Cours XML pour débutant

XML: eXtensible Markup Language
Fondements,
Modélisation,
Présentation et
Programmation
Sommaire
• Fondements de la technologie XML
• Modélisation et validation de documents XML
• Présentation des documents XML
• Programmation en utilisant XML
XML: eXtensible Markup Language
Partie 1:
Fondements et notions de base
Notion de document électronique
• Définitions
– Objet qui joue un rôle de médiateur entre les hommes dans le temps et l'espace (échange d’information)
– Moyen de communication de la pensée, de la connaissance, de l'information et du savoir
– Un document est un « ensemble formé par un support et une information » (ISO TC-46)
– Se présente sous la forme de textes, tableaux, dessins, photos, ...
– Un document a un contenu (structure logique) et un fond (structure physique)
Modèles de document
• Structure logique
– Décrit le contenu d’un document (information)
– Par exemple: Chapitre, section, paragraphes, figures, notes…
• Structure physique
– Décrit la forme et le support du document (formatage)
– Par exemple: tomes, pages, cadres, pavés, fenêtres
• Caractéristiques communes des 2 structures:
– Composées ou élémentaires (molécule / atomes)
– Générique ou spécifique (date / le 29-11-2006)
Exemple d’un document (article)
Titre XML: eXtensible Markup Language
Auteur Wikipédia
Section 1. Introduction
XML (Extensible Markup Language, « langage de balisage extensible ») est un langage informatique de
Paragraphe balisage générique. Le W3C recommande XML pour
exprimer des langages de balisages spécifiques (exemples : XHTML, SVG, XSLT).
Son objectif initial est de faciliter l'échange automatisé de contenus entre systèmes d'informations hétérogènes,
Paragraphe notamment, sur Internet. XML est un sous-ensemble de SGML dont il retient plusieurs principes dont : la
structure d'un document XML est définissable et validable par un schéma, un document XML est entièrement transformable dans un autre document XML.
Section 2. Objectif initial
L'objectif initial de XML était de proposer un SGML simplifié. Cette technologie …
Exemple d’un document: Structure logique
<Article>
<Titre> XML: eXtensible Markup Language </Titre>
<Auteur>Wikipédia</Auteur>
<Section titre = "Introduction">
<Paragraphe>XML (Extensible Markup Language, « langage de balisage extensible ») est un langage informatique de balisage générique. Le W3C recommande XML pour exprimer des langages de balisages spécifiques (exemples : XHTML, SVG, XSLT). … </Paragraphe>
<Paragraphe> Son objectif initial est de faciliter l'échange automatisé de contenus entre systèmes d'informations hétérogènes, notamment, sur Internet. XML est un sous-ensemble de SGML dont il retient plusieurs principes dont : la structure d'un document XML est définissable et validable par un schéma, un document XML est entièrement transformable dans un autre document XML. </Paragraphe>
</Section>
<Section titre= "Objectif initial"> …
</Section>
</article>
Exemple d’un document: Structure physique
<Article>
<Titre police="Times" taille="24" position="centré" format="gras"/>
<Auteur police="Times" taille="20" position="centré" format="italique"/>
<Section numero="1" police="Times" taille="18" position="centré" format=" gras "/>
<Paragraphe police="Times" taille="18" position="justifié"/>
</article>
World Wide Web Consortium
• W3C - Fondé en 1994
• Consortium industriel international accueilli par différents sites
– MIT/LCS aux Etats-Unis
– INRIA en Europe
– Keio University au Japon
• 448 membres industriels en septembre 2000
• Accroitre le potentiel du WEB
– Standards et Normes
– Techniques, langages et architectures pour l’échange de documents sur le WEB
Origines
Langages de représentation de documents
• Par ordre chronologique:
– SGML (Norme ISO 8879 en 1986, révisée en
1988 et 1994)
• Méta-langage général
– HTML (Standard W3C depuis 1989)
• Structure générale figée
– XML (Standard W3C depuis 1998)
• Méta-langage simplifié compatible SGML
SGML: présentation
• Une norme internationale :
– Standard Generalized Markup Language
– ISO 8879 - 1989
• Un métalangage de balisage de documents
– lisible par l’être humain et traitable par une machine
– permet de définir des langages de balisage
• Les documents sont balisés conformément à la grammaire (la DTD)
– instances de DTD
– permet un balisage sémantique du fond.
• Implique la notion de validité d'un document
SGML : objectifs
• Séparation du fond et de la forme
– possibilité de multiples présentations
– un seul document en SGML
– plusieurs formats : Postcript, HTML, etc.
• Support de traitements sur le contenu des documents sans prise en compte de la forme
• Proposition d’un cadre défini pour l’expression des modèles documentaires (validité, contrôle)
• Format de stockage et d’échange normalisé
SGML : critiques
• Très lourd et complexe pour la mise en œuvre de documents respectant ce format
• Une grande rigueur est demandée à l'entrée des documents
• Standard complexe et complet pour le traitement des documents
• Liens hypertextes possibles mais complexes
HTML : présentation
• Proposé par le W3C comme format de documents sur le Web
• Langage simple avec des balises standardisées permettant la mise en forme d’un texte.
• Standard reconnu par tous les navigateurs.
• Langage très populaire sur le Web
<HTML>
<HEAD>
<TITLE> Exemple </TITLE>
</HEAD>
<BODY>
<H1>Contenu du document</H1>
<A HREF = " "> une référence externe</A>
</BODY>
</HTML>
HTML : inconvénients
• Normalisation des différentes balises difficile
– les constructeurs ont eu tendance à définir leurs propres balises pour répondre à leurs besoins (incompatibilité)
– HTML est dédié pour un seul type de terminaux
• Mises à jour difficiles
– restructuration ou remise en forme de l’ensemble des pages du site fastidieux
– Incapacité d’extension sans "plugins" coté client (formules mathématiques, modélisations de molécules, scènes 3D…)
• Mélange de structures logique et physique
– données utiles mélangée avec la mise en forme
– Difficultés à trouver l’information recherchée
SGML et HTML : Résumé
• SGML – lange puissant pouvant décrire toute structure – Documents difficile à définir – Documents | • HTML – spécialisation de SGML – adapté à la présentation – inadapté à l'échange entre programmes |
difficiles à utiliser
XML : Présentation
• XML= un nouveau langage d'échange basésur le balisage
• XML= plus simple que SGML
• XML= plus ouvert que HTML
• XML = développé par XML Working Group dirigé par le W3C (depuis 1996)
• XML 1.0 = recommandation officielle du W3C depuis le 10 février 1998
XML: objectifs fixés par le W3C (1)
• XML doit pouvoir être utilisé sans difficultésur Internet
• XML doit soutenir une grande variétéd'applications
• XML doit être compatible avec SGML et
HTML
• Il doit être facile d'écrire des programmes traitant les documents XML
• Le nombre d'options dans XML doit être réduit au minimum, idéalement à aucune
XML: objectifs fixés par le W3C (2)
• Les documents XML doivent être lisibles par l'homme
• Les documents XML doivent être raisonnablement clairs
• La spécification de XML doit être disponible rapidement
• La conception de XML doit être formelle et concise
• Il doit être facile de créer des documents XML
Forces de XML
• Séparation de la structure et de la présentation
• Moins confus que HTML
• Plus simple que SGML
• Idéal pour l'échange de données semi-structurées
• Utilisable entre machines hétérogènes
XML: utilités (1)
• XML est un Méta-langage universel pour représenter les données échangées sur le Web qui permet au développeur de délivrer du contenu depuis les applications à d'autres applications ou aux navigateurs
• XML standardise la manière dont l'information est :
– échangée
– présentée
– archivée
– retrouvée
– transformée
– cryptée– ...
XML
XML: utilités (2)
• Définir vos propres langages d’échange
– Commande, facture, bordereau de livraison, etc.
• Modéliser des documents et des messages
– Modèle logique de données
– Eléments typés agrégés (DTD, XML Schema)
• Publier des informations
– Neutre du point de vue format
– Mise en forme avec des feuilles de style
• Archiver des données
– Auto-description des archives (recherche d’information)
Pourquoi XML ?
Concepts de XML
• Balise (ou tag ou label)
– Marque de début et fin permettant de repérer un élément textuel
– Forme: <balise> de début, </balise> de fin
• Elément de données
– Texte encadré par une balise de début et une de fin– Les éléments de données peuvent être imbriquées
<producteur> <adresse>
<rue>A. Einstein</rue>
<ville>Villeurbanne</ville>
</adresse>
</producteur>
• Attribut
– Doublet nom="valeur" qualifiant une balise
<producteur no="160017" region="Rhône">
XML
Exemple 1 d’un document XML
Exemple 2 d’un document XML
Structure Arborescente d’un document XML
La base d’un document XML: l’élément
• Quand utiliser les attributs?
- Valeur unique de type simple (information monovaluée)
• Quand utiliser les éléments?
- Valeur de type complexe (énumérations, possède des propriétés)
Espaces de noms
• Comment mixer des tags (ou balises) issus de différents langages?
• Un espace de noms est caractérisé par un préfixe
Le préfixe permet de retrouver le langage
<!–- définition des espaces de noms ->
<tag xmlns:mic=";, xmlns:pj=";>
<!– utilisation des espaces de noms ->
<mic:Adresse><ville>Villeurbanne</ville><zip>69100</zip></mic:Adresse>
<pj:Adresse>Villeurbanne 69 Rhône</pj:Adresse>
• Mécanisme intéressant pour l'intégration de contenus
XML
• Architectures N-tiers
– Production de documents XML à partir de services (couche métier)
– Transformation de ces documents pour des formats d’affichage, d’impression, de transfert..
• Stockage de données– Format spécifiques (exemple: SVG)
• Stockage de données
– Fichiers de configuration (exemple: JBOSS)
<?xml version="1.0" encoding = "ISO-8859-1"?> <!DOCTYPE ejb-jar PUBLIC '-//Sun Microsystems, Inc.//DTD Enterprise JavaBeans 2.0//EN' ''> <ejb-jar> <enterprise-beans> <session> <ejb-name>LegoBlocksEJB</ejb-name> <home>legoBean.LegoBlocksSessionHome</home> <remote>legoBean.LegoBlocksSession</remote> <ejb-class>legoBean.LegoBlocksSessionBean</ejb-class> <session-type>Stateful</session-type> <transaction-type>Container</transaction-type> </session> </enterprise-beans> </ejb-jar> |
• Echange de données
– Échanges Business to Business, services web…
Bases de données vs XML
Approche « Donnée »
Structuration forte et simple
Compatibilité SGBDR existants
Mise à jour en place
Intégrité sémantique
Indexation exacte
Adapté au transactionnel et décisionnel Performances attendues « moyenne » à « forte » pour une volumétrie « moyenne »
Approche « Document »
Structuration faible et complexe
Systèmes documentaires spécialisés Gestion de versions
Recherche textuelle
Indexation approchée
Accès type moteur de recherche
Performances attendues
« moyenne » pour une volumétrie
« forte »
Pourquoi XML ?
Equivalences BD / XML
• Une table dans une BD peut correspondre à un document
XML (elle correspond en réel à une classe d’objets)
<class name="person">
• Une ligne dans la table décrit une instance d’un objet.
Elle correspond à un élément XML
<instance id="Person_001">
• Chaque colonne de la ligne correspond à une propriété de l’objet
<property name="age">22</property>
Un autre contexte d’utilisation de XML:
- Mapping relationnel/objet
- Fusion de sources de données hétérogènes
L’état actuel de XML
• Un standard d'échange
– Lisible : texte balisé avec marquage
– Clair : séparation du fond et de la forme
– Extensible : supporte les évolutions applicatives
– Sécurisé : pare-feu, encryption, signature
• Développé par le W3C
– Pour le Web (Internet, Intranet)
– S'étend à l'entreprise et ses partenaires• Supporté par les grands constructeurs
– IBM, Microsoft .net, SUN, BEA, etc.
– Des outils génériques et ouverts
Pourquoi XML ?
Langages XML : une nébuleuse en expansion
XML Encyption
XML: Exercice (structuration de données)
• Donnez une version structurée du document suivant:
Une bouteille d'eau Cristaline de 150 cl contient par litre 71 mg d'ions positifs calcium, et 5,5 mg d'ions positifs magnésium. On y trouve également des ions négatifs comme des chlorures à 20 mg par litre et des nitrates avec 1 mg par litre. Elle est recueillie à StCyr la Source, dans le département du Loiret. Son code barre est 3274080005003 et son pH est de 7,45. Comme la bouteille est sale, quelques autres matériaux comme du fer s'y trouvent en suspension.
Une seconde bouteille d'eau Cristaline a été, elle, recueillie à la source d'Aurèle dans les Alpes Maritimes. La concentration en ions calcium est de 98 mg/l, et en ions magnésium de 4 mg/l. Il y a 3,6 mg/l d'ions chlorure et 2 mg/l de nitrates, pour un pH de 7,4. Le code barre de cette bouteille de 50 cl est 3268840001008.
Une bouteille de même contenance est de marque Volvic, et a été puisée à... Volvic, bien connu pour ses sources donnant un pH neutre de 7. Elle comprend 11,5 mg/l d'ions calcium, 8,0 mg/l d'ions magnésium, 13,5 mg/l d'ions chlorures et 6,3 mg/l d'ions nitrates. Elle contient également des particules de silice. Son code barre est 3057640117008.
PS : Volvic est dans le Puy-de-Dôme...
XML: Exercice (structuration de données)
<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1" ?> - <eau> - <bouteille> <marque>Cristaline</marque> - <composition> <ion type="positif">calcium 71mg/l</ion> <ion type="positif">magnésium 5,5mg/l</ion> <ion type="negatif">chlorure 20mg/l</ion> <ion type="negatif">nitrate 1mg/l</ion> <autre type="metal">fer</autre> </composition> - <source> <ville>St-Cyr la Source</ville> <departement>Loiret</departement> </source> <code_barre>3274080005003</code_barre> <contenance unit="cl">150</contenance> <ph>7,45</ph> | - - <source> <ville>Aurèle</ville> <departement>Alpes Maritimes</departement> </source> <code_barre>3268840001008</code_barre> <contenance unit="cl">50</contenance> <ph>7,4</ph> </bouteille> - <bouteille> <marque>Volvic</marque> - <composition> … </composition> - <source> … </source> ![]() </bouteille> </eau> |
</bouteille>
<bouteille>
<marque>Cristaline</marque>
- <composition>
<ion type="positif">calcium 98mg/l</ion>
…
</composition>
XML: eXtensible Markup Language
Partie 2:
Modélisation des documents:
DTD et Schéma
Introduction
• Un document XML peut être associé à :
– une DTD ou un schéma pour décrire les balises – Une feuille de style pour présenter les données
• Une DTD ou/et un schéma permettent de définir son propre langage basé sur XML
– Vocabulaire (balises)
– Grammaire (imbrications)Dialecte ou Jargon
Introduction
Validité des documents
• Document bien formé (Well Formed document)
– Guillemets (ou apostrophes) obligatoires autour des valeurs
<adresse id=‘2’ type=‘domicile’/>
– Les éléments vides utilisent une notation spécifique
<image src=‘’/> <image src=‘’></image>
– Les balises doivent être correctement imbriquées
<b><i> NON ! </b></i>
– Le document a une seule racine
– Un attribut est unique dans son élément
• Document valide (Valid document)
– bien formé + conforme à la DTD ou au schéma qui lui est associé
Introduction
Exercice: documents bien formés?
• QUESTION: Est-ce que les documents suivants sont bien formés ?
• REPONSE 1:
• REPONSE 2:
• REPONSE 3:
DTD
• Permet de définir le «vocabulaire» et la structure qui seront utilisés dans le
document XML
• Grammaire du langage dont les phrases sont des documents XML (instances)
• Peut être mise dans un fichier (DTD externe) et être appelée dans le document
XML
Déclaration d'élément simple
• <! ELEMENT balise (définition) >
– Le paramètre définition représente soit un type de donnée prédéfini, soit un élément de données composé, constitué lui même d'éléments – Types prédéfinis
• ANY : L'élément peut contenir tout type de donnée
• EMPTY : L'élément ne contient pas de données spécifiques
• #PCDATA : L'élément doit contenir une chaîne de caractère
– Exemple
• <! ELEMENT Nom (#PCDATA)>
• <Nom>Victor Hugo</Nom>
Déclaration d'élément composé
• Définit une séquence ou un choix d'éléments
• Syntaxe spécifique avec opérateurs de composition d'éléments :
<! ELEMENT balise (composition) >
Opérateur | Signification | Exemple |
+ | L'élément doit être présent au minimum une fois | A+ |
* | L'élément peut être présent plusieurs fois (ou aucune) | A* |
? | L'élément peut être optionnellement présent | A? |
| | L'élément A ou B peuvent être présents (pas les deux) | A|B |
, | L'élément A doit être présent et suivi de l'élément B | A,B |
() | Les parenthèses permettent de regrouper des éléments afin de leur appliquer les autres opérateurs | (A,B)+ |
Exemple d'élément composé
• <!ELEMENT personne (nom, prenom+, tel?, adresse) >
<!ELEMENT nom (#PCDATA) >
<!ELEMENT prenom (#PCDATA) >
<!ELEMENT tel(#PCDATA) >
<!ELEMENT email (#PCDATA) >
<!ELEMENT adresse (ANY) >
• <personne>
<nom>Hugo</nom>
<prenom>Victor</prenom>
<prenom>Charles</prenom>
<tel>01120243</tel>
<adresse><rue></rue><ville>Paris</ville></adresse>
</personne>
Déclaration d'attributs
• <! ATTLIST balise Attribut Type Mode >
– balise spécifie l'élément auquel est attaché l'attribut – Attribut est le nom de l'attribut déclaré
– Type définit le type de donnée de l'attribut choisi parmi:
• CDATA
– Chaînes de caractères entre guillemets ("aa") non analysées
• Enumération
– Liste de valeurs séparées par |
– <! ATTLIST balise Attribut (Valeur1 | Valeur2 | ... ) >
• ID et IDREF
– Clé et référence à clé
– Mode précise le caractère obligatoire ou non de l'attribut
• #REQUIRED, #IMPLIED ou #FIXED
Exemple d'attributs
<! ATTLIST personne
num ID, age CDATA, genre (Masculin | Feminin ) >
<!ELEMENT auteur (#PCDATA) >
<!ELEMENT editeur (#PCDATA) >
<!ATTLIST auteur genre (Masculin | Feminin ) #REQUIRED ville CDATA #IMPLIED>
<!ATTLIST editeur ville CDATA #FIXED "Paris">
Exemple de DTD
Exemple de DTD interne
<?xml version="1.0" standalone="yes"?>
<!DOCTYPE DOCUMENT [
<!ELEMENT DOCUMENT(PERSONNE*)>
<!ELEMENT PERSONNE (#PCDATA)>
<!ATTLIST PERSONNE PNUM ID #REQUIRED>
<!ATTLIST PERSONNE MERE IDREF #IMPLIED>
<!ATTLIST PERSONNE PERE IDREF #IMPLIED> ]>
<DOCUMENT>
<PERSONNE PNUM = "P1">Marie</PERSONNE>
<PERSONNE PNUM = "P2">Jean</PERSONNE>
<PERSONNE PNUM = "P3" MERE="P1" PERE="P2">Pierre</PERSONNE> <PERSONNE PNUM = "P4" MERE="P1" PERE="P2">Julie</PERSONNE>
</DOCUMENT>
DTD externe
• Modèle pour plusieurs documents
– partage des balises, attributs et structures
• Définition locale ou externe
<!DOCTYPE doc SYSTEM "">
<!DOCTYPE doc PUBLIC "">
• Exemple de document
<?xml version="1.0" standalone="no"?> <!DOCTYPE modeles SYSTEM "">
...
DTD : Entité paramètre
• Permet la définition d'un groupe d'éléments sous un nom
(macro) <!ENTITY %nom "definition"> • Réutilisable dans une DTD par simple appel %nom;
• Exemple :
<!ENTITY %genres "(homme | femme)"> <!ATTLIST auteur genre %genres; #REQUIRED>
• Peuvent être externes :
<!ENTITY %mpeg SYSTEM "">
DTD : Entité générale
• Permet la définition d'un texte sous un nom
<!ENTITY nom "texte">
• Réutilisable dans un document par simple appel &nom;
• Exemple
<?xml version="1.0"?>
<!DOCTYPE exemple [
<!ELEMENT exemple (#PCDATA, important)>
<!ELEMENT important (#PCDATA)>
<!ENTITY cie "Les Vignerons Réunis">
<!ENTITY imp "<important>Attention!</important>"> ]>
<exemple> &cie; &imp; </exemple>
Quelques règles d'écriture
• Modularité
– définir dans des entités séparées les parties réutilisables
• Précédence
– Regrouper les déclarations d'entités en tête
• Abstraction
– Utiliser des entités pour les modèles de contenus
• Spécificité
– Éviter les DTD trop générales
• Simplicité
– Découper les DTD trop complexes
DTD: Exercice (Catalogue de films)
• On se propose de définir un format XML de stockage d’un catalogue de films sur DVD.
• Le catalogue comprend un ensemble de fiches de films
• Chaque fiche comprend:
– Un numéro unique
– Le titre du film
– Un ou plusieurs réalisateurs
– Un ou plusieurs éditeurs
– Les acteurs principaux
– Le genre du film (comédie, horreur, action…) (en option)
– Un commentaire optionnel qui présente brièvement l’histoire du film
– Un lien éventuel vers le site du film
DTD: Exercice (Catalogue de films)
<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!--premier niveau: cataloque -->
<!ELEMENT cataloguedvd (fiche)*>
<!--deuxième niveau: fiche -->
<!ELEMENT fiche (titre, technique,commentaire?,internet?)>
<!ATTLIST fiche genre (Horreur|Action|comédie|inconnu) #IMPLIED numero CDATA #REQUIRED>
<!--troisième niveau: sous éléments de ‘fiche’ -->
<!ELEMENT titre (#PCDATA)>
<!ELEMENT commentaire (#PCDATA)>
<!ELEMENT internet (#PCDATA)>
<!ELEMENT technique (realisateur+,editeur+,acteur*)>
<!--quatrième niveau: sous éléments de ‘technique’ -->
<!ELEMENT realisateur (#PCDATA)>
<!ELEMENT editeur (#PCDATA)>
<!ELEMENT acteur (#PCDATA)>
Insuffisance des DTD
• Pas de types de données à part du texte (#PCDATA)
• Expression de cardinalités limitée (‘?’, ‘*’ et ‘+’)
• Syntaxe spécifique (pas XML)
– difficile à interpréter
– difficile à traduire en schéma objets
• Propositions de compléments
– XML-schema du W3C
DTD
XML Schéma
• Un schéma d'un document définit:
– les éléments possibles dans le document
– les attributs associés à ces éléments
– la structure du document et les types de données
• Le schéma est spécifié en XML
– pas de nouveau langage
– balisage de déclaration
– utilise un espace de nom xs: (ou xsd:)
• Présente de nombreux avantages
– types de données personnalisés
– extensibilité par héritage et ouverture
– analysable par un parseur XML standard
Schema
Objectifs des schémas
• Reprendre les acquis des DTD
– Plus riche et complet que les DTD
• Permettre de typer les données
– Eléments simples et complexes
– Attributs simples
• Permettre de définir des contraintes
– Existence obligatoire ou optionnelle– Domaines de valeurs, cardinalités, références – Patterns, ...
• S'intégrer à la nébuleuse XML
– Espace de noms
– Structure d'arbre logique
Schema
Les types XML
• La base d’un schéma XML: l’élément
<xs:element name="…" type="…"/>
• Un élément peut avoir un type:
– Simple si sa valeur a un type prédéfini en XML-SCHEMA (xs:string, xs:int, xs:decimal, xs:double…) ou une extension de ces types
– Complexe s’il contient des sous éléments ou s’il comporte un attribut
• xs:all tous les éléments doivent exister (peu importe l’ordre)
• xs:choice un des éléments doit exister
• xs:sequence tous les éléments doivent exister dans l’ordre spécifié
Modèles de contenu et types
• Quatre catégories de modèles de contenu
• Deux catégories de types de données: simple et complexe
Les types simples
• string
Confirm this is electric
• byte
-1, 126
• integer
-126789, -1, 0, 1, 126789
• positiveInteger
1, 126789
• negativeInteger
-126789, -1
• hexBinary
0FB7
• int
-1, 126789675
• unsignedInt
0, 1267896754
• boolean
true, false 1, 0
• date
1999-05-31
• ID
"A212"
• IDREF
"A212"
• IDREFS
"A212" "B213"
• anyURI
#5
• language
en-GB, en-US, fr
• dateTime
1999-05-31T13:20:00.000-05:00
• Et beaucoup d’autres
Short, long, float
Les types complexes
• Définition d'objets complexes
– <sequence> : collection ordonnée d'éléments typés
– <all> : collection non ordonnée d'éléments typés
– <choice>: choix entre éléments typés
• Exemple
<xs:complexType name="AddresseFR"> <xs:sequence>
<xs:element name="nom" type="xs:string"/> <xs:element name="rue" type="xs:string"/>
<xs:element name="ville" type="xs:string"/>
<xs:element name="codep" type="xs:decimal"/>
</xs:sequence>
<xs:attribute name="pays" type="xs:NMTOKEN" fixed="FR"/>
</xs:complexType>
Héritage de types
• Définition de sous-types par héritage
– Par extension : ajout d'informations
– Par restriction : ajout de contraintes
• Possibilité de contraindre la dérivation
• Exemple d’extension :
<xs:complexType name="AdressePays">
<xs:complexContent>
<xs:extension base="Adresse">
<xs:sequence>
<xs:element name="pays« type="string"/>
</xs:sequence>
</xs:extension>
</xs:complexContent>
</xs:complexType>
Les patterns
• Contraintes sur type simple prédéfini
• Utilisation d'expression régulières
– Similaires à celles de Perl
• Exemple de restriction
<xs:simpleType name="num5">
<xs:restriction base="xs:string">
<xs:pattern value="\d{5}"/>
</xs:restriction>
</xs:simpleType>
• Autres facettes de restriction
- xs:mininclusive, xs:maxexclusive, xs:enumeration, xs:length…
Réutilisation de types
• Type simple avec extension
<xs:simpleType name="num5">
<xs:restriction base="xs:string">
<xs:pattern value="\d{5}"/>
</xs:restriction>
</xs:simpleType>
• Type complexe (séquence)

<xs:element name="livre">
<xs:complexType>
<xs:sequence>
<xs:element name="Titre" type="xs:string"/>
<xs:element name="Auteur" type="xs:string"/>
<xs:element name="ISBN" type="num5"/>
</xs:sequence>
</xs:complexType>
</xs:element>
Les occurences
• Une bibliothèque contient au moins un livre
<xs:element name="biblio">
<xs:complexType>
<xs:sequence>
<xs:element ref="livre" minOccurs="1" maxOccurs="unbounded"/> </xs:sequence>
</xs:complexType>
</xs:element>
Les attributs 1/2
• Les éléments à contenu simple avec attributs
<titre id="RF525">La bible de XML</titre>
<xs:complexType name="titleWithID">
<xs:simpleContent>
<xs:extension base="xs:string">
<xs:attribute name="id" type="xs:ID"/>
</xs:extension>
</xs:simpleContent>
</xs:complexType>
Les attributs 2/2
• Les éléments à contenu complexe avec attributs
<traduction langue="allemand" dateTraduction="2003-12-01">
<traducteur>Michael</traducteur>
</traduction>
<xs:element name="traduction" minOccurs="0" maxOccurs="unbounded">
<xs:complexType> <xs:sequence>
<xs:element name="traducteur" type="xs:string" minOccurs="1" maxOccurs="unbounded"/>
</xs:sequence>
<xs:attribute name="langue" use="required" type="xs:string"/>
<xs:attribute name="dateTraduction" use="optional" type="xs:date"/> </xs:complexType>
</xs:element>
Groupage d’éléments
<xs:group name="TitreAuteurISBN">
<xs:sequence>
<xs:element name="Titre" type="xs:string"/>
<xs:element name="Auteur" type="xs:string"/>
<xs:element name="ISBN" type="num5"/>
</xs:sequence>
</xs:group>
<xs:element name="livre">
<xs:complexType>
<xs:sequence>
<xs:group ref="TitreAuteurISBN"/>
<xs:element ref="traduction"/>
</xs:sequence>
</xs:complexType>
</xs:element>
Référence à un Schéma XML
• Référence sans espace de noms
• Référence avec espace de noms
Schema
Bilan DTD et Schéma
• Les DTD définissent la grammaire des documents
• Elles sont de plus en plus souvent remplacées par des schémas
• Le standard XML-Schéma est un peu complexe
– Une solution intermédiaire entre les DTD et les Schémas
–
– RELAX est en cours de standardisation ISO
DTD et Schema
XML: eXtensible Markup Language
Partie 3:
Présentation et transformations de documents
Formatage de document XML
• Un document et sa DTD ou schéma ne donnent pas d’indications sur sa représentation.
– Une description supplémentaire est nécessaire:
DSSSL XSL
CSS
Document Style eXtensible Stylesheet Semantics and Cascading Style Language
Specification language Sheets
Cascading Style Sheets (CSS)
• Recommandation W3C (CSS1: 1996, CSS2:
1998)
• S’applique à HTML et XML
• Support approximatif par les navigateurs
– Voir
– Meilleurs support dans Mozilla et IE6
• Principes
– Cascade
– Correspondance d’éléments (sélecteurs)
CSS: Syntaxe
• Attachement d’une feuille de style à un document
– <xml-stylesheet type="text/css" href=""?>
• Syntaxe générale
– Sélecteur {propriété: valeur; propriété: valeur;…}
• Sélecteur
– Voir
CSS: propriétés
• Mesure des longueurs
– Mesure relatives: em, ex, %
• font-size: 1.2em; (1.2 * la taille de l’élément parent)
• line-height: 3ex; (3 * la taille d’une minuscule)
– Mesures absolues: px, pt, mm, cm
• Couleurs
– Prédéfinis: black, blue, green, maroon, yellow,…
– Numériques: #rrvvbb, rgb (n, n, n)
• Exemple
texte { font-size: 1.2em; line-height: 3ex; }
CSS: propriétés usuelles
CSS: Exemple (extrait)
Faiblesses de CSS
• CSS a été initialement prévu pou la présentation des documents HTML
Même défauts que HTML
- Syntaxe non modifiable et non extensible
- Syntaxe difficile à normaliser
- Difficultés pour trouver des éléments
XPath: adressage dans un document XML
• Identification de nœuds dans un document XML
• Base du langage de transformation XSLT et des pointeurs XLink
• Syntaxe: chemin dans l’arborescence du document
– sélecteur/sélecteur/sélecteur…
– La syntaxe générale d’un sélecteur: élément[prédicat]
• Exemples:
– image []
– /livre/listeEmprunts/emprunt[2]/sortie
XSL: eXtensible style sheet Language
• Description du formatage à appliquer à un document XML
• Composé de deux sous-ensembles
XSLT: XSL transformation
• Langage de transformation d’un arbre XML dans un autre
– Restructuration
– Génération (indexes, tables, …)
• Recommandation W3C depuis 1999
– http://www.w3.orgTR/1999/REC-xslt-19991116
• Transformation possible côté client ou côté serveur
– Côté client
• Support intégré dans IE (après mise à jour de MSXML dans IE5)
• En utilisant un formateur XML externe via javascript (ActiveX)
– Côté serveur
• En invoquant un formateur par CGI, PHP ou ASP
• En invoquant un formateur programmé (ex: Saxon, Xalan)
• En utilisant un cadre de publication XML ( ex: Cocoon)
XSLT: principes généraux
• Une feuille XSLT est un document XML
– <xsl-stylesheet ;
…
</xsl-stylesheet>
• Ensemble de règles
Sélection d’éléments et description de rendu à produire en sortie
Règles XSL: sélection
• Syntaxe XPath par rapport au nœud courant
• Utilisation de l’élément <xsl: template match=selecteur>
<xsl: template match="para">… <./xsl: template>
<xsl: template match="book[index] ">… <./xsl: template>
<xsl: template match="book[@title=‘Moby Dick’] "/chapter>…
• Règles nommées
<xsl: call-template name="format-date">
…
<xsl:template name="format-date">…</xsl:template>
Règles XSL: production
• Répétition
<xsl: template match="ListeEmprunt">
<table>
<tr><th>Emprunteur</th>
<th>sortie<th><th>Retour</th> </tr>
<xsl:for-each select="emprunt">
<tr><td><xsl:value-of select="emprunteur"/></td>…</tr> </xsl:for-each>
</table> </xsl: template>
• Conditions
<xsl: if test="condition">… </xsl: if >
<xsl: choose>
<xsl: when test="condition" >… </xsl: when> </xsl: choose>
Exemple XSLT(1/4):
Document XML d’origine
feuille de style…
feuille de style (suite)
document produit
XML: eXtensible Markup Language
Partie 4:
Programmation en utilisant XML
XML et langages de programmation
• Comment résoudre le problème de la distance entre XML et les programmes objets?
• Les services sont souvent programmés en langage objet: Java, C++, C#, VB, PHP ...
• XML
– les messages XML doivent être traduits en objets – analyseurs XML ou parseurs (terme technique utilisé) – différents niveau d'interfaces :
• Flux d'événements (SAX)
• Traduction en objet génériques (DOM)
Serveurs d'applications
Les parseurs XML
• SAX (Simple API for XML)
– Développement communautaire
–
• DOM (Document Object Model)
– Recommandation W3C
–
• JAXP (Java API for XML Processing)
– Développement communautaire SUN
–
– Couche d’abstraction de SAX, DOM et XSLT indépendante de l’implémentation
– XML et JAVA = un couple parfait ?
SAX: Simple API for XML
• SAX (Simple API for XML)
– modèle simplifié d'événements– développé par un groupe indépendant.
• Types d'événement :
– début et fin de document ;
– début et fin d'éléments ;– attributs, texte, … .
• Nombreux parseurs publics
– XP de James Clark, Aelfred, Saxon
– MSXML3 de Microsoft
– Xerces de Apache
– JAXP de SUN
SAX
SAX: Principe de fonctionnement
Les méthodes essentielles de DefaultHandler
• XMLReader – setContentHandler – setErrrorHandler – parse • ContentHandler– startDocument | • ErrorHandler – fatalError – error – warning • EntityResolver– resolveEntity |
– endDocument
– startElement
– endElement
– characters
SAX
Default Handler
Exemple SAX
SAX: exemple d’utilisation (Xerces)
DOM: Document Object Model
• Standard W3C fait pour HTML et XML
• Structure d'objets pour représenter un document
– Résultat d'un "parser"
– Arbre d'objets reliés entre eux
• Interface objet pour naviguer dans un document
– Orientée objet
– Peut être utilisée en:
• Java, C++
• C#, VB
• Python, PHP
Principaux parseurs DOM
DOM
Exemple d'arbre DOM
DOM
Lecture d’un document XML avec DOM
.Document
• Interface qui représente une arborescence XML
.Element
• Interface représentant un élément XML
String | getAttribute(String name) Retrieves an attribute value by name. |
Attr | getAttributeNode(String name) Retrieves an attribute node by name. |
NodeList | getElementsByTagName(String name) Returns a NodeList of all descendant Elements with a given tag name, in the order in which they are encountered in a preorder traversal of this Element tree. |
String | getTagName() The name of the element. |
void | removeAttribute(String name) Removes an attribute by name. |
void | setAttribute(String name, String value) Adds a new attribute. |
• Interface représentant un attribut XML
String | getName() Returns the name of this attribute. |
Element | getOwnerElement() The Element node this attribute is attached to or null if this attribute is not in use. |
boolean | getSpecified() If this attribute was explicitly given a value in the original document, this is true; otherwise, it is false. |
String | getValue() On retrieval, the value of the attribute is returned as a string. |
void | setValue(String value) On retrieval, the value of the attribute is returned as a string. |
Exemple d'utilisation de DOM
Public class ExempleDOM public static main (String argc[]) throws IOException, DOMExcetion
{XMLDocument xmlDoc = new XmlDocument();
// creation des nœuds
ElementNode nom = (ElementNode) xmlDoc.createElement("nom");
ElementNode prenom = (ElementNode) xmlDoc.createElement("prenom"); ElementNode nomfam = (ElementNode) xmlDoc.createElement("nomfam");
// creation de l'arbre xmlDoc.appendChild(nom); nom.appenChild(prenom); prenom.appendChild(xmlDoc.createTextNode("Jean"); nom.appenChild(nomfam);
Document:
nomfam.appendChild(xmlDoc.createTextNode("Dupont");
<nom ville ="Paris">
// positionnement d'un attribut
nom.setAttribute("ville", "Paris"); <prenom> Jean </prenom>
// sortie <nomfa> Dupont </nomfa>
(0); } } </nom>
DOM
SAX et DOM
SAX
? Rapide
? Peu gourmand en mémoire
Accès séquentiel
Unidirectionnel au document
DOM
? Accès aléatoire au document
? Vue hiérarchique du document
? Permet de
construire/modifier un document
Gourmand en mémoire
Outils XML
• Editeurs
– XML SPY…
• Browsers
– Mozilla…
• Convertisseurs
– Xalan…
• Parseurs
– SAX, JDOM…
• Serveurs XML
– Cocoon (cadre de publication XML)…
Pour finir
• QUESTION:
– Qu’est ce qu’on peut faire avec XML?
• REPONSE:
– Imagination is more important than knowledge
« Albert Einstein »
Références
• Elliotte Rusty Harold, XML bible, 2nd Edition, Wiley, 2001, 1206 pages.
• Alain michard, XML: langage et applications, Eyrolles, 2000
• Support de cours en ligne de George Gardarin,
• T. Bray . (ed.). Extensible Markup Language (XML) 1.0. World Wide Web Consortium (W3C), February 1998.
• B. McLaughlin. Java and XML. OReilly and Associates, Sebastopol, 2000