13 Hacks à connaître pour bien rédiger son mémoire de fin d’études

La rédaction de mémoire représente l’aboutissement de tout un parcours universitaire. Rédiger un mémoire requiert du temps. Il est donc important d’avoir une bonne organisation et de la rigueur. S’il s’agit de votre premier mémoire, cette étape de vos études peut être une source de stress. Découvrez nos trois astuces pour bien écrire votre mémoire.

Table des matières

Les références : indispensables pour valider un mémoire

Le carnet de mémoire : votre meilleur allié

Se fixer une discipline dans la rédaction et l’édition

Travailler en appliquant la loi de Parkinson

S’inspirer intelligemment sans plagier

Utiliser les logiciels de diction

Définir un sujet largement documenté qui vous plait

Adopter la bonne méthodologie

S’organiser correctement

Définir son champ d’intervention précisément

La démarche empirique avec un accent sur les recommandations

Une synthèse ou conclusion claire qui apporte une vraie valeur au lecteur

Les références : indispensables pour valider un mémoire

Dès le début de l’année, vous devez étudier les pistes afin de trouver un sujet. Pour cela, vous pouvez commencer à trier la bibliographie. Avoir une vague idée du sujet n’est pas suffisant. Il est important de formuler votre sujet à travers une problématique précise.

Les sources représentent la base de votre travail. Un mémoire de Master avec seulement six références n’est pas défendable. Vous remarquerez dans les thèses que les auteurs citent une référence à chaque paragraphe. Faites-en de même dans votre mémoire.

Pour éviter que les membres du jury vous tombent dessus, jouez l’assurance en citant le plus de références. Même si internet représente une véritable mine d’or en terme de références, n’hésitez pas à vous rendre dans des bibliothèques pour faire des recherches plus approfondies.

Le carnet de mémoire : votre meilleur allié

Vous êtes dans le métro, vous marchez dans la rue et tout d’un coup, vous avez un éclair. Dans ces moments où vous avez une idée, il est important d’avoir un petit carnet pour tout noter.

Vous pouvez noter sur la première page le sommaire de vos idées d’abord. Dans les autres pages, vous pouvez développer chaque idée. Mettez toutes vos notes sur un même carnet. Grâce à cette méthode, toutes vos idées sont centralisées sur un même support. Il vous sera facile de les trouver après pour les retranscrire dans votre mémoire.

Qui ne rêve pas de passer des heures sur un travail pour le terminer en avance ? Cette idée est tentante. Pourtant, votre cerveau a besoin de se reposer, c’est scientifique. Tôt ou tard, vous allez avoir des pertes de concentration.

Afin d’optimiser votre temps durant la rédaction du mémoire, vous devez bien organiser votre temps et optimiser le temps de concentration de votre cerveau. Commencez à rédiger pendant 25 minutes au maximum. Ensuite, prenez une pause de 5 minutes pour laisser votre cerveau souffler. Vous pouvez vous atteler à la rédaction de nouveau pour 25 minutes. Cette fois-ci, une pause de 15 minutes est de rigueur.

Selon votre état d’esprit, vous pouvez rallonger le temps de pause ou au contraire le raccourcir. Utilisez le minuteur de votre téléphone pour vous situer par rapport à l’heure.

Se fixer une discipline dans la rédaction et l’édition

Durant les premiers mois, vous avez entamé les recherches du sujet et de la bibliographie. La prochaine étape consiste à rédiger le mémoire. Dans ce contexte, vous devez fixer des objectifs en nombre de pages. Cette démarche est nécessaire notamment dans le cas d’une mémoire de recherche qui compte plus de 200 pages. Avant de fixer les objectifs, prenez conscience d’abord de votre vitesse de rédaction.

Si vous avez eu des imprévus sur une semaine, vous pouvez rattraper ce retard sur la semaine suivante. Ne vous mettez pas la pression à cause d’un retard.

N’attendez pas le dernier mois pour rédiger votre mémoire. Vous risquez de rendre un travail avec beaucoup de fautes. Pourtant, le jury scrute de près la syntaxe et l’orthographe. Même s’il ne s’agit pas d’erreurs de fonds, vous risquez de perdre des points inutilement. Affectez les quatre ou trois dernières semaines à la relecture de votre ouvrage.

N’hésitez pas à utiliser des outils de vérification de l’orthographe. Vous pouvez également solliciter une personne extérieure pour lire votre mémoire. Ce dernier doit comprendre toutes les phrases que vous utilisez. Si tel n’est pas le cas, reformulez les phrases.

Vous pouvez également faire appel à un rédacteur spécialisé, Expertmemoire fournit une aide à la rédaction de mémoire à forte valeur ajoutée permettant non seulement de se libérer du temps, mais de bénéficier de l’aide d’un spécialiste expérimenté. Que vous soyez en activité professionnelle, en stage, en vacances, ou tout simplement indisposé pour rédiger votre mémoire pour des raisons personnelles, déléguer devient un maitre-mot incontournable pour réussir l’épreuve du mémoire.

« Rédiger un mémoire » ces trois mots capables de semer la terreur chez les étudiants, en effet un mémoire de fin d’études est un travail incontournable nécessitant beaucoup de recherche et de réflexion , dans lequel l’étudiant mettra en avant, de manière scientifique, les connaissances acquises tout au long de son cursus. C’est un travail qui se fait généralement sur une année et peut s’étaler sur plusieurs années (allant de trois à cinq ans) dans le cadre de thèse de doctorat. La rédaction du mémoire passe par plusieurs étapes, pendant cette période l’étudiant doit s’organiser afin de présenter un travail de qualité et réussir à séduire le jury.

Travailler en appliquant la loi de Parkinson :

Appelée également la loi fondamentale de l’organisation du travail. Elle consiste tout simplement à se fixer des objectifs à atteindre ( en termes de délai réaliste ) ce qui permettra à l’étudiant ( ou chercheur ) d’avancer plus rapidement. Les étudiants ont tendance à être plus productifs lorsqu’ils sont sous pression, donc l’intérêt de cette méthode est de se fixer des échéances courtes , de travailler avec une certaine manière de pression ce qui va booster la capacité de l’étudiant à travailler rapidement et surtout efficacement.

S’inspirer intelligemment sans plagier

Il n’y a aucun mal de consulter ce qui a été fait par ses prédécesseurs, c’est même une démarche très utile pour voir et les techniques qui marchent le mieux , regardez comment ça a été fait , voir le plan, le cheminement intellectuel... etc Mais il faut éviter de plagier, d'aller trop loin dans l’imitation , il ne faut pas oublier que tous les mémoires font l’objet d'une vérification par des logiciels anti plagiat très sensibles . C'est considéré comme de la triche , qu’il soit volontaire ou non , l’étudiant risque des sanctions sévères notamment le rejet de son mémoire ou même l’expulsion de l’établissement , il faut être très vigilant à ce sujet, l’étudiant doit mettre toujours entre guillemets les similitudes ainsi que les références bibliographiques, il peut aussi utiliser des logiciels anti plagiat tel que « plagscan » avant de remettre son travail , pour vérifier si ce dernier contient des similitudes et dans ce cas de figure procéder aux ajustements et corrections nécessaires.

Utiliser les logiciels de diction

Ce sont des logiciels de reconnaissance et dictée vocale qui offrent une fonctionnalité de saisie automatique, l’étudiant n’a qu'à choisir un endroit calme pour dicter son texte ( qu’il soit une reformulation , des témoignages à retranscrire…) à voix haute et claire, ce qui lui permet de gagner plus de temps qu’en écrivant au clavier.

A noter qu’ils ne procurent pas une rédaction parfaite, il y’a des mots qui ne seront pas compris par le logiciel, aussi il faut faire attention aux fautes d’orthographe donc le mieux serait de relire et corriger les erreurs.

Pour conclure cet article, je dirai que la rédaction d’un mémoire de fin d’études est une étape cruciale dans le cursus de chaque étudiant avant l’obtention du diplôme, il montre la capacité de l’étudiant à maîtriser son sujet , certes il prend du temps pour se construire ce qui nécessite une excellente organisation pour ce faire il faut élaborant un plan et le respecter rigoureusement, mais il vaut la peine car il permet la validation de ses connaissances.

À la fin des études et dans certains cas, à la fin du premier semestre, les étudiants en master font face à la rédaction de leur TER ou travail d’étude et de recherche. C’est plus qu’un simple document et à côté de ce travail, les étudiants ont d’autres obligations comme les périodes de stage ou encore les examens. Êtes-vous dans cette situation stressante ? Voici quelques conseils qui peuvent vous être utiles pour réussir votre TER.

Définir un sujet largement documenté qui vous plait

La réussite du TER réside sur le bon choix du sujet. Si certains étudiants se trouvent bloqués dans l’élaboration de leur travail d’étude et de recherche, c’est parce qu’ils n’ont pas très bien choisi leur sujet ou que le sujet leur a été imposé.

Il est important de prendre un sujet qui vous plaît, mais que vous maîtrisez également. Il doit correspondre à votre formation. Si possible, essayez de trouver une thématique qui pourra vous conduire à un emploi ou à la création d’une entreprise à la fin de vos études. À partir de ce TER, on évaluera non seulement votre capacité d’analyse, mais aussi votre maîtrise du sujet et des acquis théoriques.

Certes, il faut trouver le bon sujet, mais ce n’est pas non plus une raison de prendre trois ou quatre mois. Avant de fixer votre choix sur le sujet, parlez-en à vos professeurs pour qu’ils puissent vous aiguiller ou pour qu’ils puissent vous recadrer si votre sujet est trop vague. Le choix du sujet s’accompagne automatiquement de la définition de la problématique. Ceci ne doit pas être si compliqué, mais vous devez toujours rester dans la cohérence. À ce stade, il se peut que vous fassiez des recherches.

Adopter la bonne méthodologie

On peut définir la méthodologie comme un ensemble de méthodes et il existe différentes méthodologies. Vous devez adopter la méthodologie qui correspond le mieux à votre TER, plus précisément à l’objectif de celui-ci. Peu importe la méthodologie que vous choisissez, vous allez tôt ou tard commencer les recherches. À ce stade, il est déconseillé d’élaborer un plan pour mener les recherches. Il faut faire l’inverse, autrement dit, collecter les données, les synthétiser. Vous verrez que le plan se dessinera plus facilement.

Quand on parle de « collecter des données », on fait référence aux recherches bibliographiques, à la consultation des ressources sur Internet, mais aussi aux enquêtes sur terrain et à la considération des connaissances théoriques. Pour l’élaboration du plan de votre TER, renseignez-vous auprès de votre établissement de formation, car il peut avoir un type de plan à suivre.

S’organiser correctement

En plus de la rédaction de votre TER, vous avez votre stage, votre travail en alternance et les examens à côté. Pour pouvoir gérer tout ceci et surtout pour ne pas rater la date butoir, l’organisation doit être le mot maître. Prenez du recul pour bien déterminer le volume de travail lié à l’élaboration de ce travail d’étude et de recherche.

Faites une petite liste des étapes importantes et rajoutez une date à laquelle vous devez terminer chaque étape. On peut comprendre que la date butoir de remise de votre TER approche, mais il faut également être raisonnable pour fixer les dates des étapes de l’élaboration de votre TER. Le travail ne se limite pas uniquement à la rédaction, car vous devez également relire et peaufiner le contenu.

Quand vous avez fini une étape de l’élaboration de votre TER, il serait judicieux de voir ce que vous avez fini avec le professeur qui vous encadre ou votre « référent ». Ce calendrier avec les dates et les activités vous servira de guide et si vous le respectez, vous mettez toutes les chances de votre côté pour réussir votre TER.

En conclusion, compte du défi que représente la rédaction d’un mémoire, bénéficier d’une aide rédactionnelle en relève donc pas du luxe. Compte tenu du temps et de l’investissement nécessaire pour rédiger, un rédacteur spécialisé d’une société comme Expertmemoire.com peut s’avérer être une option intéressante.

Produire un travail d’étude et de recherche n’est pas une sinécure. Que ce soit en fin de formation académique ou professionnelle ou pour des raisons d’ordre scientifique, produire un TER nécessite non seulement des efforts intellectuels mais surtout une approche rigoureuse, condition sine qua non pour parvenir à des résultats concluants.

En effet, le TER aide à élargir les connaissances sur un sujet, un thème précis, à clarifier les idées et à les vulgariser dans une démarche logique et rigoureuse. Le TER constate, explique et interprète des données factuelles ou même théoriques.

Définir son champ d’intervention précisément

On ne peut mener des études ou des recherches ex nihilo. Il faut forcément un thème, un contexte, un cadre d’investigation. C’est le référent de toute recherche. De quoi s’agit-il ? De quoi veut-on parler ? Le travail de recherche est centré sur quoi ? Voilà entre autres les questions qu’il faut forcément se poser avant de s’engager dans une aventure scripturale ou scientifique.

Il convient de faire remarquer que le TER, avant d’impacter une certaine cible, transfigure au préalable le rédacteur en renforçant sa curiosité, sa capacité à se remettre en cause à chaque fois. Il accentue sa capacité d’ouverture en élargissant ses propres connaissances

Après avoir choisi le sujet, il convient de l’examiner de près, d’explorer ses tenants et aboutissants puis en cerner la problématique et émettre les hypothèses.

La démarche empirique avec un accent sur les recommandations

A partir de la problématique dégagée, des hypothèses émises, on entre dans le vif du sujet. Comment élucider les différentes préoccupations du sujet de réflexion ou de recherches ? Comment vérifier les différentes hypothèses ? La réponse à ces questions oblige le rédacteur à adopter une démarche méthodologique susceptible d’aboutir à des résultats fiables et pertinents. En fonction de la thématique, deux approches sont souvent utilisées : soit la recherche documentaire soit l’enquête de terrain soit les deux à la fois.

La recherche documentaire est une démarche qui consiste à identifier, collecter et traiter des informations sur un sujet donné, en s’appuyant sur des sources fiables. Il s’agit d’identifier les sources écrites susceptibles de fournir des informations sur le thème abordé ; les répertorier.

Dans le cadre d’une rédaction web, il s’agit de consulter un grand nombre de documents électroniques se rapportant au sujet via les moteurs de recherche spécialisés en littérature académique, les bases de données bibliographiques, les catalogues, répertoires d’archives ouvertes, annuaires, les réseaux sociaux, blogs, etc.

Une synthèse ou conclusion claire qui apporte une vraie valeur au lecteur

C’est la partie déterminante d’un travail de recherche et d’étude. Après avoir recueilli les informations, il faut les traiter pour en faire une synthèse. De la synthèse jaillit le plan du travail qui orientera et éclairera la rédaction sur fond d’un style d’écriture scientifique. En effet, la rédaction s’élabore rigoureusement dans un esprit de concision et de précision. Les informations superflues sont à élaguer au maximum.

Par ailleurs, il convient de préciser que les documents doivent être exploités judicieusement et intelligemment pour ne pas tomber dans le piège du plagiat, une souillure scientifique. Aussi, le rédacteur doit-il se garder de tout jugement de valeur dans sa production.

A la fin de cette étape, le document peut être soumis au commanditaire ou à l’encadreur pour avis.

Au cas où il y aurait des observations, le rédacteur tient compte dans le document final soumis au même destinataire ou commanditaire dans les délais fixés d’accord parties.

L’ultime étape est la contrepartie du travail d’études et de recherche effectué, laquelle est générée conformément aux clauses contractuelles.

Article publié le 20 Juillet 2022 Mise à jour le Mercredi, 20 Juillet 2022 14:46 par Salim KHALIL