPO....................................68
2 – La phase d’analyse.............68
2.1 - Analyse de la situation de départ ............................68
2.2 - Analyse de la participation .....................................68
2.3 - Analyse de problèmes..............70
2.4 - Analyse des objectifs ...............71
2.5 - Analyse des alternatives ..........71
3 - Etape de planification du projet ........................72
3.1 – Elaboration de la SPP ou cadre logique .................73
3.1.1 - Détermination de la logique de l’intervention....................73
3.1.2 – Détermination des hypothèses ............74
3.1.3 – Détermination des I.O.V.....................75
3.1.4 - Détermination des sources et moyens de vérification (SMV)...........................75
3.2 – Finalisation du SPP .................75
3.2.1 – Détermination des moyens .................75
3.2.2 – Détermination des coûts .....................76
3.3 - Le planning des opérations .....................................76
3.4 - Le schéma de planification des projets (SPP) et vérification finale de la matrice...............77
IV – AVANTAGES DE LA PPO........................... 77
1 – Les atouts de la méthode ..................................77
2 – ZOPP et cadre logique......................................78
V – LES LIMITES DE LA PPO........................... 79
CONLUSION........................... 79
INTRODUCTION ................... 81
I- PRESENTATION DU CONCEPT DE CYCLE DE PROJET...... 81
1- Définition ............................82
2- Les différentes phases du cycle de Projet...........82
2.1- Les phases de préparation ...............................84
2.2- La phase de mise en œuvre du projet ..............84
CHAPITRE III : LA PLANIFICATION DES PROJETS PAR OBJECTIFS (PPO)
CHAPITRE IV : LA GESTION DU CYCLE DE PROJET (GCP)
2.3- La phase d’évaluation......................................85
II- LA GESTION DU CYCLE DE PROJET (GCP) .......................... 85
1- Définition ............................85
2 – La gestion de projet et la gestion de cycle de projets ......................86
2.1 – La gestion de projet.................86
2.2 - La gestion de cycle de projet .................................86
3 - Les avantages de la GCP...................................87
4 – La GCP et la PPO ..............87
5 – La GCP et le cadre logique...............................90
III- LA GESTION INTEGREE DE CYCLE DE PROJET............... 91
CONCLUSION........................ 92
INTRODUCTION ................... 93
I – DEFINITION DE L’APPROCHE................... 94
II - HISTORIQUE................... 95
III – PRINCIPE DE LA GAR ............................... 96
1 - Définition du concept de résultats selon la GAR .............................96
2 - Démarches et caractéristiques de l’approche de la GAR .................97
3 - Le cadre de rendement ......................................99
3.1 - La mesure du cadre de rendement ........................101
3.2 - Le suivi du rendement ...........102
3.3 – Participation ..........................103
4 - Le cadre logique axé sur les résultats..............103
IV – LA GAR ET LES AUTRES METHODES DE GESTION DE PROJETS (ACL, PPO ET GCP)... 105
1 - La GAR et le cadre logique.............................105
2 - La GAR et la PPO ............105
3 - La GAR et la GCP............106
I – DIFFICULTES DE LA METHODE............. 107
CONCLUSION...................... 107
INTRODUCTION ................. 109
I - DEFINITION.................... 109
III - HISTORIQUE ............... 110
III - UTILISATION DE LA MARP ................... 111
1 - Pourquoi la MARP ? .......................................111
2 – Comment utiliser la MARP ? .........................111
IV - LES PRINCIPES DE LA MARP ................ 112
V – OBJETIFS ET TYPOLOGIES DE LA MARP ......................... 113
1 – Les objectifs de la MARP...............................113
2 - La typologie de la MARP................................113
VI - LES OUTILS METHODOLOGIQUES DE LA MARP ......... 114
1 – les outils de collecte participative de l’information.......................114
1.1 - La collecte des données socio-économiques : ......114
1.4 – La collecte des données socio-institutionnelles : ................................115
1.5 – Les outils de classification participative. .............116
2 – Les outils de planification participative..........116
VII - LA MARGE D'ERREUR ACCEPTEE.................................... 116
VIII - LES LIMITES DE LA MARP.................. 117
CONCLUSION :.................... 118
CHAPITRE VI : LA METHODE ACTIVE EN RECHERCHE PARTICIPATIVE (MARP)
CHAPITRE V : LA GESTION AXEE SUR LES RESULTATS (GAR)
INTRODUCTION ................. 119
I – DEFINITION ................... 119
II – HISTORIQUE ................ 120
III – RAPPEL DES CONCEPTS LIES AUX QUESTIONS DU GENRE .................... 120
III – PRINCIPES FONDAMENTAUX DE L’ASEG....................... 122
1 – Objectifs...........................122
2 - But ....................................123
3 - Principes directeurs ..........123
4 - Approche ..........................123
5 – Le Fonctionnement du Programme ASEG....................................123
6 – Les niveaux d’actions .....................................124
IV - LES OUTILS DE L’ASEG .......................... 124
V – INTEGRATION DE L’ASEG A LA GCP ................................. 126
CONCLUSION...................... 127
INTRODUCTION ................. 128
I - DEFINITION DU DIAGNOSTIC GLOBAL, RAPIDE ET PARTICIPATIF........ 128
II - SCHEMA DU DIAGNOSTIC GLOBAL RAPIDE ET PARTICIPATIF............... 129
III - LES FONDEMENTS DU DIGRAP ............ 130
IV - LES ETAPES DU DIGRAP POUR L’ ELABORATION DU PLAN D’ ACIONS.............................. 131
PARTICIPATIF .................... 131
V - DESCRIPTION DE QUELQUES ETAPES ............................... 133
VI - MATERIELS ET MOMENT D’INTERVENTION................. 135
VII - LES PRECAUTIONS A PRENDRE POUR REUSSIR LE DIGRAP.................. 136
CONCLUSION...................... 137
INTRODUCTION ................. 138
I – LA METHODE GRAAP................................ 139
1 – Définition.........................139
2 - Démarches et principes ...................................139
2.1 - Objectifs/fonctions:................139
2.2 - Place dans le cycle de l'approche participative:...................................139
2.3 - Impact/capacité d'appropriation de l'outil par les communautés: ........139
2.4 - Conditions de mise en oeuvre:..............................140
II – LA METODE PHAST .................................. 140
1 - Définition .........................140
2 - Historique .........................140
3 - Objectif.............................141
4 - Les principes de la méthode ............................141
5 - La démarche de la méthode PHAST ...............141
6 - Quelques instructions pour réussir le PHAST................................143
III - LA METHODOLOGIE COAIT ................. 144
1 - Introduction ......................144
2 - PRESENTATION DU COAIT .......................144
2.1 – Définition du COAIT ............ 144
2.2 – Les spécificités du COAIT...................................145
CHAPITRE VII : L’ANALYSE SOCIOECONOMIQUE SELON LE GENRE (ASEG)
CHAPITRE IX : AUTRES METHODES PARTICIPATIVES DE GESTION DES PROJETS DES
PROJETS DE DEVELOPEMENT
CHAPITRE VIII : LE DIAGNOSTIC GLOBAL RAPIDE ET PARTICIPATIF (DIGRAP)
2.3 - principes de travail................146
3 - La réalisation du COAIT.................................146
4 - Le COAIT et les autres méthodes participatives............................147
6 - Conclusion................Erreur ! Signet non défini.
IV - LA MICROREALISATION........................ 149
1 - Définition: ........................149
2 - Caractéristiques: ...............149
CONCLUSION...................... 150
INTRODUCTION :............... 152
INTRODUCTION ................. 153
I - LES AGENCES GOUVERNEMENTALES DE DEVELOPPEMENT ................... 153
1 - Agence canadienne de développement internationale (ACDI) ......154
1.1 - Présentation............................154
1.2 - Les principes d'efficacité du développement de l’ACDI.....................154
1.3 - Les priorités de développement ............................155
1.4 - Les programmes d'intervention de la stratégie de coopération 2003-2010.........................155
2 – L’Agence de développement social (ADS) ...................................156
2.1 - présentation de l’agence.........156
2.2 - La structure de l’agence.........157
2.3 - Secteur d’intervention de l’ADS...........................157
2.4 – Les critères généraux d’Eligibilité .......................157
3 - Agence américaine pour développement international (USAID) .................................158
4 – L’agence allemande d’assistance technique (GTZ).......................158
5 – L’agence française de développement............159
II – LES ORGANISMES ONUSIENS................ 160
III – LES INSTITUTIONS FINANCIERES: LA BANQUE MONDIALE ( BM)........ 161
IV – LES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES (ONG) ...................... 162
CONCLUSION...................... 163
INTRODCTION.................... 164
I – LES CONTRAINTES DU SYSTEME D’AIDE AU DEVELOPPEMENT ............. 164
1 – Les contraintes liées aux organisations donatrices ........................164
1.1 – Les contraintes structurelles.................................164
1.2 – Les contraintes méthodologiques.........................166
1.3 – Les contraintes matériels......................................167
2 - Les contraintes liées au demandeurs de financement.....................167
II – AUTRES CARACTERISTIQUES DU SYTHEME D’AIDE AU DEVELOPPEMENT......168
1 – Les principes communs ..................................168
2 – Concertation et intégration des institutions de développement .....169
CONCLUSION...................... 169
CONCLUSION GENERALE .…….……………………………………….…..…………….…...….173
RECOMMANDATIONS...…..………………….…………….…………………………….…..…...175
REFERENCES BIBLIGRAPHIQUES…………………………………………………….….……...178