TP caractéristiques machine - configuration réseau - machines virtuelles

TP Objectif du TP

  • Connaître les caractéristiques de base de sa machine
  • Paramétrer les cartes réseaux : connaissance des commandes IPCONFIG
  • Savoir distinguer adresse MAC et adresse IP.{sidebar id=1}
  • Savoir vérifier sa configuration réseau
  • Installer les machines virtuelles

Travail à faire TP TP TP 

1 Retrouver la quantité de mémoire vive de votre ordinateur.

2 Combien de disques physiques et de partitions sont installés sur votre ordinateur ? Quelle est leur interface ?

3 Comment qualifiez-vous le lecteur H:\. ?

4 Récupérer l'adresse MAC de votre poste. Interprétez la.

5 Quelle est l'adresse IP de votre machine (retrouvez la de 2 manières différentes)? Notez la.

6 Lancez le navigateur et vérifiez que vous accédez à l'Internet.

7 Récupérer et Installer les machines virtuelles : Windows XP, Windows 2003 server et Linux Kubuntu (voir fiche VMWare)

8 Modifier le nom de chacune des machines Windows de manière à ce qu’elle soit du type : NomMachine-SytExploit (exemple : H022XP01-WXP, H022XP01-W2003).

9 Observer les caractéristiques de chaque machine virtuelle : {sidebar id=6}

XPW2003linux

Mémoire

=

Type disque dur

Capacité du disque

10 Lancer chaque machine pour vérifier son fonctionnement et l’accès à Internet.

11 Rajouter une carte réseau sur la machine XP mais désactivez la.

12 Télécharger les logiciels libres et gratuits manquants que vous devez impérativement maîtriser et dont la liste se trouve dans cette page.

13 Familiarisez vous avec l’utilisation de, Dia, Wireshark et GanttProject.

14 Réalisez ensuite un mini mode d’emploi avec copies d’écran en prenant des exemples simples : I Dia : réseau du lycée

I Wireshark : capture du trafic sur votre interface réseau.

I GanttProject : projet de 5 tâches dont 3 dépendantes.

15 Télécharger le logiciel SIW et élaborer un rapport de votre machine de TP. Ce rapport doit être généré au format HTML, enregistré en utilisant le nom qui figure sur le boîtier de l'unité centrale et centralisé dans le répertoire réseau du serveur IGCGO.

Documentation

.ista.eliby.com - Administration 10 Lancer chaque machine pour vérifier son fonctionnement et l’accès à Internet.

. 11 Rajouter une carte réseau sur la machine XP mais désactivez la.

. 12 Télécharger les logiciels libres et gratuits manquants que vous devez impérativement maîtriser et dont la liste se trouve dans cette page. 

. 13 Familiarisez vous avec l’utilisation de, Dia, Wireshark et GanttProject.

. 14 Réalisez ensuite un mini mode d’emploi avec copies d’écran en prenant des exemples simples : I Dia : réseau du lycée

I Wireshark : capture du trafic sur votre interface réseau.

I GanttProject : projet de 5 tâches dont 3 dépendantes.

. 15 Télécharger le logiciel SIW et élaborer un rapport de votre machine de TP. Ce rapport doit être généré au format HTML, enregistré en utilisant le nom qui figure sur le boîtier de l'unité centrale et centralisé dans le répertoire réseau du serveur IGCGO.

Documentation

  • Adaptateur réseau
  • Adressage MAC
  • Arborescence du DisqueRFC 1918

Eexecice architecture pc : installation et configuration carte SCSI

Installation et configuration d'une carte SCSI 

Exercice architecture ordinateur PC

Pour installer un serveur de réseau local, vous êtes amené(e) à choisir une carte Ultra-Wide SCSI enfichable sur port PCI et permettant la connexion de quinze périphériques.{sidebar id=1}

Le serveur doit être équipé des périphériques suivants :

  • Deux disques durs Ultra Wide SCSI de 2 Go chacun,
  • Deux lecteurs de CD-ROM 12x SCSI internes,
  • Un lecteur de CD-ROM 12x externe SCSI,
  • Une unité de sauvegarde Ioméga JAZ 1 Go externe SCSI.

Par défaut, la carte adaptateur est configurée comme ayant la priorité la plus élevée qui est 7. L’ordre des priorités est décroissante respectivement de 6 à 0 et de 15 à 8. L’ordre de chaînage des périphériques ne joue aucun rôle dans l’attribution des priorités.

Travail à Réaliser exercic

 architecture périphériques matériel 

  1. Un des deux disques durs SCSI doit être le disque de démarrage. Quel numéro d’ID doit-on lui affecter ?
  2. Proposer une affectation des numéros d’ID aux différents périphériques chaînés à l’adaptateur.
  3. Sachant que tous les périphériques sont des périphériques 16 bits, quels sont les types de câbles nécessaires pour la connexion des périphériques et combien en faut-il
  4. Présenter de manière schématique le chaînage des différents périphériques en mettant en évidence la position des terminaisons.

Corrigé :

exercice scsi

Question 1 :

Le numéro d’ID doit être conforme au numéro déclaré comme “ Boot Target ID ” dans le paramétrage de l’adaptateur SCSI.

Sur une carte Adaptec AHA-2940 Ultra Wide, ce numéro par défaut est 0. Il est modifiable en utilisant l’utilitaire de configuration de la carte. Il est préférable de donner au disque d’amorçage la priorité la plus forte après la carte hôte, soit 6. Par ailleurs si le disque est partitionné en plusieurs unités logiques, il est nécessaire de spécifier le numéro d’unité logique qui servira à l’amorçage. {sidebar id=6}

Question 2 :
Le choix des numéros d’ID est guidé par les performances des périphériques (plus un périphérique est rapide, plus on lui alloue une priorité forte).
Ainsi on peut proposer :
Périphérique  ID
Disque de démarrage  6
Deuxième disque dur   5
Lecteur de CD-ROM interne  4
Deuxième lecteur de CD-ROM interne  3
Lecteur de CD-ROM externe   2
Unité de sauvegarde  1
Question 3 :

Le câble pour relier les périphériques internes est une nappe ayant des connecteurs à 68 broches. Cette nappe doit disposer de cinq connecteurs.

Le chaînage des périphériques externes se fait par des câbles ronds à 68 broches. Il faudra deux câbles pour réaliser le chaînage externe. De préférence, on utilisera les câbles d’une même marque sur l’ensemble du bus.

Question 4 :

Pour le chaînage interne des périphériques, la terminaison est un cavalier à positionner sur le périphérique placé sur le connecteur terminal de la nappe (cas d’un périphérique à terminaison intégrée).  Si la terminaison n’est pas intégrée, il faut utiliser un module de résistance terminale intercalaire.

Pour le chaînage externe, la terminaison est un bouchon placé sur le périphérique en fin de chaîne.

Christine GAUBERT-MACON

Exercice architecture traitement des données multimédias par le pc 

Sachant que nous voulons stocker dans une base de données des séquences vidéo sonores, l’administrateur de la base de données nous demande de faire une étude qui devra nous permettre de choisir une solution matérielle en terme de supports de stockage.

Ces séquences vidéo auront une durée moyenne de 10 secondes et concerneront 1000 n-uplets {sidebar id=1}

Nous disposons des informations suivantes :multimédia

Carte d’acquisition vidéo :

  • Images 320 x 200 en 65 000 couleurs ;
  • 25 images par seconde ;
  • taux de compression 1 pour 4 (4 octets occupent 1 octet après compression).

Carte sonore : architecture

  • échantillonnage du son à 44 kHz qualité 8 bits en mono.

Travail à Réaliser

  1. Déterminez l’espace disque nécessaire pour stocker ce complément de données (images animées et son). Vous exprimerez les résultats dans des unités de mesure cohérentes en prenant soin de détailler vos calculs.
  2. Sachant que nous disposons d’un disque E-IDE avec un espace libre de 2 Go sur le serveur, vous proposerez, s’il y a lieu, les investissements nécessaires afin de supporter ce surcroît de données en tenant compte des contraintes sur les temps d’accès qu’implique ce type de données.

Pierre Wolsztynsk

Question 1 :

Calcul de la taille en octet d’une séquence vidéo sonore de 10 secondes :

Partie vidéo :

Pour obtenir une image en 65000 couleurs nous devons coder chaque pixel sur 16 bits ( 216 = 65 536) soit 2 octets. La résolution de chaque image est de 320 pixels par 200 pixels.{sidebar id=2}

Chaque image nécessite donc :

320 * 200 * 2 = 128 000 octets

Le débit étant de 25 images par seconde, chaque seconde de séquence vidéo nécessite donc :

128 000 * 25 = 3 200 000 octets

Soit 32 000 000 octets pour 10 secondes (30,5 Mo)

Après compression de 1 pour 4 nous obtenons :

32 000 000 / 4 = 8 000 000 d’octets (7,6 Mo)

Partie audio :

L’échantillonnage est une technique qui consiste à coder sous forme numérique un son analogique. Un échantillonnage à 44 kHz sur 8 bits en mono signifie que le son analogique est échantillonné en 44 000 prises de valeurs par seconde, chaque prise de valeur est ramenée à un entier codé sur un octet (codage 8bit mono).

1 seconde nécessite donc 44 000 octets.

Pour 10 secondes on obtient 440 000 octets (430 Ko)

Un séquence vidéo sonore de 10 secondes nous donne :

8 000 000 + 440 000 = 8 440 000 octets (8 Mo)

pour 1 000 enregistrements on obtient :

8 440 000 000 octets, soit 7,86 Go

Question 2 :

Nous remarquerons que la place disponible est insuffisante et qu’il faudra ajouter un disque dur.

Pour un volume de ce type et les contraintes de temps d’accès, nous aurions besoin d’utiliser un disque connecté sur une interface SCSI permettant une extensibilité plus souple dans l’avenir

Exercice architecture traitement des données multimédias par le pc

Sachant que nous voulons stocker dans une base de données des séquences vidéo sonores, l’administrateur de la base de données nous demande de faire une étude qui devra nous permettre de choisir une solution matérielle en terme de supports de stockage.

Ces séquences vidéo auront une durée moyenne de 10 secondes et concerneront 1000 n-uplets {sidebar id=1}

Nous disposons des informations suivantes :multimédia

Carte d’acquisition vidéo :

  • Images 320 x 200 en 65 000 couleurs ;
  • 25 images par seconde ;
  • taux de compression 1 pour 4 (4 octets occupent 1 octet après compression).

Carte sonore : architecture

  • échantillonnage du son à 44 kHz qualité 8 bits en mono.

Travail à Réaliser

  1. Déterminez l’espace disque nécessaire pour stocker ce complément de données (images animées et son). Vous exprimerez les résultats dans des unités de mesure cohérentes en prenant soin de détailler vos calculs.
  2. Sachant que nous disposons d’un disque E-IDE avec un espace libre de 2 Go sur le serveur, vous proposerez, s’il y a lieu, les investissements nécessaires afin de supporter ce surcroît de données en tenant compte des contraintes sur les temps d’accès qu’implique ce type de données.

Pierre Wolsztynsk

Question 1 :

Calcul de la taille en octet d’une séquence vidéo sonore de 10 secondes :

Partie vidéo :

Pour obtenir une image en 65000 couleurs nous devons coder chaque pixel sur 16 bits ( 216 = 65 536) soit 2 octets. La résolution de chaque image est de 320 pixels par 200 pixels.{sidebar id=2}

Chaque image nécessite donc :

320 * 200 * 2 = 128 000 octets

Le débit étant de 25 images par seconde, chaque seconde de séquence vidéo nécessite donc :

128 000 * 25 = 3 200 000 octets

Soit 32 000 000 octets pour 10 secondes (30,5 Mo)

Après compression de 1 pour 4 nous obtenons :

32 000 000 / 4 = 8 000 000 d’octets (7,6 Mo)

Partie audio :

L’échantillonnage est une technique qui consiste à coder sous forme numérique un son analogique. Un échantillonnage à 44 kHz sur 8 bits en mono signifie que le son analogique est échantillonné en 44 000 prises de valeurs par seconde, chaque prise de valeur est ramenée à un entier codé sur un octet (codage 8bit mono).

1 seconde nécessite donc 44 000 octets.

Pour 10 secondes on obtient 440 000 octets (430 Ko)

Un séquence vidéo sonore de 10 secondes nous donne :

8 000 000 + 440 000 = 8 440 000 octets (8 Mo)

pour 1 000 enregistrements on obtient :

8 440 000 000 octets, soit 7,86 Go

Question 2 :

Nous remarquerons que la place disponible est insuffisante et qu’il faudra ajouter un disque dur.

Pour un volume de ce type et les contraintes de temps d’accès, nous aurions besoin d’utiliser un disque connecté sur une interface SCSI permettant une extensibilité plus souple dans l’avenir

 Exercices Circuits combinatoires - séquentiels - Branchement à adresse calculée-Super ALU

Exercice 1: Circuits combinatoires

On souhaite construire un multiplexeur à 4 entrées (utilisant donc 2 bits de commande) comme illustré sur la figure ci-

contre .

Question 1 donnez une implémentation de circuit à l'aide de portes logiques simples.

Question 2 on dispose désormais de multiplexeurs à 2 entrées (à un 1 bit de commande). Montrez que l'on peut construire MUX4 avec un exemplaires de MUX2 (idée : filtrer en deux étapes) .Prenez soin de bien numéroter les fils sur votre schéma.

Exercice 2: Branchement à adresse calculée

Le jeu d'instruction Y86 ne possède pas d'instruction permettant  de faire un saut inconditionnel à une adresse contenue dans un registre .c'est pourtant fort utiles .On se propose donc d'écrire une fonction jmp-eax qui effectue un saut à l'adresse contenue dans le registre %eax au moment de l'appelle .Dans le code ci-contre, les deux première lignes sont ainsi équivalentes à l'instruction  jmp label.

Question 1 pour réaliser la fonction jmp_eax, l'idée est d'utiliser l’instruction ret après avoir modifié l'adresse de retour... Donnez le code de la fonction jmp_eax.

Question 2 Expliquez calmement et soigneusement le fonctionnement du  programme ci-contre. A quoi servent les deux lignes addl %ebx, %ebx ? Quel bloc d’instructions (0,1 ou 2) sera exécuté dans cet exemple ?

Question 3 Imaginez le code C dont la compilation produirait un tel code assembleur. Quel est l'intérêt d'utiliser  une tel structure de code assembleur plutôt qu'un code correspondant à un enchainement de if...elseif...elseif...?

{sidebar id=1}

Question4 On souhaite ajouter dans le jeu d'instruction Y86 une instruction (jr %reg), effectuant un saut inconditionnel  l'adresse contenue dans le registre Opérande. Cela permettra typiquement d'utiliser jr %eax au lieu de call jmp_eax .En considérant la version pipeline du processeur. Expliquer le problème posé par cette instruction concernant la prédiction de branchement .A quel étage du pipeline connaitra-t-on avec certitude l'adresse de l'instruction suivante? Détruisez-en le nombre de cycles dans le pipeline.

Question 5 répondre aux même questions que dans Q4 dans le cas d'une instruction (jm dep1(%reg))permettant de faire un saut à une adresse chargée depuis la mémoire (e.g. jm 8(%edp)) .

Question 6 les deux séquences de code ci-après sont donc fonctionnellement équivalente .Qu'en est-il de leur performance?

Appuyez-vous sur des chronogrammes montrant la progression des instructions dans le pipeline Y86 pour chacune de deux séquences. On notera simplement OP l'instruction se trouvant à  l'adresse destinataire du branchement .Attention aux dépendances!

Question7 (indépendante de Q5 et Q6, sauf pur la définition de jump memory) La feuille jointe au sujet reproduit l'essentiel du fichier seq-std.hcl, qui décrit la version séquentielle simple de processeur Y86 .On suppose qu'on dispose du symbole supplémentaire IJM pur désigner l'instruction "Jump Memory": écrivez directement sur cette feuille les ajouts que vous proposez pour traiter cette instruction.

NB: n’oubliez pas d'inscrire votre numéro d'anonymat sur la feuille avant de l'insérer dans votre copie.

Exercice 3: Circuits séquentiels et horloge

Le circuit ci-contre est bistable D sur lequel on relié la sortie a l'entrée D. On suppose qu'initialement la sortie Q vaut 0.

Question 1:En utilisant un chronogramme s'étalant sur au moins 4 cycles d'horloge. Comparez les 2 signaux .Queconstatez-vous?

Question 2 : Déduisez-en façon de réaliser un circuit acceptant en entrée un  signal d'horloge ainsi qu'un bit de commande (0=normal, 1=slow) et fournissant en sortie soit le signal d'horloge inchangé (mode normal) soit un signal d'horloge de période deux fois plus longue (mode slow).

Question 3 :Proposez un circuit composé de deux bistables D qui permette de diviser la fréquence d'horloge par quatre (idée: pensez au compteur de Johoson). Tracez le chronogramme s'étalant sur au moins 8 cycles d'horloge.

Exercice 4: Super ALU

l'ALU du processeur Y86 , représentée ci-contre, est capable d'effectuer une opération sélectionnée parmi quatre

disponibles en fonction de la valeur alufum codée sur 2 bits :00=ADD, 01=SUB,10=A11=XOR. On suppose qu'on dispose également d'un circuit similaires, nommé MULDIV, capable d'effectuer une multiplication ou une division, suivant la valeur de son signal de commande binaire:0=MUL, 1=DIV. Pour simplifier ,on considère que le résultat de ce circuit sort également sur 32bits.

Question 1:assemblez ces deux circuits en une seule (en utilisant des portes et /ou des circuits supplémentaires) ou la sélection de l'opération désirée  s'effectuera au moyen d'un signal de commande a 3 bits. Choisissez un codage des opérations (ADD, SUB, AND, XOR, MUL, DIV) simplifiant la réalisation.

Question 2: On décide donc de remplacer l'ancienne ALU par notre nouvelle Super ALU au sein de la version pipeline de Y86. Si on suppose qu'une opération MUL ou DIV a besoin de 2 cycles pour se stabiliser, expliquer ce qu'il faut faire pour que l'exécution se déroule normalement lorsque une telle opération se trouve à l'étage Execute.

Question 3:Finalement, ce n'était peut-être pas une si bonne idée d'assembler ALU et MULDIV .Si l'on avait simplementp;nbsp; juxtaposé ces deux circuits dans le processeur, on aurait pu espérer effectuer certaines opérations en parallèle. Par exemple, une instruction addl chargée juste après une instruction div1 pourrait entrer à l'étage Execute pendant le seco nd cycle d'activité du circuit MULDIV...  C'est précisément ce qui se passe dans un processeur superscalaire.les deux instructions add1 et par la suite, lors de leur passage simultané aux étages suivants(on suppose que div1se comporte de manière similaire à add1) ? Comment pourrai-on résoudre ces problèmes ?

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