Administration Active Directory
Guillaume MATHIEU
Directeur Technique Flexsi
1. Présentation de Windows Server
➢ Les nouveautés
➢ Les Best Practice
2. Présentation Active Directory
➢ Qu’est ce qu’un annuaire.
➢ Les notions de forêt / domaine / OU / schéma Active Directory.
3. Les comptes utilisateurs
➢ Propriétés d’un compte utilisateur.
➢ Les modèles de compte utilisateur.
4. Les comptes ordinateurs ➢ Présentation compte ordinateur.
➢ Joindre un domaine
5. Les groupes
➢ Les étendues et les types de groupe.
➢ Les Best Practice.
6. Les Unités d’organisation ➢ Présentation générale
➢ Délégation d’administration.
7. Les stratégies de groupe ➢ Les grands principes
➢ Présentation de GPMC
➢ Les outils de diagnostics
8. Les mécanismes de réplication
➢ Présentation de la console Sites et Services Active Directory ➢ La topologie de réplication
9. Sauvegarde et restauration Active Directory
➢ Sauvegarde Active Directory
➢ Restauration autoritaire / la corbeille Active Directory
10. Notions avancées Active Directory
➢ Les outils de supervision / dépannage (DCDIAG, ASIEDIT, REPMON, REPADMIN).
11. Les services réseaux ➢ Le service DHCP
➢ Le service WINS
12. Sécuriser son annuaire Active Directory
➢ Les bonnes pratiques pour sécuriser un annuaire Active Directory
4
Le champ « Se connecter A » n’existe plus depuis Windows Server 2008. Pour se connecter à la base SAM local sur Windows Server 2008, taper : nom_machine\utilisateur ou .\utilisateur Si la machine est membre d’un domaine, se connecter au domaine en tapant :
Nom_NETBIOS\SamAccountName (msreportform\administrateur)
UserPrincipalName ()
Il est possible de définir des noms de domaine DNS supplémentaires appelés suffixes UPN.
Intérêt : le login de l’utilisateur = l’adresse de messagerie (plus simple à retenir). Toujours vérifier que le suffixe UPN n’est pas déjà utilisé au niveau d’une autre forêt que l’on approuve.
La console Server Manager permet :
➢ De paramétrer le serveur (adresse IP, pare feu, bureau à distance, Windows Update).
➢ D’ajouter les composants Windows répartis entre rôles et fonctionnalités. ➢ D’activer ou de désactiver la configuration renforcée de la sécurité d’Internet Explorer (IE ESC).
➢ De configurer les paramètres de mises à jour.
➢ De se connecter à un autre serveur à distance.
➢ D’accéder depuis un point unique aux principales consoles pour gérer chaque rôle / fonctionnalité.
A ne pas confondre avec le rôle Bureau à distance (anciennement appelé Terminal Server / Terminal Server mode serveur d’applications).
La connexion entre un client RDP et le serveur RDP est chiffrée maintenant. Windows Server génère un certificat auto-signé d’où le message d’erreur lorsque que l’on se connecte à distance. Pour ne plus avoir de message d’erreur, installer un certificat reconnu qui n’a pas expiré et se connecter au serveur avec le nom indiqué au niveau du certificat.
Activer l’authentification NLA (plus sécurisé).
Présentation PowerShell : Nouvelle interface ligne de commande / s’appuie sur le .Net Framework. Active Directory Center exécute en fait des commandes PowerShell. Extensible (ajout de CMDLETs via l’ajout de modules / snapins)
Les commandes PowerShell indispensables :
Get-Help nom_cmdlet :
Get-Help Get-Aduser –full
Get-Help Get-Aduser -examples
Get-Modules -ListAvailable : liste des modules installés
Select-object : permet de sélectionner que certains attributs de l’objet de sortie Install-Module XXX : permet d’installer le module XX (nécessite MPowerShell V5).
Les opérateurs ( < > | where –ne ), les variables $_.attributs et les filtres
La sortie de la première réponse devient un paramètre en entrée de la seconde commande.
Exemple (lister les utilisateurs et afficher certains attributs)
Get-ADUser -Filter * -SearchBase "DC=MSREPORT,DC=INTRA" -Properties * |Select-Object
CN,LastLogonDate,MemberOf,Manager,Name,SamAccountname,
UserPrincipalName,HomePhone | Export-Csv -UseCulture -Encoding UTF8 -Path c:\
Les adresses IPV6 sont en DHCP. Cela génère donc des messages d’erreurs lorsque l’on fait un DCPROMO (Windows 2008 R2)
Pour désactiver IPV6, il ne faut pas décocher la case IPV6 au niveau des propriétés TCP/IP de chaque carte réseau. Créer la valeur DWORD 32 BitsDisabledComponentsavec la valeur FF.
En fixant DisabledComponents à 0x20, on configure IPV4 comme protocole prioritaire sur IPV6 (configuration recommandée) -us
Par défaut depuis Windows Server 2008 / 2008 R2 le pare feu est activé. Il est recommandé de conserver le pare feu actif.
Si vous souhaitez désactiver le pare-feu Windows :
Toujours passer par la console « Pare feu avec Fonctionnalités avancées ». En effet, le pare feu de Windows Server 2008 / 2008 R2 dispose de 3 profils (public, privé, domaine).
Il faut bien penser à désactiver la pare-feu pour les 3 profils.
Quand on se logue sur une machine, un TGT est créé. Ce dernier liste le ou les SID du compte utilisateur et de tous les groupes auxquels le compte utilisateur appartient.
L’UAC permet de générer un second ticket. Tous les SID des groupes avec des privilèges importants comme « Administrateurs » sont
supprimés. L’utilisateur utilise par défaut ce second ticket.
Pour pouvoir bénéficier de toutes les fonctionnalités, il faut cliquer sur OK ou exécuter le programme en tant qu’administrateur. L’UAC est paramétrable par stratégie de groupe.
Par défaut depuis Windows Server 2008 / 2008 R2 l’UAC est activé.
Il est recommandé de laisser actif l’UAC. Cependant ce dernier peut générer des problèmes avec certains scripts ou des applications qui lancent des scripts. On peut avoir des accès refusés par exemple lors de l’exécution de certains scripts.
Comment désactiver l’UAC
Sous Windows 2008 R2, aller dans le Panneau de configuration | Comptes utilisateurs. Il faut redémarrer obligatoirement.
A partir de Windows 2012, lancer la console GPEDIT et définir l’option de sécurité User Account Control: Run all administrators in Admin Approval Mode.
Renommer la machine : A l’installation, Windows génère un nom aléatoire. Penser à renommer.
Ne pas renommer un serveur déjà promu en tant que contrôleur de domaine.
Pour activer Windows, il faut aller dans Panneau de configuration | Système et sécurité puis cliquer sur « Système ». Cliquer ensuite sur « Modifier la clé produit ».
Cela va lancer automatiquement l’activation par Internet. Penser à configurer un proxy auparavant si besoin. Pour plus d’informations, voir :
Installer Windows Server 2008 R2 ou versions ultérieures.
Renommer la machine.
Configurer la machine en IP fixe. A quoi sert un masque de sous réseau, une passerelle, un serveur DNS, un serveur Wins ?
Qu’est ce que l’APIPA, la configuration alternative (visible si station en DHCP). Installer le rôle serveur de fichiers (installer tous les services de rôles).
Installer le rôle IIS. N’installer que les services de rôles proposées par défaut. Quels sont les modules IIS installés par défaut ?
Activer le bureau à distance sur son serveur et accéder au serveur d’un collègue de son choix. Pourquoi y a-t-il un message d’avertissement ?
Désactiver la configuration renforcée de la sécurité d’Internet Explorer pour les administrateurs. Quels risques en terme de sécurité ?
Lancer PowerShell.
Exécuter la commande PowerShell Get-Modules -ListAvailable
Exécuter la commande Powershell Get-Alias dir et Get-Alias ls
Comparer PowerShell avec l’invite de commande CMD.
16
Qu’est ce qu’un service d’annuaire ?
Un service d'annuaire permet :
D'identifier des ressources.
Offre une méthode cohérente pour nommer, décrire, rechercher, accéder, gérer et sécuriser l’accès aux ressources de l’entreprise. Les limites Active Directory (taille, nombre d’objets…) : ?mfr=true
Fonctionnement avancé : (WS.10).aspx
Différence base SAM avec AD : AD est annuaire centralisé (accessible depuis plusieurs machines). Une base SAM est un annuaire local.
Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory : permet de créer les comptes utilisateurs, groupe, compte ordinateur, OU.
Active Directory Centre d’administration : permet de créer les comptes utilisateurs / ordinateurs, groupes, unités d’organisation (OU). Console très orientée tâches d’administration quotidiennes (créations de comptes…).
Sites et Services Active Directory : permet de forcer la réplication Active Directory et de gérer les services qui se basent sur Active Directory.
Domaine et Approbation Active Directory : permet de gérer les suffixes UPN et les relations d’approbation.
Active Directory Module for Windows PowerShell : permet de créer les comptes utilisateurs / ordinateurs, groupes, unités d’organisation (OU) en ligne de commande ou à l’aide de script.
Si l’on active le mode d’affichage « Fonctionnalités avancées », les conteneurs suivants apparaissent :
➢ Lost and Found : contient tous les objets en conflits.
➢ Program Data : conteneur vide, permet à des applications de stocker des données spécifiques à une application.
➢ NTDS Quota : contient les objets quotas qui permettent de limiter le nombre d’objets que peut créer un compte utilisateur. Le but est de se protéger des attaques par déni de service.
➢ System : contient tous les dossiers systèmes nécessaires aux bons fonctionnement d’Active Directory (les objets pour les stratégies de groupe…).
MSA / gMSA : comptes de services gérés (nouveautés 2008 R2 / 2012). Cela permet de changer le mot de passe d’un compte de service sans avoir à changer le mot de passe dans la configuration du service.
Passer en mode « Fonctionnalités avancées » permet d’afficher des onglets supplémentaires au niveau des propriétés des objets :
➢ Editeur d’attributs: sorte d’ADSIEDIT intégré au niveau des propriétés d’un compte utilisateur.
➢ Objet : permet de déterminer où se trouve l’objet (pratique pour les recherches) et de désactiver la protection contre la suppression accidentelle.
➢ Réplication des mots de passe : permet de déterminer si l’on peut mettre en cache le mot de passe sur les RODC.
La console Sites et Services n’affichent pas par défaut le nœud « services » : Ce nœud permet d’avoir une vue simplifiée du conteneur « Services » dans la partition de configuration de l’annuaire Active Directory. Pour afficher le nœud services :
Ouvrir la console Sites et Services Active Directory. Sélectionner la racine de la console et cliquer sur Affichage | Afficher le nœud des services.
Protocole permettant de résoudre un nom DNS () en une adresse IP et inversement.
Deux systèmes de résolution de noms :
➢ Zone de recherche directe : résout un nom en IP.
➢ Zone de recherche inversée : résout une IP en nom.
L’espace de noms DNS est découpé en zones DNS. Ces zones sont répartis sur des milliers de serveurs DNS.
L’interconnexion entre serveurs DNS se fait via le mécanisme de délégation et de redirection.
Afin de fournir une tolérance de panne et de répartir la charge, un serveur DNS peut disposer d’une copie en lecture seule (zone secondaire) de la zone d’un autre serveur en lecteur / écriture (zone principale).
La redirection : un serveur DNS peut rediriger les requêtes non résolues vers un autre serveur DNS.
La délégation : un serveur DNS peut déléguer une partie de l’espace de noms qu’il gère à un autre serveur (payant).
Interface : serveur DNS ne répond aux requêtes que sur certaines interfaces / IP. Un serveur DNS génère toujours une entrée de type A (Nom -> IP) pour ses interfaces en écoute même si on désactive la mise à jour dynamique DNS au niveau de la carte réseau. Problématique si des stations de travail ne peuvent pas accéder aux serveurs via certaines IP / cartes.
Le round Robin : quand on dispose de plusieurs entrées A, le serveur répond aléatoirement sur les différentes entrées.
Le TRI DNS : si plusieurs réponses possibles, le serveur DNS répond toujours avec une IP qui est dans le même réseau IP que la machine qui a fait la requête (prioritaire sur le Round Robin).
Mise à jour dynamique DNS : activable au niveau des zones DNS. Commande ipconfig /registerdns permet de forcer création enregistrement A et PTR d’une machine Windows (mise à jour dynamique DNS).
Transfert de zones : permet à un serveur hébergeant une zone secondaire (en lecture seule) de télécharger la zone depuis un autre serveur.
Wins-R : le serveur DNS s’appuie les enregistrements d’un serveur WINS.
Phénomène d’Ilot DNS :
Cache Wins sur le serveur DNS : ?mfr=true
Zones DNS en double :
Bug au niveau des zones secondaires sous Windows 2008 :
Les stations de travail localisent les contrôleurs de domaine en effectuant des requêtes sur les enregistrements DNS suivants :
➢
➢
Les contrôleurs de domaine se servent du DNS comme d’un fichier de configuration en mettant à jour leurs enregistrements. C’est le service « CLIENT DHCP » qui gère cela (ne jamais désactiver ce service).
Pour localiser qui est Emulateur PDC (lors changement mot de passe…) :
Pour forcer l’actualisation des enregistrements de services des contrôleurs de domaine (par défaut toutes les 5 minutes), taper les commandes suivantes :
Net stop netlogon & net start netlogon
Les entrées du fichier C:\Windows\System32\Config\ sont chargées au démarrage du service NETLOGON () du contrôleur de domaine.
Avec le bloc Note, ouvrir le fichier C:\WINDOWS\system32\drivers\etc\hosts. A quoi sert ce fichier ?
Installer le service DNS (Gestionnaire de Server | Ajout de rôles).
Créer la zone où XX est correspond à vos initiales. Autoriser les mises à jour dynamiques non sécurisées et sécurisées.
Créer un enregistrement www avec comme IP 192.168.140.2. Faire un ping de puis un ipconfig /displaydns puis ipconfig /flushdns puis de nouveau ipconfig /displaydns. A quoi sert le cache DNS ?
Au niveau du serveur DNS, purger le cache DNS. Expliquer la différence avec la commande ipconfig /flushdns.
Définir un suffixe DNS sur une machine en groupe de travail (Panneau de configuration |
Propriétés Systèmes | Nom de l’ordinateur | Avancé).
Faire un ipconfig /registerdns. Que fait cette commande ?
Aller dans les paramètres avancés TCP/IP, onglet DNS et désactiver la case « Enregistrer les adresses de cette connexion dans le système DNS ».
Créer une entrée dans le fichier HOST et faire un ipconfig /displaydns.
Se mettre par deux. Créer la zone « . » sur le serveur 1. Créer une nouvelle délégation pour la zone « fr » en indiquant l’IP du serveur 2.
Sur le serveur 2, créer la zone « fr » et le sous domaine google. Créer un entrée www dans « ». Faire un ping www.google.frdepuis le serveur 1 et 2.
Forêt (symbole : rectangle) : limite de réplication et de sécurité. Ensemble d’arborescences de domaine. Créer deux forêts pour séparer deux entités pour des raisons de sécurités (créer ensuite une relation d’approbation avec authentification sélective).
Arborescence de domaine (symbole plusieurs triangles reliés ensemble) : Ensemble de domaine avec une même racine de noms (noms contigus).
Domaine (symbole : triangle) : contient les objets (comptes utilisateur / ordinateur, groupes, unités d’organisation…).
Unité d’organisation (OU, symbole : le rond) : C’est un conteneur. Permet d’organiser l’annuaire, déléguer l’administration et créer des objets de stratégie de groupe.
DCPROMO : permet de convertir un serveur en groupe de travail / membre du domaine en un contrôleur de domaine et inversement (exécuter DCPROMO sur un contrôleur de domaine).
Serveur de Catalogue global : contient un réplique partielle de tous les objets de la forêt (que certains attributs). Permet de résoudre les membres des groupes universels et de faire de recherche dans l’annuaire.
SYSVOL : répertoire spécial contenant les scripts et les GPO qui répliquent sur tous les contrôleurs de domaine.
: il s’agit de la base de données Active Directory (NTDS : New Technology Directory Service). Cette base est un dérivé des bases JET (moyennement fiable mais très rapide en lecture).
Compte de restauration des services d’annuaires : un contrôleur de domaine n’a plus de base SAM locale. Le compte de restauration des services d’annuaire permet de démarrer en mode restauration des services d’annuaire sur un résidu de base SAM. Cela peut être utile pour effectuer certaines opérations de maintenance pour
Active Directory (restauration…).
Exportation des paramètres : permet de créer un fichier de réponse au format TXT pour faire une installation en mode « Serveur CORE » (Windows 2008 R2 sans interface graphique).
Toujours faire un domaine dans une forêt sauf :
➢ Si les administrateurs ne doivent pas pouvoir gérer toutes les ressources.
➢ Si vous devez avoir un nom NETBIOS différent pour chaque entité. Il n’existe pas d’équivalent des suffixes UPN pour le nom NETBIOS. L’alternative est de faire en sorte que les utilisateurs ouvrent une session avec le nom DNS de domaine. ➢ En mode natif 2008, il est possible de créer plusieurs stratégies de mots de passe alors qu’en mode natif 2003 on ne peut créer qu’une stratégie de mot de passe par domaine. Best Practice :
➢ Faire un domaine dans une forêt puis créer une OU par entités / services.
➢ Ne pas dépasser 4 à 5 niveaux d’imbrication pour les OU si possible.
➢ Déléguer l’administration au niveau des unités d’organisation.
➢ Faire une OU pour les comptes ordinateurs et une autre pour les comptes utilisateurs. Mapper les GPO sur ces OU.
Un domaine Active Directory dispose toujours de deux noms :
Le nom NETBIOS : permet aux stations antérieurs à Windows 2000 de se connecter au domaine.
Le nom DNS : peut être utilisés par les stations de travail ≥ Windows 2000. Le nom NETBIOS et le nom DNS peuvent être complètement différents.
Le nom NETBIOS apparaît au niveau du champ « Se connecter à » sur les machines Windows NT4, 2000, XP et 2003.
En mode natif 2003, on peut renommer un domaine Active Directory (utilitaire RENDOM). Cela est très déconseillé, voir impossible (avec Exchange 2007).
Les Best Practice :
Définir un nom de domaine DNS générique qui ne reprend pas le nom de la société (sauf si la probabilité que le nom de domaine change est très faible).
Utiliser les suffixes UPN pour ajouter des noms de domaine DNS.
Choisir un nom NetBIOS qui définit l’activité de la société.
Attention, pas de nom de domaine DNS de type SINGLE LABEL DNS NAME.
Définit qui peut être contrôleur au niveau d’un domaine. Débloque des fonctionnalités (groupes globaux membres d’autres groupes globaux…). Pas de retour arrière possible.
Mode de domaine | Fonctionnalités | Type de DC |
2000 mixte | Fonctionnalité de base | BDC NT4, DC 2000 / 2003 |
2000 natif | Groupe global membre d’un autre groupe global. | 2000 / 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2003 natif | Nouveau algorithme de réplication / attribut LastlogonTimestamp / authentification sélective. | 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2008 natif | DFS-R remplace NTFRS pour la réplication de SYSVOL. AES 128 / 256. Nouveaux attributs sur les Grained Password Policy. | 2008 / 2008 R2 |
2008 R2 natif | Comptes de service gérés. | 2008 R2 |
Définit qui peut être contrôleur dans la forêt Active Directory. Permet de débloquer des fonctionnalités (relation d’approbation inter-forêts…)
Pas de retour arrière possible sauf depuis le mode natif 2008 R2. Le retour en mode 2008 natif est possible si l’on a pas activé la corbeille Active Directory.
Mode de forêt | Fonctionnalités | Type de DC |
2000 natif | Fonctionnalités de base. | BDC NT4 / 2000 / 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2003 natif | Approbation de forêt / Renommage de domaine (à éviter) / support des RODC / amélioration au niveau du KCC et de l’ISTG / désactivation d’attribut. | 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2008 natif | Même fonctionnalités que le mode natif 2003. | 2008 / 2008 R2 |
2008 R2 natif | Corbeille Active Directory | 2008 R2 |
A chaque modification, l’attribut
USNChanged est incrémenté. Les contrôleurs de domaine comparent ce numéro et détermine ainsi quel contrôleur de domaine dispose de la version la plus récente.
Comment un objet est il supprimé ?
L’attribut USNChanged est incrémenté et l’objet est Déplacé dans le conteneur Deleted Users pendant la TombstoneLifeTime.
Durée de la TombstoneLifeTime : paramétrable, 60 jours par défaut pour un domaine créé avec Windows 2000, 180 pour un domaine créé avec Windows 2003 ou versions ultérieures.
(v=ws.10)
Une fois la période passée, l’objet est réellement supprimé
Pourquoi ce fonctionnement :
C’est pourvoir répliqué la suppression d’un objet
Linguering object :
C’est quand un objet apparaît comme définitivement supprimé (après la période de
TombstoneLifeTime et qu’il apparaît comme présent sur un autre dc
Le dc sur lequel il apparaît a comme linguering object (zombie). La réplication est bloqué automatiquement
Ils sont au niveau de la partition de configuration Active Directory.
Renommer la machine suivant la convention de nommage indiquée par le formateur (DCTESTLABX).
Configurer le serveur en adressage IP fixe (valider la configuration DNS).
Installer le rôle serveur DNS.
Installer le rôle Active Directory Domain Services.
Jusqu’à Windows Server 2008 R2, exécuter l’assistant DCPROMO (Domain Controller Promotion).
A partir de Windows Server 2012, utiliser le Server Manager (ajout du rôle Active DirectoryDomain Services).
Définir comme serveur DNS principal, l’IP du premier contrôleur de domaine. Expliquer pourquoi ?
Faire un ping puis ipconfig /displaydns Faire ensuite un ipconfig /flushdns puis ipconfig /displaydns. Expliquer. Lancer l’assistant DCPROMO. Une fois l’écran de bienvenue se lance, aller le gestionnaire de rôle dans la section Rôles de Server. Que constatez vous ?
Suivre les indications sur les captures d’écran.
En mode avancé, il est possible de spécifier depuis quel contrôleur de domaine on réplique. Pour les sites avec une très faible bande passante, il est même possible de répliquer depuis une sauvegarde. Pour plus d’informations :
Les cases « Serveurs DNS » et « Catalogue Global » doivent être cochées. Sans catalogue global, seul les administrateur du domaine peuvent ouvrir une session.
Sans serveur DNS, les stations de travail ne peuvent pas localiser les contrôleurs de domaine.
Vérifier le fonctionnement de la réplication avec Sites et Services Active Directory Si la réplication n’est pas fonctionnelle :
Définir sur tous les DC le même serveur DNS principal.
Vérifier sur ce dernier qu’il existe une zone DNS correspondant au nom de domaine DNS.
Vérifier si cette zone autorise les mises à jour dynamiques.
Taper les commandes suivantes :
Ipconfig /flusddns
Ipconfig /registerdns
Net stop netlogon
Net start netlogon
Repadmin /kcc
Les chemins LDAP :
Nom unique relatif LDAP : OU=Production Nom unique LDAP :
CN=sophie mathieu2,Ou=enfant,0U=Migration,DC=ORGA2,DC=LAN
Nom canonique :
Commutateur | Signification |
OU= | Unités d’organisation |
CN= | Objets |
DC= | Domaine |
O= | Organisation (Exchange). |
Mise en pratique :
Créer deux comptes utilisateurs appelés Sophie Mathieu2 et guillaume.mathieu. Aller dans l’éditeur d’attribut de la console Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory. Prendre la valeur du champ DistinguishedName.
5 rôles FSMO (Flexible Single Master Operation) et le Catalogue Global :
➢ Emulateur PDC : serveur de temps du domaine. Gère les changements de mots de passe. En mode 2000 mixte, permet aux BDC NT4 de se synchroniser avec
le DC jouant le rôle d’Emulateur PDC. Gère la création des relations d’approbation. Gère la topologie DFS.
➢ Maître RID : permet d’allouer des pool de 500 SID. Si ce rôle n’est plus en ligne, les contrôleurs de domaine ne peuvent plus obtenir de nouveau pool de SID. Si leur pool est épuisé, ils ne peuvent plus créer de nouveaux objets.
➢ Maître d’infrastructure : permet de gérer les objets fantômes (un objet fantôme est créé lorsque l’on joint un objet du domaine B dans un groupe du domaine A).
➢ Maître d’attribution de noms de domaine : valide s’il n’y a pas de conflit(s) de noms DNS au niveau des domaines de la forêt et des domaines approuvés.
➢ Maître de schéma : permet de gérer les modifications effectuées au niveau du schéma Active Directory.
Le serveur de Catalogue Global : contient une réplique des principaux attributs de tous les objets de la forêt. Permet de faire des recherches dans l’annuaire. Gère les groupes universels. Si plus de serveur de Catalogue global, on ne peut plus ouvrir de sessions (sauf les administrateurs du domaine).
Mettre tous les DC en tant que serveur de « Catalogue global » ou ne pas mettre le contrôleur de domaine qui joue le rôle de Maître d’Infrastructure en tant que serveur de Catalogue Global.
6/en-us 9/en-us -us -us
Pour déterminer qui a les 5 rôles FSMO en ligne de commande :
netdom query fsmo
Utiliser la commande Dcdiag.
Taper la commande “regsvr32 ” pour afficher la composant logiciel enfichable “Maître de schéma”,
Aller dans me menu Démarrer, cliquer« Exécuter » puis taper MMC. Cela permet de lancer une console MMC vierge. « Cliquer sur Ajouter un composant logiciel enfichable ».
Active Directory est découpé en partitions :
➢ Schéma : contient l’ensemble des attributs et des classes (extensible).
➢ Configuration : contient la configuration de l’annuaire Active Directory (les sites, les partitions d’annuaires…).
➢ Domaine (1 par domaine) : contient les données utiles (les comptes utilisateur / ordinateur, les groupes…).
➢ ForestDnsZones : contient les entrées des zones DNS publiées sur tous les serveurs DNS de la forêt.
➢ DomainDnsZones (1 par domaine) : contient les entrées des zones DNS publiées sur tous les serveurs DNS du domaine.
Pour se connecter à certaines partitions, il faut se connecter avec un éditeur bas niveau Active Directory : ADSIEDIT.
Mise en pratique :
Lancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ». Créer l’OU Test à la racine du domaine.
Créer le compte utilisateur test1 (mot de passe : [email protected]) dans l’OU Test.
Créer le groupe global testgp1 dans l’OU Test. Ajouter l’utilisateur test1 au groupe global testgp1.
Lancer ADSIEDIT. Se connecter à la partition de domaine. Localiser la ressource testgp1 et éditer l’objet utilisateur (bouton droit, Propriétés). Aller au niveau de l’attribut « member » et supprimer l’entrée test1.
Relancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory » et valider que l’utilisateur test1 n’est plus membre du groupe testgp1.
Créer une zone DNS appelée .
Intégrer la zone dans l’annuaire. Cocher la case « Enregistrer la zone dans Active Directory …». Sélectionner ensuite « Vers tous les contrôleurs de domaine dans ce domaine… »
Créer un enregistrement de type A appelé www avec l’IP 192.168.0.1.
Cela va créer une entrée dans System\Microsoft DNS.
Vocabulaires :
➢ Attributs : propriétés d’un objet (exemple : description, société, numéro de fax…). ➢ Méthodes : actions que l’on peut faire sur un objet (déplacer, supprimer..)
➢ Classes : types d’objets (exemple de classe d’objet : groupe, utilisateur).
➢ Schéma : ensemble des attributs, des méthodes et des classes.
Le schéma Active Directory est extensible. Cela permet d’ajouter des attributs ou des classes. On ne peut pas modifier les méthodes. Certaines applications comme Exchange () nécessite d’étendre le schéma.
(WS.10).aspx
Pourquoi mettre à jour son schéma Active Directory : Installation de produit qui s’appuie sur Active Directory comme Exchange. ADPREP /Forestprep : permet d’ajouter les attributs et les classes permettant l’installation des contrôleurs de domaine de version Windows supérieur (exemple, DC 2008 R2 dans un domaine géré initialement par des DC Windows 2000).
Best Practice :
Effectuer la manipulation sur le maître de Schéma.
Désactiver la réplication entrante et sortante sur le maître de schéma pendant la phase de mise à niveau du schéma (voir commande ci-dessous).
Créer une MMC vierge et ajouter le composant logiciel enfichable « Maître de Schéma ».
Vérifier si les attributs « Description » et « Department » sont dans le Catalogue Global (case « Répliquer cet attribut dans le catalogue global).
Sélectionner l’attribut « Title ». Cocher la case pour que ce dernier soit conservé lors de la copie d’objet (compte utilisateur).
Les relations d’approbations permettent de partager des accès entre deux annuaires différents. Tous les domaines de la même forêt s’approuvent.
A approuve B : on peut définir des permissions sur les ressources du domaine A avec des utilisateurs / groupes du domaine B. Les utilisateurs de la forêt B sont automatiquement membres du groupe « Utilisateurs authentifiés » du domaine A.
L’authentification sélective permet de donner aucun droit par défaut entre deux domaines qui s’approuvent. Il faut déléguer au niveau de chaque compte ordinateur les droits « Lire » et « Authentifier » pour permettre un accès avec des permissions équivalentes à « Utilisateurs Authentifiés »
Pas d’approbation entre deux domaines avec un nom de domaine NETBIOS ou un nom de domaine DNS identique.
L’Emulateur PDC de chaque domaine doit être en ligne lorsque l’on crée une relation d’approbation entre deux domaines. Les relations d’approbations peuvent être :
➢ Transitive : si A approuve B et que B approuve C, alors A approuve C.
➢ Implicite : automatique (relation d’approbation entre domaines de la même forêt).
➢ Bidirectionnelle : A approuve B et B approuve A.
Les relations d’approbations entre domaines de la même forêt sont transitives, implicites et bidirectionnelles.
Ouvrir la console DNS.
Autoriser sur toutes les zones le transfert de zones.
Sur le DC1 (domaine 1), ajouter les zones DNS du DC2 (domaine 2). Ouvrir la console « Domaines et Approbation Active Directory ».
Créer une relation d’approbation bidirectionnelle.
Activer l’authentification sélective.
Services d’un contrôleur de domaine :
➢ Netlogon () : client d’authentification
➢ Active Directory Services / NTDS () :
service d’authentification. Existe sous forme d’un service depuis Windows 2008.
➢ Kerberos Key Distribution Center : service de distribution de clés Kerberos ( délivre les TGTs, tickets de service)
➢ Service de réplication de fichiers (NTFRS) ou service DFSR : en charge de la réplication du dossier SYSVOL.
➢ Service DNS : héberge la zone DNS qui dispose des entrées permettant aux clients de localiser les contrôleurs de domaine.
➢ Client DHCP : ce service permet au contrôleur de domaine d’enregistrer dynamiquement les entrées DNS du fichier .
Contient les scripts et les fichiers des stratégies de groupe (GPO). L’emplacement de SYSVOL se définit au DCPROMO (modification avec NTDSUTIL).
Réplique sur tous les contrôleurs de domaine.
En mode natif 2003 et antérieur : utilisation du moteur NTFRS En mode natif 2008 et ultérieur : utilisation du moteur DFSR (recommandée, procédure de migration en 3 étapes). Le partage NETLOGON correspond au répertoire c:\windows\sysvol\sysvol\nom_domaine\scripts.
Le partage SYSVOL correspond au répertoire c:\windows\sysvol\sysvol.
Contient l’annuaire (fichier )
Pour sauvegarder l’annuaire, il faut obligatoirement une sauvegarde de l’Etat du système. Une sauvegarde du lecteur C n’est pas suffisante.
Les modifications sont effectuées dans les logs puis inscrits ensuite dans le fichier . Le fichier .chk permet de connaître le log en cours. Les fichiers .jrs sont des fichiers de logs utilisaient en cas de saturation de l’espace disque.
Le fichier est une base de données temporaire utilisée pour certaines opérations.
Pour réparer la base de données Active Directory, il faut utiliser l’utilitaire ESEUTIL (défragmentation….). Windows effectue tous les soirs une défragmentation en ligne de l’annuaire. Cette dernière ne permet cependant pas de récupérer de l’espace disque. Il faut une défragmentation hors ligne.
Prérequis : Un domaine avec deux contrôleurs de domaine.
Sur le premier contrôleur de domaine, créer un fichier (contenu test1) dans c:\windows\sysvol\sysvol\nom_domaine. Attendre environ 5 minutes.
Valider que ce dernier est apparu dans le même répertoire sur le second contrôleur de domaine.
Sur les deux contrôleurs de domaine, éditer le même fichier, le modifier (mettre une valeur différente) et l’enregistrer au même moment. Que se passe t’il ?
Arrêter le service « DFS Replication » sur le second contrôleur de domaine. Créer un nouveau fichier sur le premier contrôleur de domaine. Que se passe t’il ?
3. Les comptes utilisateurs
68
Les comptes utilisateurs sont identifiés par le SID / GUID et non par le login. Il est donc possible de changer le login / renommer un compte utilisateur. Il existe deux types de login (un pour nom NETBIOS et un pour nom DNS).
Toujours cocher la case « Le mot de passe n’expire jamais pour un compte de service » ou utiliser la nouvelle fonctionnalité de « Compte de services gérés ».
Pour le chemin des profils itinérants, il est possible d’utiliser la variable %username% et faire une sélection multiple.
Indiquer juste le nom du script de login. Ce dernier doit se trouve dans c:\windows\sysvol\sysvol\nom_domaine_dns\scripts
Depuis Windows Server 2008, il est possible de protéger les comptes utilisateurs contre une suppression accidentelle. Cela positionne des permissions « Refusé » pour l’opération de suppression au niveau de l’onglet « Sécurité » du compte utilisateur (il faut être en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées ».
Avec les RODC, il est possible de dire si le mot de passe peut être mis en cache (en mémoire) ou non.
Il est possible d’effectuer des modifications sur plusieurs comptes en même temps en appuyant sur la touche contrôle et en sélectionnant les comptes utilisateurs.
On peut aussi utiliser un outil comme ADMODIFY.
Modèle de compte : on passe par la fonction Copier. L’assistant classique se lance ensuite et demande de saisir les informations spécifiques au compte utilisateur. On peut modifier dans la console « Schéma », les valeurs des attributs qui sont conservés lors d’un copie.
Intérêt : permet de conserver la valeur de certains attributs (appartenances aux groupes, certains champs de l’adresses…). D’où un gain de temps.
Best Practice : les modèles de comptes utilisateurs doivent être des comptes désactivés
Best Practice compte utilisateur :
Valider avec la direction la convention de nommage et la stratégie de mots de passe.
Intégrer si possible une chaîne de caractère aléatoire dans le login pour éviter les attaques par verrouillage (en déterminant le login d’un utilisateur). Créer des modèles de comptes utilisateurs.
Désactiver les comptes au lieu de les supprimer. En effet en cas de suppression, il ne sera pas possible de récupérer le SID sauf si l’on effectue une restauration autoritaire (avec NTDSUTIL).
Ne pas activer le verrouillage de comptes avec une seuil trop faible (mettre environ 50 échecs avant le verrouillage).
Pour les comptes de services, cocher la case « Le mot de passe n’expire jamais » afin d’éviter que le mot de passe des comptes de services n’expire. Cela bloquera en effet le démarrage du service. Il est aussi possible d’utiliser les nouveaux comptes de services gérés.
Il existe des outils comme Active Roles qui permettent de forcer la saisie de certains champs lors de la création des comptes utilisateurs ou qui permettent d’imposer un certain formalisme lors de la saisie des champs.
Créer un compte utilisateur sans mot de passe. On obtient le message d’erreur cidessous. Réessayer en utilisant le mot de passe « [email protected] ».
Ouvrir une session avec ce compte sur une machine membre du domaine. Un nouveau profil est généré.
Lancer l’éditeur de base de registre (REGEDT32). Faire une recherche sur la valeur « profileimagepath ». Cette clé permet de mapper le SID du compte au profil utilisateur. Personnaliser le profil (fond d’écran, création de fichiers sur le bureau…). Fermer la session.
Renommer le compte utilisateur (champ prénom, nom, description, login). Ouvrir la session. Vous devez récupérer votre profile. Pourquoi ?
Les paramètres de stratégies de mots de passe :
➢ Historique des mots de passe / durée de vie minimale du mot de passe : permet d’empêcher les utilisateurs de réutiliser le même mot de passe. Le paramètre durée de vie minimale du mot de passe empêche l’utilisateur de changer X fois son mot de passe jusqu'a pouvoir ressaisir son ancien mot de passe.
➢ Durée de vie maximale du mot de passe : le mot de passe devra être changer tous les X jours.
➢ Longueur minimum du mot de passe : le mot de passe doit faire au minimum X caractères.
➢ Les mots de passe doivent respecter les exigences de complexité : permet d’obliger les utilisateurs à saisir un mot de passe avec un caractère spécial ou une majuscule ou un chiffre. Les paramètres de complexité ne sont pas configurables.
La complexité des mots de passe est géré via le fichier .
Des outils tiers comme One Identity Password Manager permettent de disposer d’une personnalisée (dictionnaire de mots de passe interdit, charactères interdits…). Il existe aussi une solution gratuite alternative :
Quelle stratégie de mots de passe adoptée ?
Depuis Windows Server 2008, les « Fine Grained Password Policy » permettent de définir des stratégies de mots de passe spécifique pour un utilisateur ou un groupe.
(WS.10).aspx
Les risques :
Une politique de mots de passe trop faible risque de compromettre le niveau de sécurité de la société tout comme une politique de mots de passe trop complexe (les utilisateurs écrivent sur papier leur mot de passe).
Réinitialisation de mots de passe ≠ Changement de mot de passe :
Attention la réinitialisation de mot de passe fait perdre l’accès aux données chiffrées avec EFS dans certains cas (si compte de la base SAM local par exemple).
Self Service Password Reset :
De nombreux outils comme One Identity Password Manager ou Microsoft Azure AD Premium (SSPR) permettent aux utilisateurs de réinitialiser eux même leur mot de passe via des questions réponses, l’envoie de Passcode par SMS ou messagerie personnelle. L’utilisation de questions / réponses peut abaisser fortement le niveau de sécurité ou générer des problèmes de conformité avec le RGPD. L’envoie de Passcode sur téléphone portable Pro est donc à privilégier.
Quel politique adoptée ?
Toujours faire valider la stratégie de mots de passe par la direction.
Il faut trouver un juste milieu (complexité activé, historique : 5 mots de passe, durée de vie minimale du mot de passe : 1 journée, durée de vie maximale du mot de passe : 42 jours).
L’option « Le mot de passe n’expire jamais » :
A définir uniquement pour les comptes de services (pas pour les autres comptes)
MSA :
➢ Prise en charge avec machine Windows Server 2008 R2 / Windows Seven.
➢ Un Managed Service Account par machine (pas de partage d’un même « Managed Service Account » entre machines).
➢ Pas de pris en charge des cluster (services mis en haute disponibilité).
➢ msDS-ManagedServiceAccount : nouvelle classe pour gérer les Managed Service Accounts.
➢ Managed Service Account : c’est une sorte d’intermédiaire entre un compte utilisateur et un compte ordinateur.
➢ Changement du mot de passe : même fonctionnement qu’un compte ordinateur
(changement tous les 30 jours). Nécessite mode 2008 R2 pour changement automatique du mot de passe.
➢ Pas de login interactif ou de verrouillage de compte.
➢ Possibilité d’ajouter un Managed Service Account à un groupe (pour le contrôle des accès).
gMSA :
Disponible depuis Windows Server 2012.
Toujours vérifier que l’application supporte l’usage des MSA ou gMSA !
Les comptes ordinateurs disposent d’un mot de passe.
Permet d’authentifier la machine dans le domaine. La machine envoie le mot de passe du compte ordinateur (qui est mis en cache) au contrôleur de domaine. Ce dernier le compare au mot de passe contenu dans l’annuaire.
Permet d’attribuer des GPO de type « Configuration Ordinateur ».
Le mot de passe du compte ordinateur change par défaut tous les 30 jours (configurable via registre / GPO).
Lorsque l’on joint une machine au domaine, par défaut le compte ordinateur est ajouté dans le conteneur « Computer » à la racine du domaine. En cas de problème avec le compte ordinateur, une erreur NETLOGON apparaît sur la station de travail et le contrôleur de domaine.
Il est possible de pré-créer le compte ordinateur dans une OU spécifique.
Quand la machine joint le domaine, elle complète les informations (version de l’OS…).
Installer Windows 10 Pro ou Enterprise. Ne pas mettre de serveur DNS. Joindre la machine avec le nom DNS de domaine. Cela échoue. Pourquoi ?
Mettre vos contrôleurs de domaine comme serveur DNS sur la machine Windows 10.
Pourquoi faut il définir plusieurs serveurs DNS ?
Sortir la machine du domaine. Redémarrer la machine.
Créer un compte utilisateur standard.
Joindre la machine au domaine en utilisant le nom de DNS de domaine. Utiliser le compte standard pour vous authentifier. Redémarrer la machine.
Ouvrir la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ». Aller dans le conteneur « Computers ».
Aller dans les propriétés du compte ordinateur et parcourir les différents onglets. A quoi sert le groupe « Ordinateurs du domaine ».
Supprimer le compte ordinateur. Redémarrer la station de travail . Essayer d’ouvrir une session avec le compte utilisateur. Cela échoue. Pourquoi ? Ouvrir les observateurs d’événements et chercher une erreur Netlogon.
Joindre de nouveau la machine dans le domaine (la repasser en workgroup au préalable).
Réinitialiser le mot de passe du compte ordinateur. Redémarrer la station de travail. Ouvrir les observateurs d’événements. Une erreur NETLOGON apparaît de nouveau. Pourquoi ?
Qu’est ce qu’un groupe ?
Un groupe est un ensemble de ressources.
Un groupe n’est pas un conteneur (ne pas confondre avec les OU).
On ne peut pas affecter de GPO à un groupe. On peut cependant filtrer l’application des GPO à des groupes en définissant les droits « Lire » et « Appliquer les stratégies de groupes » à un groupe (dans l’onglet Sécurité).
2 types de groupes :
Les groupes de sécurité : utilisés pour la messagerie et gérer les droits. Les groupes de distribution : utilisés pour la messagerie (liste de diffusion)
3 étendues différentes :
Les groupes globaux de domaine
Les groupes locaux de domaine Les groupes universels
Fonctionnement selon le niveau fonctionnel de domaine / forêt : Pour créer des groupes universelles : mode natif 2000 obligatoire. Pour encapsuler des groupes globaux (groupes globaux membres d’autres groupes globaux) : mode natif 2000 obligatoire.
A partir du mode natif 2003, si l’on ajoute un objet comme membre d’un groupe, seul l’ajout du membre réplique. Auparavant l’objet groupe répliquait complètement.
On va pouvoir changer l’étendue d’un groupe à partir du mode natif 2000.
Etendue | Membres | Visibilité | Intérêt |
Globale | Objet du même domaine Ne peut pas contenir de groupe universel. | Visible sur le domaine locale et tous les domaines approuvées. | Groupe d’utilisateurs |
Locale | Objet du domaine locale et de tous les domaines approuvées. | Visible sur le domaine locale uniquement. | Pour définir des permissions. |
Universelle | Objet de tous les domaines de la forêt (pas sur les domaines approuvées hors de la forêt) | Visible sur le domaine locale et tous les domaines approuvées | Liste des distributions pour Exchange. |
Les propriétaires d’un groupe : peut gérer les appartenances aux groupes.
L’imbrication des groupes : un groupe peut avoir comme membre d’autres groupes selon le niveau fonctionnel du domaine.
Pour modifier l’étendue d’un groupe : convertir un groupe globale en groupe universel puis le repasser en groupe local. Attention aux permissions définis sur les serveurs à l’aide des groupes ! Un groupe globale est visible depuis le domaine locale et tous les domaines approuvées. Un groupe locale n’est visible que depuis son domaine ! Attention aux incohérences.
On peut aussi changer le type d’un groupe. Attention si l’on passe un groupe de sécurité en groupe de distribution, toutes les permissions définies ne fonctionneront plus mais elles continueront de s’afficher dans l’onglet « Sécurité ». Pas de synchronisation entre le système de fichiers et l’annuaire.
Permission accès partage = cumul le plus restrictif permissions Partages / NTFS.
Eviter de convertir les groupes de sécurités en groupe de distribution.
Eviter d’utiliser les groupes universels. Les groupes universels augmentent la taille du « Catalogue globale ».
Utiliser les groupes locaux de domaine pour définir des permissions sur les serveurs de fichiers et au niveau de l’annuaire. Utiliser les groupes globaux comme des groupes d’utilisateurs.
Définir une topologie de groupe globaux sur papier. Elle doit correspondre à la structure administrative de l’entreprise. Un groupe par sous-services par exemple… Pas plus de 5 niveaux d’encapsulation (pour des raisons de performance). Convenir avec la direction d’une convention de nommage.
Pour gérer les accès à une ressource :
L’administration des accès doit se faire depuis la console Utilisateurs et Ordinateurs du domaine ou Centre d’administration Active Directory.
Créer 3 groupes locaux de domaine, un pour l’accès en lecture, un pour l’accès en lecture et écriture (Modifier), un pour l’accès en Contrôle Totale.
Définir les permissions à ces 3 groupes au niveau de la ressource (onglet Sécurité). Ajouter « Contrôle Total » aux groupes SYSTEM et au groupe Administrateurs. Créer vos groupes d’utilisateurs (groupes globaux).
Pour définir des accès à la ressource, ajouter des groupes globaux ou des comptes utilisateur / ordinateur en tant que membres des groupes locaux de domaine.
Créer 3 dossiers imbriqués les uns dans les autres (Niveau1, Niveau 2 et Niveau 3). Désactiver l’héritage au niveau du dossier Niveau 1.
Partager Niveau 1 (contrôle Total pour tout le monde).
Sécuriser le répertoire Niveau 1 selon les Best Practice (utiliser les groupes locaux de domaine pour définir des permissions). Création groupes GDL_Niveau1_L, GDL_Niveau1_M et GDL_Niveau1_CT.
Créer des comptes utilisateurs compta1 et compta2 et le groupe globale (GG_Comptaibilité). Ajouté les utilisateurs compta1 et compta2 dans ce groupe globale.
Définir des permissions « Modifier » sur le répertoire Niveau1 à l’utilisateur
« Compta1 ».
Supprimer le compte Compta1. Observer ce qui se passe au niveau des groupes et des permissions de la ressource Niveau1, Niveau 2 et Niveau 3. Ajouter le groupe GG_Compatibilité en tant que membre du groupe « GDL_Niveau1_M ».
Se loguer avec le compte Compta2 sur une machine membre du domaine et accéder au partage Niveau1.
Peut on sauvegarder un répertoire sur lequel on a pas d’accès. La réponse est oui si on est opérateur de sauvegarde, Opérateur de Server et administrateurs. Voir la capture de droite. Expliquer ?
Ne pas déplacer.
Equivalent des groupes locaux de domaine.
Ne pas utiliser si possible car on ne peut pas les migrer avec des outils comme
ADMT.
Rôle de ces groupes :
Builtin\Administrateurs : administrateur local sur tous les contrôleurs de domaine. Droits presque équivalents à Admins du domaine. Les membres de ce groupe ne sont pas administrateur local des stations de travail membrew du domaine.
▪ BUILTIN\Duplicateurs
▪ Builtin\Opérateurs de compte : peut créer des comptes. Peut être utilisé pour faire un premier niveau
▪ Builtin\Opérateurs de sauvegarde : peut sauvegarder des données même si ce dernier n’a pas d’accès.
▪ Builtin\Opérateurs de Server : peut effectuer certaines actions au niveau des contrôleurs de domaine comme changer la configuration IP.
Seul les groupes BUILTIN Opérateurs de sauvegarde, Administrateurs, Opérateurs de comptes et Opérateurs d’impression peuvent ouvrir une session sur un contrôleur de domaine (configurable via GPO).
Les groupes dans conteneur Users :
Admins du domaine : n’a des droits que sur le domaine. Il n’a que des droits partiels sur la partition de configuration. Il est administrateurs de tous les serveurs et stations de travail du domaine.
Administrateur de l’entreprise : administrateur de tous les domaines de la forêt
Administrateur du schéma : seul groupe habilité à modifier le schéma Active Directory
Tout le monde : tout le monde.
Utilisateurs authentifiés : tout ordinateur ou tout utilisateurs qui a ouvert une session est membre du groupe « utilisateurs authentifiés ». Groupe avec privilège important comme créer des dossiers / fichiers sur la partition C des serveurs.
Créateur propriétaire : par défaut le créateur d’un fichier et d’un dossier est le propriétaire. Il a le droit de modifier les permissions.
System : droit presque équivalent à administrateur local. C’est par exemple le seul à pouvoir modifier le contenu de la base SAM dans la base de registre.
94
OU = unité d’organisation
C’est un conteneur (rien à voir avec les groupes).
On peut créer dans une OU tout type d’objet dont d’autres OU.
La topologie d’unités d’organisation doit correspondre à l’organisation administrative de l’entreprise. Elle est à faire sur papier et doit être validée par la direction. Les OU permettent aussi de faire de la délégation d’administration et de créer des
GPO.
Depuis Windows 2008, la console « Gestion des stratégies de groupe » est installé par défaut. On ne peut donc plus créer d’objets stratégies de groupe depuis la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ».
Nouveauté sur les contrôleurs de domaine :
Quand on crée une nouvelle OU sur un DC 2008 / 2008, par défaut la protection renforcée contre la suppression accidentelle est activée. Cette protection met des permissions « Refusé » à Tout le monde pour la suppression d’objet.
Si on essaie de déplacer ou supprimer une OU, on a donc un message « Accès Refusé ».
Passer en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées » pour cocher ou décocher cette case.
Il est possible de déléguer des droits au niveau de chaque attribut (chaque champ) pour chaque type d’objet.
Méthode 1 : utilisateurs membres d’Opérateur de Comptes. Ces comptes utilisateur peuvent créer des groupes / comptes utilisateur / ordinateur dans l’AD.
Méthode 2 : Utilisateur l’assistant « Délégation d’administration » en mode basique. Cette méthode permet de déléguer des tâches basiques au niveau d’un OU particulière. Il n’est pas possible de déléguer les droits pour un ou plusieurs attributs.
Méthode 3 : Utiliser l’assistant Délégation en mode avancé « Créer une tâche personnaliser à déléguer ». Cette méthode permet de déléguer la gestion de certains attributs pour certains types d’objets.
Méthode 4 : lancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory » en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées ». Aller au niveau d’une OU, cliquer sur « Propriétés » et aller dans l’onglet « Sécurité » puis passer en mode Advanced.
Microsoft propose maintenant une méthode appelée Tier 0, Tier 1 et Tier 2 pour déléguer l’administration Active Directory. L’idée principale est de séparer l’administration du service Active Directory (Tier 0), l’administration des serveurs (Tier 1) et l’administration des stations de travail et des comptes standards (Tier 2).
Créer une OU appelée Msreport1.
Créer un compte utilisateur dans cette OU appelé admin1_msreport.
Faire un clic droit au niveau de l’OU CHU et cliquer « Délégation de contrôle ». Ajouter le utilisateur ou le groupe à qui vous souhaitez déléguer des droits d’administration.
Sélectionner le ou les droits à déléguer.
Se loguer sur une station de travail membre du domaine avec le compte admin1_msreport.
Installer les outils d’administration (RSAT) sur la station d’administration ?id=45520 Tester la création d’un compte utilisateur.
Créer une OU appelée MSREPORT2.
Créer un compte utilisateur dans cette OU appelé admin2_msreport.
Clic droit sur l’OU CHU et cliquer « Délégation de contrôle ». Ajouter le utilisateur ou le groupe à qui vous souhaitez déléguer des droits d’administration.
Sélectionner « Créer une tâche d’administration personnalisée à déléguer ».
Sélectionner « Seulement les objets suivants dans le dossier ».
Cocher les cases « Créer et supprimer des objets ». Sélectionner « générales » dans la fenêtre « Afficher les autorisations ».
Si vous souhaitez déléguer l’accès en écriture que pour certains attributs, cocher la case « Spécifique aux propriétés ».
Sélectionner les propriétés de votre choix.
Se loguer sur une station de travail membre du domaine avec le compte admin2_msreport.
Installer les outils d’administration (RSAT) sur la station d’administration ?id=45520 Tester la création d’un compte utilisateur.
101
La base de registre est la base de configuration de Windows. Pour éditer la base de registre, on utilise REGEDIT ou REGEDT32 (c’est le même exécutable depuis Windows XP).
Ruche : ensemble de clés et de valeurs qui correspondent à un fichier au niveau du système. Clés : c’est un conteneur de valeur.
Valeur : variable. Il existe différent type de valeur (binaire, chaîne de caractères, tableaux de chaines de caractères…).
La base de registre est organisée en deux grandes sections HKEY LOCAL MACHINE et HKEY USERS.
La ruche HKEY_CURRENT_CONFIG est une sous ruche de HKEY_LOCAL_MACHINE
Il est possible de charger des ruches (fichier d’un autre utilisateur…).
Il est possible de définir des permissions au niveau des clés de registre
Sur une station de travail Windows XP Pro, lancer l’éditeur de base de registre. Aller dans HKEY_LOCAL_MACHINE | SAM | SAM.
Faire un clic droit sur le dossier SAM et cliquer sur « Autorisation ».
Ajouter les droits Control Total au groupe Administrateurs de la base SAM locale.
Vous pouvez maintenant visualiser le contenu de la base SAM locale.
Créer un compte utilisateur appelé « testregistre » au niveau du domaine et se loguer avec ce compte sur la station de travail. Personnaliser puis fermer la session (ajout imprimante réseau…).
Ouvrir une session avec le compte administrateur local sur cette station de travail. Lancer l’éditeur de base de registre.
Sélectionner « HKEY_USERS » puis aller dans le menu « Fichier » et cliquer sur « Charger la ruche ». Aller dans « c:\Documents and settings\testregistre » et sélectionner le fichier « ». A quoi correspond ce fichier ? Faire une recherche au niveau de « HKEY_LOCAL_MACHINE » sur la clé
« PROFILEIMAGEPATH ». A quoi sert cette clé. On se rend compte que toute la sécurité est basé sur le SID. Il est possible de réassocier un compte utilisateur avec le profil d’un autre utilisateur. Pour plus d’informations, voir . Aller dans c:\windows\system32\config. On y retrouve tous les fichiers des ruches de la base de registre.
Qu’est ce qu’une stratégie de groupe ?
Les stratégies de groupes (GPO) : se sont des
La console Gestion des stratégies de groupe : permet d’ajouter, lier, modifier et supprimer les GPO.
Il est possible d’ajouter de créer des stratégies de groupes personnalisées (fichier ADM ou ADMX).
A la création du domaine, deux GPO, la « Default Domain Policy » (configuration du domaine ) et la Default Domain Controller Policy (configurer des DC). Ne pas supprimer ces deux GPO. Eviter de les modifier.
Possibilité d’exporter / importer des GPO via GPMC.
Déployer des logiciels (installeur au format .MSI obligatoire). Pas de rapport, risque saturation réseau si gros logiciels.
Déposer les exécutables dans le partage NETLOGON ou SYSVOL.
D’exécuter des scripts au démarrage / arrêt de la machine (sous compte SYSTEM).
De configurer les stratégies de mots de passe, Kerberos et de verrouillage de comptes. Les paramètres de stratégie de mot de passe pour les comptes du domaine se définissent uniquement au niveau de la « Default Domain Policy ». Si on définit ce paramètre dans une autre stratégie, cela s’applique pour les comptes locaux. Voir . De configurer les paramètres et options de sécurité (qui peut ouvrir une session localement, arrêter la machine, accéder à la machine via le réseau, changer l’heure, les protocoles d’authentification autorisés…).
De configurer les paramètres des logiciels et du système (configuration Windows Update, panneau de configuration, pare feu). Il est possible d’ajouter des fichiers ADM / ADMX supplémentaires pour ajouter de nouvelles stratégies (configuration Adobe, Citrix, Office…) :
?familyid=92d8519a-e143-4aee-8f7ae4bbaeba13e7&displaylang=en
Depuis Windows 2008, L incluse GPO de préférences. Nécessite déploiement d’un correctif sur
Windows XP / Vista / 2003. Voir
Comment s’appliquent les GPO ?
Une GPO « Configuration Ordinateur » s’applique
Possibilité de fixer des GPO avec des paramètres contradictoires à différents niveaux.
Pour gérer les conflits, les GPO s’appliquent dans un certains ordre :
Local, Site, Domaine, unités d’organisation, unités d’organisation enfant
En cas de conflit c’est la dernière stratégie qui s’applique qui l’emporte sauf si les paramètres « Appliquer » (ne pas passer outre) et « Bloquer l’héritage » ont été définis.
Paramètre « Appliquer » : force l’application de la GPO.
Paramètre « Bloquer l’héritage » : si ce paramètre est fixé au niveau d’une OU enfant, les GPO au niveau des sites, domaines et des OU parent ne s’appliquent pas (sauf les paramètres de sécurité).
Le paramètre « Appliquer » prime sur le paramètre « Bloquer l’héritage ».
Paramètres de stratégies de mots de passe : configurable au niveau de la stratégie « Default Domain Policy ».
Utiliser les Fine Grained Password Policy / Granular Password Policy pour créer des stratégies de mots de passe spécifiques pour un groupe d’utilisateurs : Permet d’attribuer une stratégie de mots de passe à un compte utilisateur ou à un groupe. Nécessite domaine en mode Fonctionnalité Windows 2008.
(WS.10).aspx
Permet de définir quels sont les applications que l’on peut exécuter sur une station de travail.
APPLOCKER ne fonctionne qu’avec Windows Seven ou Windows 2008 R2. Utiliser le mode d’inventaire avant de mettre des stratégies restrictives.
(WS.10).aspx
Utiliser l’outil GPRESULT ou le composant logiciel enfichable « Jeu de stratégies résultants » pour déterminer quels sont les paramètres de stratégies de groupe qui s’appliquent.
Toujours consulter l’onglet « Aide » au niveau d’un paramètre de stratégie de groupe (désactiver une stratégie qui masque le panneau de configuration active le panneau de configuration…).
Pour les scripts de déploiement réseau, configurer la stratégie « Ouverture de session : attendre les connexions réseau » pour forcer l’application des scripts de démarrage avant l’ouverture de session.
Pour bloquer l’application des stratégies pour les administrateurs : supprimer l’entité « Utilisateurs authentifiés » et ajouter les droits lire et appliquer la stratégie à des groupes utilisateurs et des groupes d’ordinateurs. Pour plus d’informations, voir
En cas de suppression des stratégies Default Domain Policy et Default Domain Controller Policy, appliquer l’article : Pour réinitialiser stratégie sécurités :
Bug GPRESULT :
Pour afficher les stratégies de mots de passe : net accounts /domain
Les stratégies de préférence :
8. Les mécanismes de réplication :
116
Réplication Active Directory : basée sur numéro USN (Unique Séquence Number). La restauration autoritaire (avec NTDSUTIL) permet d’augmenter numéro USN. Par défaut, les DC d’un même site réplique toutes les 15 secondes entre eux.
Intérêt de créer plusieurs sites Active Directory : définir avec quels DC les stations de travail s’authentifient et configurer l’intervalle de réplication entre contrôleurs de domaine.
Chaque site est associé à un ou plusieurs sous réseaux IP.
Un sous réseau IP ne peut pas être associé à deux sites Active Différents.
Pour configurer 2 sites AD différents, il faut 2 sous réseaux IP (un pour chaque site).
Les DC répliquent entre eux via des objets « Connexion » (unidirectionnel). Les objets « Connexion » sont générés par le KCC (DC dans même site) et par l’ISTG entre 2 sites. Pour forcer la génération objets « Connexion » : repadmin /KCC. Best Practice : prévoir un serveur de Catalogue Global dans chaque site ou activer la mise en cache des groupes universels.
-us
Le service RRAS permet de transformer Windows Server en routeur IP, serveur NAT, serveur VPN et en serveur RAS.
Depuis Windows Server 2008 R2, il est nécessaire d’installer le rôle « Services de stratégies et d’accès distants » et de configurer ensuite le service RRAS en tant que routeur IP.
Installer le rôle « Services de stratégies et d’accès réseau » avec les services de rôles « Service de routage et accès distant ».
Aller dans les outils d’administration et lancer la console « Routage et Accès distants ».
Démarrer la console « Routage et Accès distant » (dans les outils d’administration). Cliquer sur « Configurer et activer le routage et l’accès distant ». Sélectionner « Configuration personnalisée » puis « Routage IP ». Cliquer sur « Démarrer le service ». Valider que les deux contrôleurs de domaine peuvent communiquer ensemble
(ping).
Définir 1er DC avec IP : 192.168.1.1 /24 et 2ème DC avec IP : 192.168.2.1 /24.
Changer les adresses de serveur DNS et indiquer une passerelle (routeur RRAS).
Supprimer les anciennes entrées dans le DNS (anciennes IP des DC).
Taper les commandes suivantes :
Ipconfig /registerdns
Net stop netlogon & Net start netlogon
Ipconfig /flushdns
Valider que les deux DC peuvent communiquer ensemble (PING).
Lancer « Sites et Services Active Directory » . Forcer la réplication entre les 2 DC. Renommer le site par défaut en « Nemours ». Créer un second site appelé
« Meudon ». Créer 2 SUBNETs 192.168.1.0./24 et 192.168.2.0 /24. Lier 1er SUBNET au site Nemours, lier 2ème SUBNET à Meudon.
Renommer le lien inter-sites par défaut en Nemours-Meudon. Configurer la réplication sur 15 minutes. Permettre la réplication à toutes heures.
Déplacer le 2ème contrôleur de domaine dans le site Meudon. Lancer la commande repadmin /kcc pour forcer l’ISTG à générer les objets Connexion. Supprimer les liens connexions. Désactiver le KCC / ISTG : -us
Taper la commande repadmin /KCC. Que se passe t’il ? Créer les liens de connexion manuellement.
123
NTBACKUP a été replacé par « Windows Server Backup ».
Windows Server Backup permet prend en charge la déduplication quand on sauvegarde sur une partition dédiée. On peut donc exécuter des sauvegardes complètes toutes les heures. Seuls les blocs modifiés sont sauvegardés.
Windows Server Backup ne permet pas de sauvegarder sur bande. Pour faire une sauvegarde sur bande, sauvegarder vers un partage et sauvegarder ensuite les fichiers produits par « Windows Server Backup ».
Quand on fait une sauvegarde sur disque local, le disque est formaté en NTFS mais n’est pas monté. Il est alors réservé par Windows Server Backup.
Mise en pratique : Prérequis : Il faut disposer d’un second disque sur le serveur (dédié). Lancer la détection des disques et à le mettre en ligne.
Installer la fonctionnalité « Windows Server Backup » (avec la partie PowerShell). Lancer la console « Windows Server Backup » et cliquer sur Planifier une sauvegarde. Cliquer sur sauvegarde complète (inclue la sauvegarde de l’Etat du système). Faire une sauvegarde plusieurs fois par jour vers un disque dédié.
Aller dans les tâches planifiées, dans la section backup. Modifier la tâche pour qu’elle autorise les actions manuelles et lancer une sauvegarde.
Ouvrir la console Windows Server Backup et valider l’état d’avancement de la sauvegarde.
Une fois la sauvegarde terminée, relancer une seconde fois la sauvegarde. L’espace disque évolue t’il ? Le fait de faire une seconde sauvegarde nous fait passer de 7,01 Go à 7,03 Go.
Lancer PowerShell et taper la commande suivante : addpssnapin windows.serverbackup. Cela ajoute les CMDLET Windows Server backup à PowerShell.
Taper ensuite la commande get-command -module windows.serverbackup pour afficher les commandes
Windows Server Backup.
Pour externaliser la sauvegarde, faire une sauvegarde sur un LUN hébergé sur un SAN (Fibre Channel / DAS obligatoire). Cela permet de conserver la déduplication.
Vérifier qu’il est possible de charger le pilote de la carte Fibre / DAS depuis le CD d’installation (en mode récupération).
(WS.10).aspx (WS.10).aspx
On ne peut pas restaurer un DC à une date antérieure à la période de Tombstone
Depuis Windows 2008, il est possible de faire une restauration complète d’un DC en démarrant depuis le DVD d’installation. Vérifier une fois que la restauration est effectuée que tout réplique bien et qu’il n’y a pas d’erreurs dans les logs. Faire un DCDIAG /V /E pour valider le bon fonctionnement de l’annuaire.
Pour faire une restauration autoritaire (restaurer un objet supprimé par exemple), il faut redémarrer en mode
« Restauration des services d’annuaire ». (WS.10).aspx
Mise en pratique :
Démarrer sur le CD d’installation et cliquer sur « Réparer l’ordinateur ». Restaurer avec la sauvegarde disque.
Restauration Windows Server Backup 2/2
Au redémarrage, appuyer sur F8.
Démarrer en mode « Restauration des services d’annuaire ».
Lancer Windows Server Backup et faire une restauration classique.
Lancer l’utilitaire NTDSUTIL pour marquer les objets qui sont à restaurer de manière autoritaire (cela incrémente le numéro USN de l’objet). Appliquer la procédure suivante : (WS.10).aspx
Attention aux problèmes d’appartenance des groupes. Préférer utiliser la corbeille Active Directory quand cela est possible.
Avant la corbeille Active Directory, il était déjà possible de récupérer les objets qui étaient en mode Tombstone. Lorsque un objet est supprimé, il passe en mode Tombstone pendant 60 jours ou 180 jours. Il est alors possible de le restaurer.
Cependant, lors de la restauration on ne pouvait récupérer que 5 attributs dont le SAMACCOUNTNAME (login pré Windows 2000), le SID et le GUID. Les appartenances aux groupes étaient perdues. L’activation de la corbeille est irréversible
La forêt doit être en mode natif 2008 R2 pour activer cette fonctionnalité. La durée de vie pendant laquelle les objets peuvent être restaurés est contrôlés par le paramètre « msDS-deletedObjectLifetime ». Ne pas oublier de définir la valeur souhaitée.
Vérifier que la forêt est en mode natif 2008 R2 (en PowerShell)
Activer la corbeille Active Directory en tapant la commande suivante (remplacer le nom de domaine, ici par le nom de votre domaine) :
Enable-ADOptionalFeature -Identity 'Recycle Bin Feature' –Scope ForestOrConfigurationSet Target
Configurer la durée de vie de la corbeille.
Set-ADObject -Identity "CN=Directory Service,CN=Windows
NT,CN=Services,CN=Configuration,DC=formation10,DC=Lan" -Partition
"CN=Configuration,DC=formation10,DC=Lan" -Replace:@{"msDS-DeletedObjectLifeTime" = 365} Créer un compte utilisateur testsuppr1 et un groupe Testlab2. Ajouter l’utilisateur dans le groupe. Ouvrir une session avec ce compte et personnaliser la session.
Supprimer ce compte utilisateur. Lister les objets supprimés :
Get-ADObject -Filter 'isdeleted -eq $true -and name -ne "Deleted Objects"' -
IncludeDeletedObjects -Properties *
Get-ADObject -filter 'samaccountname -eq « guillaume.mathieu"' –IncludeDeletedObjects
Restaurer l’objet en tapant la commande suivante :
Get-ADObject -filter 'samaccountname -eq "dominique.mathieu"'
-IncludeDeletedObjects | Restore-ADObject
10. Notions avancées Active Directory :
135
Compléments d’informations sur les paramètres de sécurité Active Directory (quotas…) :
Réinitialiser le mot de passe administrateur du domaine depuis le mode Restauration des services d’annuaire :
?post/2008/02/27/Reset-du-mot-de-passe-Admin-dudomaine-sous-Windows-Server-2003
Visibilité du champ UserPassword : ?post/2009/11/23/l-attribut-UserPassword-en-clear-text
Configuration des paramètres KERBEROS :
Lorsque l’on rencontre des problèmes de désynchronisation horaire sur les stations de travail, il peut être intéressant d’augmenter le paramètre « Maximum tolerance for computer clock synchronisation » à plus de 5 minutes.
Etape 1 : Faire une sauvegarde de l’Etat du Système avant toutes modifications. Avant d’effectuer la moindre modification, valider qu’il existe une sauvegarde de l’Etat du système pour chaque contrôleur de domaine (au moins un DC par domaine). Valider le bon fonctionnement de la sauvegarde en lançant la console « Windows Server Backup ».
Etape 2 : reproduction du problème :
Reproduire le problème : généralement quand on arrive à reproduire le problème, l’incident à 90% de chance d’être résolu.
Etape 3 : Vérification préliminaire :
Valider que les services suivants sont démarrés sur tous les DC :
Appel de procédure distante (RPC), Assistance NetBIOS sur TCP/IP, Centre de Distribution de
Clés Kerberos, Client DHCP (gère la mise à jour dynamique DNS, Explorateur d’ordinateurs (pour le voisinage réseau), Messagerie Inter-site Netlogon, Registre à distance, Réplication de fichiers (si niveau fonctionnelle domaine < 2008 natif), Réplication DFS (si niveau fonctionnelle domaine > 2003 R2), Serveur DNS, Services de domaine Active Directory, Services Web Active Directory
Désactiver temporairement UAC et le pare Windows.
Vérifier que les stations de travail peuvent communiquer avec les contrôleurs de domaine (ping).
Etape 4 : Analyse : Analyser les observateurs d’événements. Filtrer sur les erreurs et les avertissements uniquement dans un premier temps. Attention, de nombreuses erreurs risquent de remonter. Il faut trouver la cause du problème et ne pas se focaliser sur les conséquences.
Validation la configuration DNS (tous les DC ont le même serveur DNS principal).
Valider le bon fonctionnement de la réplication Active Directory (NTDS) et SYSVOL. Pour cela, lancer la console « Sites et Services Active Directory » et forcer la réplication. Copier un fichier dans c:\windows\sysvol\sysvol et valider que ce fichier apparaît dans sur tous les DC.
Valider qu’il n’y a pas plus de 5 minutes de décalage horaire entre les différentes machines (DC comme stations de travail).
Lancer les outils de diagnostics DCDIAG, REPADMIN, MPSREPORT, REPLMON…
Etape 5 : recherche et validation solution :
Vous pouvez vous appuyer sur les sites communautaires (), les NEWGROUP et la base de connaissance Microsoft () . Pour plus d’informations, voir l’article « A la découverte de la communauté Microsoft » sur
Une fois la solution trouvée, il faut monter une maquette pour valider la solution.
Faire une sauvegarde avant toute application de la solution sur l’environnement de production.
Analyser le contenu des journaux Systèmes, Application, Key Management Service, Réplication DFS (pour SYSVOL et le DFS), Service DNS, Services d’annuaire, Services Web Active Directory.
Configurer les filtres pour n’afficher que les avertissements, les erreurs et les messages critiques.
Quelques erreurs à rechercher : USERENV, NTDS REPLICATION, NETLOGON, SAM, NTDS, DNS-SERVER-SERVICE, DFS-REPLICATION, SCECLI.
De nombreuses erreurs vont remonter. Chercher les causes pas les conséquences. Astuces : Aller sur et taper la source de l’événement et le code d’erreur après (exemple : NETLOGON 5722).
Pour les recherches dans la base de connaissance Microsoft (, toujours en anglais).
Pour afficher les événements de plusieurs journaux, passer par les vues !
NTDSUTIL :
➢ Réinitialisation du mot de passe compte restauration des services d’annuaire.
➢ Supprimer un contrôleur de domaine ou un domaine.
➢ Permet de défragmenter l’annuaire.
➢ Permet de faire une restauration autoritaire.
➢ Permet de forcer le transfert d’un rôle.
➢ Permet de créer des SNAPSHOT d’Active Directory (que l’on peut monter en lecture seule).
➢ Permet de créer des partitions d’application.
DCDIAG /V /E > c:\ :
➢ Permet de valider la configuration des contrôleurs de domaine de toute la forêt. Attention ce dernier s’appuie sur les noms NETBIOS. Donc il faut pouvoir résoudre tous les contrôleurs de domaine avec leurs noms NETBIOS.
➢ Faire une recherche sur le mot « Fail » ou « Echec » au niveau du fichier de sortie.
DCPROMO /FORCEREMOVAL :
➢ Permet de forcer la suppression d’un contrôleur de domaine. Ce dernier ne contacte pas les autres DC qui référencent donc toujours le DC. Il faut faire ensuite un NTDSUTIL METADATACLEANUP
DFSDIAG :
Permet de valider le bon fonctionnement de la réplication DFS-R (SYSVOL).
REPADMIN :
➢ Repadmin /KCC : permet de forcer l’ISTG / KCC a régénérer la topologie de réplication (liens connexions dans la console Sites et Services Active Directory).
➢ Repadmin /showrepl : permet de valider le bon fonctionnement de la réplication.
➢ Repadmin /options nom_serveur +Disable_Outbound_REPL
➢ Repadmin /options nom_serveur +Disable_Inbound_REPL
Attention, en Français il y
a un bug avec l’invite de
commande quand on redirige une commande vers un fichier de sortie. En fait le fichier est chiffré en UTF8. Il faut donc l’enregistrer dans le bon format.
Pré-requis :
Disposez de 2 DC qui répliquent et qui sont serveur de « Catalogue Global ».
Déterminer sur quel DC les rôles FSMO sont installés. Si les rôles sont répartis, les transférer sur un unique contrôleur de domaine.
Mise en pratique :
Sur le contrôleur de domaine qui dispose de tous les rôles FSMO, taper la commande :
DCPROMO /FORCEREMOVAL.
De nombreux messages apparaissent expliquant quels sont les conséquences de la suppression en mode forcée du contrôleur de domaine qui héberge les rôles FSMO / Catalogue global.
Saisir un nouveau mot de passe administrateur local (la base SAM va être recréée).
A ne faire que si la suppression du contrôleur de domaine échoue !
Toujours faire une sauvegarde de l’annuaire (sauvegarde complète avec Windows Server Backup).
Configurer l’ancien DC en tant que serveur en groupe de travail : Exécution de la commande DCPROMO /FORCEREMOVAL
Ouvrir un invite de commande et lancer l’utilitaire NTDSUTIL.
Utiliser l’utilitaire NTDSUTIL pour supprimer les références à l’ancien contrôleur de domaine. Attention une simple suppression du compte ordinateur en suffit pas! Pour cela appliquer l’article Microsoft suivant : -us
Ne pas se tromper au niveau de la partie « Select Operation target ». On sélectionne le DC que l’on veut supprimer.
Forcer le transfert des rôles FSMO (avec l’outil NTDSUTIL). Pour cela appliquer l’article Microsoft suivant :
Procédure à appliquer avec les DC 2012 et versions ultérieures :
Migration de ressources entre forêts / fusion de deux forêts en une seule : Utilisation de l’outil ADMT 3.1 / ADMT 3.2 (pas de prise en charge des annuaires gérés par des contrôleurs de domaine Windows 2000).
Utilisation de l’attribut SID History.
Les ressources sont copiés entre le domaine source et le domaine cible. Commencer par migrer tous les groupes, puis tous les comptes utilisateurs. Migrer ensuite les comptes ordinateurs par lots.
Attention lors de la suppression de l’ancien domaine, les anciens SID ne sont plus résolus. Il faut donc lancer l’assistant translation des SID sur tous les serveurs. Voir outil tiers pour les NAS NETAPP / EMC…
L’agent ADMT exécute un script qui va permettre de changer la machine de domaine et de translater les SID. Lancer l’outil avec un compte utilisateur du domaine source (compte membre du groupe administrateur du domaine source et BUILTIN\Administrateurs dans le domaine cible).
Fusion de deux domaines dans la même forêt :
Outils : Microsoft ADMT (gratuit) ou Quest Migration Manager (payant).
Les ressources sont déplacées avec ADMT. Il faut migrer les groupes (les passer en groupes universelles) puis migrer par les lots les comptes utilisateurs / comptes ordinateurs.
L’agent ADMT exécute un script qui va permettre de changer la machine de domaine et de translater les SID. Lancer l’outil avec un compte utilisateur du domaine source (administrateur du domaine source et BUILTIN\Administrateurs dans le domaine cible).
?familyid=6D710919-1BA5-41CAB2F3-C11BCB4857AF&displaylang=en
Mise à jour des contrôleurs de domaine :
Utilisation de l’outil ADPREP pour mettre à jour le schéma Active Directory. Migration par ajout et suppression de contrôleurs de domaine. (WS.10).aspx
11. Les services réseaux :
149
Permet d’affecter dynamiquement une adresse IP à des stations de travail.
Réservation IP : affectation d’une IP à une adresse MAC (utile pour les imprimantes ou les éléments dont l’IP ne doit pas changer).
Le service DHCP de Windows s’interface avec le service DNS. Le serveur DHCP peut mettre à jour les enregistrements DNS dynamiques à la place des stations de travail.
Il est nécessaire d’autoriser le serveur DHCP sur une machine membre / contrôleur d’un domaine (nécessite les droits administrateur de l’entreprise).
Activer la détection des conflits IP (au niveau des propriétés du serveur DNS). Cocher la case « Ignorer les enregistrements A et PTR lorsque le bail est supprimé ».
Pour les problèmes avec les mises à jour dynamiques DNS : voir
Quelques problèmes connus :
Croix rouge au niveau des baux DHCP :
Erreurs DCHP 1010 / 1014 :
Doublons dans les zones DNS :
Déconnecter la salle du cours du réseau d’entreprise ou faire sur des machines virtuelles dans un réseau isolé.
Faire ce TP par groupe de 2.
Installer le service DHCP (ajout du rôle depuis le Gestionnaire de Server). Créer une étendue DHCP avec deux adresses (voir formateur) et la configurer pour affecter une adresse de serveurs DNS / Wins / passerelle). Tester le fonctionnement de l’étendue. Que se passe t’il ?
Tester les commandes ipconfig /release et ipconfig /renew et ipconfig /all Arrêter tous les serveurs DHCP. Faire un ipconfig /release et un ipconfig /renew. Que se passe t’il ?
Créer une réservation IP.
Wins : Windows Internet Naming Service
Protocole permettant de résoudre des noms NETBIOS (toto) en adresse IP.
Utiliser aujourd’hui encore pour accélérer l’affichage du voisinage réseau.
Mise en pratique :
Avec le bloc Note, ouvrir le fichier C:\WINDOWS\system32\drivers\etc\ . A quoi sert ce fichier ?
Installer le service WINS (Ajout de fonctionnalités dans le Gestionnaire de Server).
Configurer le serveur pour s’enregistrer dans la base WINS (paramètres TCP / IP, paramètres avancées).
Créer un enregistrement www avec comme IP 192.168.0.1. Faire un ping de www puis un nbstat -n puis nbtstat -R. Qu’est ce qu’est le cache Wins.
Configurer votre serveur WINS pour être partenaire de réplication avec un autre serveur WINS.
Renommer le fichier en LMHOST et configurer Windows pour utiliser ce fichier. Créer une entrée dans ce fichier et conclure.
Présenter le fonctionnement du voisinage réseau et exécuter la commande
« Browstat status ». Qu’est ce qu’un master browser ?
Lire article
11. Sécuriser son annuaire Active Directory :
153
➢ 280 jours : délais pour détecter une attaque
➢ 63 jours : délais pour s’en remettre
➢ 20 minutes (Petya) : 2000 machines, 100 serveurs, sauvegarde HS
➢ 81 % : les entreprises françaises ciblées par une attaque informatique en 2015.
➢ 35 % : source de l’incident de sécurité, l’équipe IT
➢ 800 000 euros : prix (moyenne) pour s’en remettre
La méthodologie pour sécuriser son AD
Avec Ping Castle, c’est gratuit et automatique !
Outils pour faire des tests d’intrusion Active Directory
Principaux outils de tests d’intrusion :
Cain, DSInternal, Metasploit, Mimikatz, PowerSploit, PSEXEC
Méthodologie d’attaques :
Elévation de privilèges, mouvement latéral, social engineering, altération des fichiers du système.
Scénario d’attaque :
Je deviens administrateur local de la machine (via une faille de sécurité, en copiant / renommant par en console de récupération).
Une fois administrateur local, j’escalade en tant que SYSTEM (PSEXEC -i –s cmd).
Une fois SYSTEM, je me connecte à la mémoire du processus de la machine pour des Hash de mots de passe de compte à fort privilège.
Je me connecte via ses comptes à fort privilèges à d’autres machines.
Je fouille la mémoire du processus d’autres machines jusqu’à devenir Domain Admins / Enterprise Admins.
Je me crée un Golden Ticket pour disposer d’une porte dérobée pour rentrer sur l’annuaire AD quand je le souhaite.
Visionner les vidéos suivantes :
Msreport - durcissement de la sécurité Active Directory - vue d'ensemble
Msreport - les élévations de privilèges Active Directory et comment les détecter Lire le guide “Tester la sécurité de son annuaire Active Directory”.
Administration Active Directory
Guillaume MATHIEU
Directeur Technique Flexsi
1. Présentation de Windows Server
➢ Les nouveautés
➢ Les Best Practice
2. Présentation Active Directory
➢ Qu’est ce qu’un annuaire.
➢ Les notions de forêt / domaine / OU / schéma Active Directory.
3. Les comptes utilisateurs
➢ Propriétés d’un compte utilisateur.
➢ Les modèles de compte utilisateur.
4. Les comptes ordinateurs ➢ Présentation compte ordinateur.
➢ Joindre un domaine
5. Les groupes
➢ Les étendues et les types de groupe.
➢ Les Best Practice.
6. Les Unités d’organisation ➢ Présentation générale
➢ Délégation d’administration.
7. Les stratégies de groupe ➢ Les grands principes
➢ Présentation de GPMC
➢ Les outils de diagnostics
8. Les mécanismes de réplication
➢ Présentation de la console Sites et Services Active Directory ➢ La topologie de réplication
9. Sauvegarde et restauration Active Directory
➢ Sauvegarde Active Directory
➢ Restauration autoritaire / la corbeille Active Directory
10. Notions avancées Active Directory
➢ Les outils de supervision / dépannage (DCDIAG, ASIEDIT, REPMON, REPADMIN).
11. Les services réseaux ➢ Le service DHCP
➢ Le service WINS
12. Sécuriser son annuaire Active Directory
➢ Les bonnes pratiques pour sécuriser un annuaire Active Directory
4
Le champ « Se connecter A » n’existe plus depuis Windows Server 2008. Pour se connecter à la base SAM local sur Windows Server 2008, taper : nom_machine\utilisateur ou .\utilisateur Si la machine est membre d’un domaine, se connecter au domaine en tapant :
Nom_NETBIOS\SamAccountName (msreportform\administrateur)
UserPrincipalName ()
Il est possible de définir des noms de domaine DNS supplémentaires appelés suffixes UPN.
Intérêt : le login de l’utilisateur = l’adresse de messagerie (plus simple à retenir). Toujours vérifier que le suffixe UPN n’est pas déjà utilisé au niveau d’une autre forêt que l’on approuve.
La console Server Manager permet :
➢ De paramétrer le serveur (adresse IP, pare feu, bureau à distance, Windows Update).
➢ D’ajouter les composants Windows répartis entre rôles et fonctionnalités. ➢ D’activer ou de désactiver la configuration renforcée de la sécurité d’Internet Explorer (IE ESC).
➢ De configurer les paramètres de mises à jour.
➢ De se connecter à un autre serveur à distance.
➢ D’accéder depuis un point unique aux principales consoles pour gérer chaque rôle / fonctionnalité.
A ne pas confondre avec le rôle Bureau à distance (anciennement appelé Terminal Server / Terminal Server mode serveur d’applications).
La connexion entre un client RDP et le serveur RDP est chiffrée maintenant. Windows Server génère un certificat auto-signé d’où le message d’erreur lorsque que l’on se connecte à distance. Pour ne plus avoir de message d’erreur, installer un certificat reconnu qui n’a pas expiré et se connecter au serveur avec le nom indiqué au niveau du certificat.
Activer l’authentification NLA (plus sécurisé).
Présentation PowerShell : Nouvelle interface ligne de commande / s’appuie sur le .Net Framework. Active Directory Center exécute en fait des commandes PowerShell. Extensible (ajout de CMDLETs via l’ajout de modules / snapins)
Les commandes PowerShell indispensables :
Get-Help nom_cmdlet :
Get-Help Get-Aduser –full
Get-Help Get-Aduser -examples
Get-Modules -ListAvailable : liste des modules installés
Select-object : permet de sélectionner que certains attributs de l’objet de sortie Install-Module XXX : permet d’installer le module XX (nécessite MPowerShell V5).
Les opérateurs ( < > | where –ne ), les variables $_.attributs et les filtres
La sortie de la première réponse devient un paramètre en entrée de la seconde commande.
Exemple (lister les utilisateurs et afficher certains attributs)
Get-ADUser -Filter * -SearchBase "DC=MSREPORT,DC=INTRA" -Properties * |Select-Object
CN,LastLogonDate,MemberOf,Manager,Name,SamAccountname,
UserPrincipalName,HomePhone | Export-Csv -UseCulture -Encoding UTF8 -Path c:\
Les adresses IPV6 sont en DHCP. Cela génère donc des messages d’erreurs lorsque l’on fait un DCPROMO (Windows 2008 R2)
Pour désactiver IPV6, il ne faut pas décocher la case IPV6 au niveau des propriétés TCP/IP de chaque carte réseau. Créer la valeur DWORD 32 BitsDisabledComponentsavec la valeur FF.
En fixant DisabledComponents à 0x20, on configure IPV4 comme protocole prioritaire sur IPV6 (configuration recommandée) -us
Par défaut depuis Windows Server 2008 / 2008 R2 le pare feu est activé. Il est recommandé de conserver le pare feu actif.
Si vous souhaitez désactiver le pare-feu Windows :
Toujours passer par la console « Pare feu avec Fonctionnalités avancées ». En effet, le pare feu de Windows Server 2008 / 2008 R2 dispose de 3 profils (public, privé, domaine).
Il faut bien penser à désactiver la pare-feu pour les 3 profils.
Quand on se logue sur une machine, un TGT est créé. Ce dernier liste le ou les SID du compte utilisateur et de tous les groupes auxquels le compte utilisateur appartient.
L’UAC permet de générer un second ticket. Tous les SID des groupes avec des privilèges importants comme « Administrateurs » sont
supprimés. L’utilisateur utilise par défaut ce second ticket.
Pour pouvoir bénéficier de toutes les fonctionnalités, il faut cliquer sur OK ou exécuter le programme en tant qu’administrateur. L’UAC est paramétrable par stratégie de groupe.
Par défaut depuis Windows Server 2008 / 2008 R2 l’UAC est activé.
Il est recommandé de laisser actif l’UAC. Cependant ce dernier peut générer des problèmes avec certains scripts ou des applications qui lancent des scripts. On peut avoir des accès refusés par exemple lors de l’exécution de certains scripts.
Comment désactiver l’UAC
A partir de Windows 2012, lancer la console GPEDIT et définir l’option de sécurité User Account Control: Run all administrators in Admin Approval Mode.
Renommer la machine : A l’installation, Windows génère un nom aléatoire. Penser à renommer.
Ne pas renommer un serveur déjà promu en tant que contrôleur de domaine.
Pour activer Windows, il faut aller dans Panneau de configuration | Système et sécurité puis cliquer sur « Système ». Cliquer ensuite sur « Modifier la clé produit ».
Cela va lancer automatiquement l’activation par Internet. Penser à configurer un proxy auparavant si besoin. Pour plus d’informations, voir :
Installer Windows Server 2008 R2 ou versions ultérieures.
Renommer la machine.
Configurer la machine en IP fixe. A quoi sert un masque de sous réseau, une passerelle, un serveur DNS, un serveur Wins ?
Qu’est ce que l’APIPA, la configuration alternative (visible si station en DHCP). Installer le rôle serveur de fichiers (installer tous les services de rôles).
Installer le rôle IIS. N’installer que les services de rôles proposées par défaut. Quels sont les modules IIS installés par défaut ?
Activer le bureau à distance sur son serveur et accéder au serveur d’un collègue de son choix. Pourquoi y a-t-il un message d’avertissement ?
Désactiver la configuration renforcée de la sécurité d’Internet Explorer pour les administrateurs. Quels risques en terme de sécurité ?
Lancer PowerShell.
Exécuter la commande PowerShell Get-Modules -ListAvailable
Exécuter la commande Powershell Get-Alias dir et Get-Alias ls
Comparer PowerShell avec l’invite de commande CMD.
16
Qu’est ce qu’un service d’annuaire ?
Un service d'annuaire permet :
D'identifier des ressources.
Fonctionnement avancé : (WS.10).aspx
Différence base SAM avec AD : AD est annuaire centralisé (accessible depuis plusieurs machines). Une base SAM est un annuaire local.
Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory : permet de créer les comptes utilisateurs, groupe, compte ordinateur, OU.
Active Directory Centre d’administration : permet de créer les comptes utilisateurs / ordinateurs, groupes, unités d’organisation (OU). Console très orientée tâches d’administration quotidiennes (créations de comptes…).
Sites et Services Active Directory : permet de forcer la réplication Active Directory et de gérer les services qui se basent sur Active Directory.
Domaine et Approbation Active Directory : permet de gérer les suffixes UPN et les relations d’approbation.
Active Directory Module for Windows PowerShell : permet de créer les comptes utilisateurs / ordinateurs, groupes, unités d’organisation (OU) en ligne de commande ou à l’aide de script.
Si l’on active le mode d’affichage « Fonctionnalités avancées », les conteneurs suivants apparaissent :
➢ Lost and Found : contient tous les objets en conflits.
➢ Program Data : conteneur vide, permet à des applications de stocker des données spécifiques à une application.
➢ NTDS Quota : contient les objets quotas qui permettent de limiter le nombre d’objets que peut créer un compte utilisateur. Le but est de se protéger des attaques par déni de service.
➢ System : contient tous les dossiers systèmes nécessaires aux bons fonctionnement d’Active Directory (les objets pour les stratégies de groupe…).
MSA / gMSA : comptes de services gérés (nouveautés 2008 R2 / 2012). Cela permet de changer le mot de passe d’un compte de service sans avoir à changer le mot de passe dans la configuration du service.
➢ Editeur d’attributs: sorte d’ADSIEDIT intégré au niveau des propriétés d’un compte utilisateur.
➢ Objet : permet de déterminer où se trouve l’objet (pratique pour les recherches) et de désactiver la protection contre la suppression accidentelle.
➢ Réplication des mots de passe : permet de déterminer si l’on peut mettre en cache le mot de passe sur les RODC.
La console Sites et Services n’affichent pas par défaut le nœud « services » : Ce nœud permet d’avoir une vue simplifiée du conteneur « Services » dans la partition de configuration de l’annuaire Active Directory. Pour afficher le nœud services :
Ouvrir la console Sites et Services Active Directory. Sélectionner la racine de la console et cliquer sur Affichage | Afficher le nœud des services.
Protocole permettant de résoudre un nom DNS () en une adresse IP et inversement.
Deux systèmes de résolution de noms :
➢ Zone de recherche directe : résout un nom en IP.
➢ Zone de recherche inversée : résout une IP en nom.
L’espace de noms DNS est découpé en zones DNS. Ces zones sont répartis sur des milliers de serveurs DNS.
L’interconnexion entre serveurs DNS se fait via le mécanisme de délégation et de redirection.
Afin de fournir une tolérance de panne et de répartir la charge, un serveur DNS peut disposer d’une copie en lecture seule (zone secondaire) de la zone d’un autre serveur en lecteur / écriture (zone principale).
La redirection : un serveur DNS peut rediriger les requêtes non résolues vers un autre serveur DNS.
La délégation : un serveur DNS peut déléguer une partie de l’espace de noms qu’il gère à un autre serveur (payant).
Le round Robin : quand on dispose de plusieurs entrées A, le serveur répond aléatoirement sur les différentes entrées.
Le TRI DNS : si plusieurs réponses possibles, le serveur DNS répond toujours avec une IP qui est dans le même réseau IP que la machine qui a fait la requête (prioritaire sur le Round Robin).
Mise à jour dynamique DNS : activable au niveau des zones DNS. Commande ipconfig /registerdns permet de forcer création enregistrement A et PTR d’une machine Windows (mise à jour dynamique DNS).
Transfert de zones : permet à un serveur hébergeant une zone secondaire (en lecture seule) de télécharger la zone depuis un autre serveur.
Wins-R : le serveur DNS s’appuie les enregistrements d’un serveur WINS.
Phénomène d’Ilot DNS :
Cache Wins sur le serveur DNS : ?mfr=true
Zones DNS en double :
Bug au niveau des zones secondaires sous Windows 2008 :
Les stations de travail localisent les contrôleurs de domaine en effectuant des requêtes sur les enregistrements DNS suivants :
➢
➢
Les contrôleurs de domaine se servent du DNS comme d’un fichier de configuration en mettant à jour leurs enregistrements. C’est le service « CLIENT DHCP » qui gère cela (ne jamais désactiver ce service).
Pour localiser qui est Emulateur PDC (lors changement mot de passe…) :
Pour forcer l’actualisation des enregistrements de services des contrôleurs de domaine (par défaut toutes les 5 minutes), taper les commandes suivantes :
Net stop netlogon & net start netlogon
Les entrées du fichier C:\Windows\System32\Config\ sont chargées au démarrage du service NETLOGON () du contrôleur de domaine.
Avec le bloc Note, ouvrir le fichier C:\WINDOWS\system32\drivers\etc\hosts. A quoi sert ce fichier ?
Installer le service DNS (Gestionnaire de Server | Ajout de rôles).
Créer un enregistrement www avec comme IP 192.168.140.2. Faire un ping de puis un ipconfig /displaydns puis ipconfig /flushdns puis de nouveau ipconfig /displaydns. A quoi sert le cache DNS ?
Au niveau du serveur DNS, purger le cache DNS. Expliquer la différence avec la commande ipconfig /flushdns.
Définir un suffixe DNS sur une machine en groupe de travail (Panneau de configuration |
Propriétés Systèmes | Nom de l’ordinateur | Avancé).
Faire un ipconfig /registerdns. Que fait cette commande ?
Aller dans les paramètres avancés TCP/IP, onglet DNS et désactiver la case « Enregistrer les adresses de cette connexion dans le système DNS ».
Créer une entrée dans le fichier HOST et faire un ipconfig /displaydns.
Se mettre par deux. Créer la zone « . » sur le serveur 1. Créer une nouvelle délégation pour la zone « fr » en indiquant l’IP du serveur 2.
Sur le serveur 2, créer la zone « fr » et le sous domaine google. Créer un entrée www dans « ». Faire un ping www.google.frdepuis le serveur 1 et 2.
Forêt (symbole : rectangle) : limite de réplication et de sécurité. Ensemble d’arborescences de domaine. Créer deux forêts pour séparer deux entités pour des raisons de sécurités (créer ensuite une relation d’approbation avec authentification sélective).
Arborescence de domaine (symbole plusieurs triangles reliés ensemble) : Ensemble de domaine avec une même racine de noms (noms contigus).
Domaine (symbole : triangle) : contient les objets (comptes utilisateur / ordinateur, groupes, unités d’organisation…).
Unité d’organisation (OU, symbole : le rond) : C’est un conteneur. Permet d’organiser l’annuaire, déléguer l’administration et créer des objets de stratégie de groupe.
DCPROMO : permet de convertir un serveur en groupe de travail / membre du domaine en un contrôleur de domaine et inversement (exécuter DCPROMO sur un contrôleur de domaine).
SYSVOL : répertoire spécial contenant les scripts et les GPO qui répliquent sur tous les contrôleurs de domaine.
: il s’agit de la base de données Active Directory (NTDS : New Technology Directory Service). Cette base est un dérivé des bases JET (moyennement fiable mais très rapide en lecture).
Compte de restauration des services d’annuaires : un contrôleur de domaine n’a plus de base SAM locale. Le compte de restauration des services d’annuaire permet de démarrer en mode restauration des services d’annuaire sur un résidu de base SAM. Cela peut être utile pour effectuer certaines opérations de maintenance pour
Active Directory (restauration…).
Exportation des paramètres : permet de créer un fichier de réponse au format TXT pour faire une installation en mode « Serveur CORE » (Windows 2008 R2 sans interface graphique).
Toujours faire un domaine dans une forêt sauf :
➢ Si les administrateurs ne doivent pas pouvoir gérer toutes les ressources.
➢ Si vous devez avoir un nom NETBIOS différent pour chaque entité. Il n’existe pas d’équivalent des suffixes UPN pour le nom NETBIOS. L’alternative est de faire en sorte que les utilisateurs ouvrent une session avec le nom DNS de domaine. ➢ En mode natif 2008, il est possible de créer plusieurs stratégies de mots de passe alors qu’en mode natif 2003 on ne peut créer qu’une stratégie de mot de passe par domaine. Best Practice :
➢ Faire un domaine dans une forêt puis créer une OU par entités / services.
➢ Ne pas dépasser 4 à 5 niveaux d’imbrication pour les OU si possible.
➢ Déléguer l’administration au niveau des unités d’organisation.
➢ Faire une OU pour les comptes ordinateurs et une autre pour les comptes utilisateurs. Mapper les GPO sur ces OU.
Le nom NETBIOS : permet aux stations antérieurs à Windows 2000 de se connecter au domaine.
Le nom DNS : peut être utilisés par les stations de travail ≥ Windows 2000. Le nom NETBIOS et le nom DNS peuvent être complètement différents.
Le nom NETBIOS apparaît au niveau du champ « Se connecter à » sur les machines Windows NT4, 2000, XP et 2003.
En mode natif 2003, on peut renommer un domaine Active Directory (utilitaire RENDOM). Cela est très déconseillé, voir impossible (avec Exchange 2007).
Les Best Practice :
Définir un nom de domaine DNS générique qui ne reprend pas le nom de la société (sauf si la probabilité que le nom de domaine change est très faible).
Utiliser les suffixes UPN pour ajouter des noms de domaine DNS.
Choisir un nom NetBIOS qui définit l’activité de la société.
Attention, pas de nom de domaine DNS de type SINGLE LABEL DNS NAME.
Définit qui peut être contrôleur au niveau d’un domaine. Débloque des fonctionnalités (groupes globaux membres d’autres groupes globaux…). Pas de retour arrière possible.
Mode de domaine | Fonctionnalités | Type de DC |
2000 mixte | Fonctionnalité de base | BDC NT4, DC 2000 / 2003 |
2000 natif | Groupe global membre d’un autre groupe global. | 2000 / 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2003 natif | Nouveau algorithme de réplication / attribut LastlogonTimestamp / authentification sélective. | 2003 / 2008 / 2008 R2 |
2008 natif | DFS-R remplace NTFRS pour la réplication de SYSVOL. AES 128 / 256. Nouveaux attributs sur les Grained Password Policy. | 2008 / 2008 R2 |
2008 R2 natif | Comptes de service gérés. | 2008 R2 |
Définit qui peut être contrôleur dans la forêt Active Directory. Permet de débloquer des fonctionnalités (relation d’approbation inter-forêts…)
Pas de retour arrière possible sauf depuis le mode natif 2008 R2. Le retour en mode 2008 natif est possible si l’on a pas activé la corbeille Active Directory.
Fonctionnalités
Type de DC
2000 natif
Fonctionnalités de base.
BDC NT4 / 2000 /
2003 / 2008 / 2008 R2
2003 natif
Approbation de forêt / Renommage de domaine (à éviter) / support des RODC / amélioration au niveau du KCC et de l’ISTG / désactivation d’attribut.
2003 / 2008 / 2008 R2
2008 natif
Même fonctionnalités que le mode natif 2003.
2008 / 2008 R2
2008 R2 natif
Corbeille Active Directory
2008 R2
A chaque modification, l’attribut
USNChanged est incrémenté. Les contrôleurs de domaine comparent ce numéro et détermine ainsi quel contrôleur de domaine dispose de la version la plus récente.
Comment un objet est il supprimé ?
L’attribut USNChanged est incrémenté et l’objet est Déplacé dans le conteneur Deleted Users pendant la TombstoneLifeTime.
Durée de la TombstoneLifeTime : paramétrable, 60 jours par défaut pour un domaine créé avec Windows 2000, 180 pour un domaine créé avec Windows 2003 ou versions ultérieures.
(v=ws.10)
Une fois la période passée, l’objet est réellement supprimé
Pourquoi ce fonctionnement :
C’est pourvoir répliqué la suppression d’un objet
Linguering object :
C’est quand un objet apparaît comme définitivement supprimé (après la période de
TombstoneLifeTime et qu’il apparaît comme présent sur un autre dc
Le dc sur lequel il apparaît a comme linguering object (zombie). La réplication est bloqué automatiquement
Ils sont au niveau de la partition de configuration Active Directory.
Renommer la machine suivant la convention de nommage indiquée par le formateur (DCTESTLABX).
Configurer le serveur en adressage IP fixe (valider la configuration DNS).
Installer le rôle serveur DNS.
Installer le rôle Active Directory Domain Services.
Jusqu’à Windows Server 2008 R2, exécuter l’assistant DCPROMO (Domain Controller Promotion).
Définir comme serveur DNS principal, l’IP du premier contrôleur de domaine. Expliquer pourquoi ?
Faire un ping puis ipconfig /displaydns Faire ensuite un ipconfig /flushdns puis ipconfig /displaydns. Expliquer. Lancer l’assistant DCPROMO. Une fois l’écran de bienvenue se lance, aller le gestionnaire de rôle dans la section Rôles de Server. Que constatez vous ?
Suivre les indications sur les captures d’écran.
En mode avancé, il est possible de spécifier depuis quel contrôleur de domaine on réplique. Pour les sites avec une très faible bande passante, il est même possible de répliquer depuis une sauvegarde. Pour plus d’informations :
Les cases « Serveurs DNS » et « Catalogue Global » doivent être cochées. Sans catalogue global, seul les administrateur du domaine peuvent ouvrir une session.
Sans serveur DNS, les stations de travail ne peuvent pas localiser les contrôleurs de domaine.
Vérifier le fonctionnement de la réplication avec Sites et Services Active Directory Si la réplication n’est pas fonctionnelle :
Définir sur tous les DC le même serveur DNS principal.
Vérifier sur ce dernier qu’il existe une zone DNS correspondant au nom de domaine DNS.
Vérifier si cette zone autorise les mises à jour dynamiques.
Taper les commandes suivantes :
Ipconfig /flusddns
Ipconfig /registerdns
Net stop netlogon
Net start netlogon
Repadmin /kcc
Les chemins LDAP :
Nom unique relatif LDAP : OU=Production Nom unique LDAP :
CN=sophie mathieu2,Ou=enfant,0U=Migration,DC=ORGA2,DC=LAN
Nom canonique :
Commutateur | Signification |
OU= | Unités d’organisation |
CN= | Objets |
DC= | Domaine |
O= | Organisation (Exchange). |
Mise en pratique :
Créer deux comptes utilisateurs appelés Sophie Mathieu2 et guillaume.mathieu. Aller dans l’éditeur d’attribut de la console Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory. Prendre la valeur du champ DistinguishedName.
➢ Emulateur PDC : serveur de temps du domaine. Gère les changements de mots de passe. En mode 2000 mixte, permet aux BDC NT4 de se synchroniser avec
le DC jouant le rôle d’Emulateur PDC. Gère la création des relations d’approbation. Gère la topologie DFS.
➢ Maître RID : permet d’allouer des pool de 500 SID. Si ce rôle n’est plus en ligne, les contrôleurs de domaine ne peuvent plus obtenir de nouveau pool de SID. Si leur pool est épuisé, ils ne peuvent plus créer de nouveaux objets.
➢ Maître d’infrastructure : permet de gérer les objets fantômes (un objet fantôme est créé lorsque l’on joint un objet du domaine B dans un groupe du domaine A).
➢ Maître d’attribution de noms de domaine : valide s’il n’y a pas de conflit(s) de noms DNS au niveau des domaines de la forêt et des domaines approuvés.
➢ Maître de schéma : permet de gérer les modifications effectuées au niveau du schéma Active Directory.
Le serveur de Catalogue Global : contient une réplique des principaux attributs de tous les objets de la forêt. Permet de faire des recherches dans l’annuaire. Gère les groupes universels. Si plus de serveur de Catalogue global, on ne peut plus ouvrir de sessions (sauf les administrateurs du domaine).
Mettre tous les DC en tant que serveur de « Catalogue global » ou ne pas mettre le contrôleur de domaine qui joue le rôle de Maître d’Infrastructure en tant que serveur de Catalogue Global.
6/en-us 9/en-us -us -us
Pour déterminer qui a les 5 rôles FSMO en ligne de commande :
netdom query fsmo
Utiliser la commande Dcdiag.
Taper la commande “regsvr32 ” pour afficher la composant logiciel enfichable “Maître de schéma”,
Active Directory est découpé en partitions :
➢ Schéma : contient l’ensemble des attributs et des classes (extensible).
➢ Configuration : contient la configuration de l’annuaire Active Directory (les sites, les partitions d’annuaires…).
➢ Domaine (1 par domaine) : contient les données utiles (les comptes utilisateur / ordinateur, les groupes…).
➢ ForestDnsZones : contient les entrées des zones DNS publiées sur tous les serveurs DNS de la forêt.
➢ DomainDnsZones (1 par domaine) : contient les entrées des zones DNS publiées sur tous les serveurs DNS du domaine.
Pour se connecter à certaines partitions, il faut se connecter avec un éditeur bas niveau Active Directory : ADSIEDIT.
Mise en pratique :
Lancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ». Créer l’OU Test à la racine du domaine.
Créer le compte utilisateur test1 (mot de passe : [email protected]) dans l’OU Test.
Créer le groupe global testgp1 dans l’OU Test. Ajouter l’utilisateur test1 au groupe global testgp1.
Lancer ADSIEDIT. Se connecter à la partition de domaine. Localiser la ressource testgp1 et éditer l’objet utilisateur (bouton droit, Propriétés). Aller au niveau de l’attribut « member » et supprimer l’entrée test1.
Relancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory » et valider que l’utilisateur test1 n’est plus membre du groupe testgp1.
Créer une zone DNS appelée .
Intégrer la zone dans l’annuaire. Cocher la case « Enregistrer la zone dans Active Directory …». Sélectionner ensuite « Vers tous les contrôleurs de domaine dans ce domaine… »
Créer un enregistrement de type A appelé www avec l’IP 192.168.0.1.
Cela va créer une entrée dans System\Microsoft DNS.
Vocabulaires :
➢ Classes : types d’objets (exemple de classe d’objet : groupe, utilisateur).
➢ Schéma : ensemble des attributs, des méthodes et des classes.
Le schéma Active Directory est extensible. Cela permet d’ajouter des attributs ou des classes. On ne peut pas modifier les méthodes. Certaines applications comme Exchange () nécessite d’étendre le schéma.
(WS.10).aspx
Pourquoi mettre à jour son schéma Active Directory : Installation de produit qui s’appuie sur Active Directory comme Exchange. ADPREP /Forestprep : permet d’ajouter les attributs et les classes permettant l’installation des contrôleurs de domaine de version Windows supérieur (exemple, DC 2008 R2 dans un domaine géré initialement par des DC Windows 2000).
Best Practice :
Effectuer la manipulation sur le maître de Schéma.
Désactiver la réplication entrante et sortante sur le maître de schéma pendant la phase de mise à niveau du schéma (voir commande ci-dessous).
Créer une MMC vierge et ajouter le composant logiciel enfichable « Maître de Schéma ».
Vérifier si les attributs « Description » et « Department » sont dans le Catalogue Global (case « Répliquer cet attribut dans le catalogue global).
Sélectionner l’attribut « Title ». Cocher la case pour que ce dernier soit conservé lors de la copie d’objet (compte utilisateur).
Les relations d’approbations permettent de partager des accès entre deux annuaires différents. Tous les domaines de la même forêt s’approuvent.
A approuve B : on peut définir des permissions sur les ressources du domaine A avec des utilisateurs / groupes du domaine B. Les utilisateurs de la forêt B sont automatiquement membres du groupe « Utilisateurs authentifiés » du domaine A.
Pas d’approbation entre deux domaines avec un nom de domaine NETBIOS ou un nom de domaine DNS identique.
L’Emulateur PDC de chaque domaine doit être en ligne lorsque l’on crée une relation d’approbation entre deux domaines. Les relations d’approbations peuvent être :
➢ Transitive : si A approuve B et que B approuve C, alors A approuve C.
➢ Implicite : automatique (relation d’approbation entre domaines de la même forêt).
➢ Bidirectionnelle : A approuve B et B approuve A.
Les relations d’approbations entre domaines de la même forêt sont transitives, implicites et bidirectionnelles.
Ouvrir la console DNS.
Autoriser sur toutes les zones le transfert de zones.
Sur le DC1 (domaine 1), ajouter les zones DNS du DC2 (domaine 2). Ouvrir la console « Domaines et Approbation Active Directory ».
Créer une relation d’approbation bidirectionnelle.
Activer l’authentification sélective.
Services d’un contrôleur de domaine :
➢ Netlogon () : client d’authentification
➢ Active Directory Services / NTDS () :
service d’authentification. Existe sous forme d’un service depuis Windows 2008.
➢ Kerberos Key Distribution Center : service de distribution de clés Kerberos ( délivre les TGTs, tickets de service)
➢ Service de réplication de fichiers (NTFRS) ou service DFSR : en charge de la réplication du dossier SYSVOL.
➢ Service DNS : héberge la zone DNS qui dispose des entrées permettant aux clients de localiser les contrôleurs de domaine.
➢ Client DHCP : ce service permet au contrôleur de domaine d’enregistrer dynamiquement les entrées DNS du fichier .
Contient les scripts et les fichiers des stratégies de groupe (GPO). L’emplacement de SYSVOL se définit au DCPROMO (modification avec NTDSUTIL).
Réplique sur tous les contrôleurs de domaine.
Le partage SYSVOL correspond au répertoire c:\windows\sysvol\sysvol.
Contient l’annuaire (fichier )
Pour sauvegarder l’annuaire, il faut obligatoirement une sauvegarde de l’Etat du système. Une sauvegarde du lecteur C n’est pas suffisante.
Les modifications sont effectuées dans les logs puis inscrits ensuite dans le fichier . Le fichier .chk permet de connaître le log en cours. Les fichiers .jrs sont des fichiers de logs utilisaient en cas de saturation de l’espace disque.
Le fichier est une base de données temporaire utilisée pour certaines opérations.
Pour réparer la base de données Active Directory, il faut utiliser l’utilitaire ESEUTIL (défragmentation….). Windows effectue tous les soirs une défragmentation en ligne de l’annuaire. Cette dernière ne permet cependant pas de récupérer de l’espace disque. Il faut une défragmentation hors ligne.
Prérequis : Un domaine avec deux contrôleurs de domaine.
Sur le premier contrôleur de domaine, créer un fichier (contenu test1) dans c:\windows\sysvol\sysvol\nom_domaine. Attendre environ 5 minutes.
Valider que ce dernier est apparu dans le même répertoire sur le second contrôleur de domaine.
Sur les deux contrôleurs de domaine, éditer le même fichier, le modifier (mettre une valeur différente) et l’enregistrer au même moment. Que se passe t’il ?
Arrêter le service « DFS Replication » sur le second contrôleur de domaine. Créer un nouveau fichier sur le premier contrôleur de domaine. Que se passe t’il ?
3. Les comptes utilisateurs
68
Les comptes utilisateurs sont identifiés par le SID / GUID et non par le login. Il est donc possible de changer le login / renommer un compte utilisateur. Il existe deux types de login (un pour nom NETBIOS et un pour nom DNS).
Pour le chemin des profils itinérants, il est possible d’utiliser la variable %username% et faire une sélection multiple.
Indiquer juste le nom du script de login. Ce dernier doit se trouve dans c:\windows\sysvol\sysvol\nom_domaine_dns\scripts
Depuis Windows Server 2008, il est possible de protéger les comptes utilisateurs contre une suppression accidentelle. Cela positionne des permissions « Refusé » pour l’opération de suppression au niveau de l’onglet « Sécurité » du compte utilisateur (il faut être en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées ».
Avec les RODC, il est possible de dire si le mot de passe peut être mis en cache (en mémoire) ou non.
Il est possible d’effectuer des modifications sur plusieurs comptes en même temps en appuyant sur la touche contrôle et en sélectionnant les comptes utilisateurs.
On peut aussi utiliser un outil comme ADMODIFY.
Modèle de compte : on passe par la fonction Copier. L’assistant classique se lance ensuite et demande de saisir les informations spécifiques au compte utilisateur. On peut modifier dans la console « Schéma », les valeurs des attributs qui sont conservés lors d’un copie.
Intérêt : permet de conserver la valeur de certains attributs (appartenances aux groupes, certains champs de l’adresses…). D’où un gain de temps.
Best Practice : les modèles de comptes utilisateurs doivent être des comptes désactivés
Best Practice compte utilisateur :
Valider avec la direction la convention de nommage et la stratégie de mots de passe.
Intégrer si possible une chaîne de caractère aléatoire dans le login pour éviter les attaques par verrouillage (en déterminant le login d’un utilisateur). Créer des modèles de comptes utilisateurs.
Ne pas activer le verrouillage de comptes avec une seuil trop faible (mettre environ 50 échecs avant le verrouillage).
Pour les comptes de services, cocher la case « Le mot de passe n’expire jamais » afin d’éviter que le mot de passe des comptes de services n’expire. Cela bloquera en effet le démarrage du service. Il est aussi possible d’utiliser les nouveaux comptes de services gérés.
Il existe des outils comme Active Roles qui permettent de forcer la saisie de certains champs lors de la création des comptes utilisateurs ou qui permettent d’imposer un certain formalisme lors de la saisie des champs.
Créer un compte utilisateur sans mot de passe. On obtient le message d’erreur cidessous. Réessayer en utilisant le mot de passe « [email protected] ».
Ouvrir une session avec ce compte sur une machine membre du domaine. Un nouveau profil est généré.
Lancer l’éditeur de base de registre (REGEDT32). Faire une recherche sur la valeur « profileimagepath ». Cette clé permet de mapper le SID du compte au profil utilisateur. Personnaliser le profil (fond d’écran, création de fichiers sur le bureau…). Fermer la session.
Renommer le compte utilisateur (champ prénom, nom, description, login). Ouvrir la session. Vous devez récupérer votre profile. Pourquoi ?
Les paramètres de stratégies de mots de passe :
➢ Historique des mots de passe / durée de vie minimale du mot de passe : permet d’empêcher les utilisateurs de réutiliser le même mot de passe. Le paramètre durée de vie minimale du mot de passe empêche l’utilisateur de changer X fois son mot de passe jusqu'a pouvoir ressaisir son ancien mot de passe.
➢ Durée de vie maximale du mot de passe : le mot de passe devra être changer tous les X jours.
➢ Longueur minimum du mot de passe : le mot de passe doit faire au minimum X caractères.
La complexité des mots de passe est géré via le fichier .
Des outils tiers comme One Identity Password Manager permettent de disposer d’une personnalisée (dictionnaire de mots de passe interdit, charactères interdits…). Il existe aussi une solution gratuite alternative :
Quelle stratégie de mots de passe adoptée ?
Depuis Windows Server 2008, les « Fine Grained Password Policy » permettent de définir des stratégies de mots de passe spécifique pour un utilisateur ou un groupe.
(WS.10).aspx
Les risques :
Une politique de mots de passe trop faible risque de compromettre le niveau de sécurité de la société tout comme une politique de mots de passe trop complexe (les utilisateurs écrivent sur papier leur mot de passe).
Réinitialisation de mots de passe ≠ Changement de mot de passe :
Attention la réinitialisation de mot de passe fait perdre l’accès aux données chiffrées avec EFS dans certains cas (si compte de la base SAM local par exemple).
Self Service Password Reset :
De nombreux outils comme One Identity Password Manager ou Microsoft Azure AD Premium (SSPR) permettent aux utilisateurs de réinitialiser eux même leur mot de passe via des questions réponses, l’envoie de Passcode par SMS ou messagerie personnelle. L’utilisation de questions / réponses peut abaisser fortement le niveau de sécurité ou générer des problèmes de conformité avec le RGPD. L’envoie de Passcode sur téléphone portable Pro est donc à privilégier.
Quel politique adoptée ?
Toujours faire valider la stratégie de mots de passe par la direction.
Il faut trouver un juste milieu (complexité activé, historique : 5 mots de passe, durée de vie minimale du mot de passe : 1 journée, durée de vie maximale du mot de passe : 42 jours).
L’option « Le mot de passe n’expire jamais » :
A définir uniquement pour les comptes de services (pas pour les autres comptes)
MSA :
➢ Un Managed Service Account par machine (pas de partage d’un même « Managed Service Account » entre machines).
➢ Pas de pris en charge des cluster (services mis en haute disponibilité).
➢ msDS-ManagedServiceAccount : nouvelle classe pour gérer les Managed Service Accounts.
➢ Managed Service Account : c’est une sorte d’intermédiaire entre un compte utilisateur et un compte ordinateur.
➢ Changement du mot de passe : même fonctionnement qu’un compte ordinateur
(changement tous les 30 jours). Nécessite mode 2008 R2 pour changement automatique du mot de passe.
➢ Pas de login interactif ou de verrouillage de compte.
➢ Possibilité d’ajouter un Managed Service Account à un groupe (pour le contrôle des accès).
gMSA :
Disponible depuis Windows Server 2012.
Toujours vérifier que l’application supporte l’usage des MSA ou gMSA !
Les comptes ordinateurs disposent d’un mot de passe.
Permet d’authentifier la machine dans le domaine. La machine envoie le mot de passe du compte ordinateur (qui est mis en cache) au contrôleur de domaine. Ce dernier le compare au mot de passe contenu dans l’annuaire.
Permet d’attribuer des GPO de type « Configuration Ordinateur ».
Le mot de passe du compte ordinateur change par défaut tous les 30 jours (configurable via registre / GPO).
Lorsque l’on joint une machine au domaine, par défaut le compte ordinateur est ajouté dans le conteneur « Computer » à la racine du domaine. En cas de problème avec le compte ordinateur, une erreur NETLOGON apparaît sur la station de travail et le contrôleur de domaine.
Il est possible de pré-créer le compte ordinateur dans une OU spécifique.
Quand la machine joint le domaine, elle complète les informations (version de l’OS…).
Mettre vos contrôleurs de domaine comme serveur DNS sur la machine Windows 10.
Pourquoi faut il définir plusieurs serveurs DNS ?
Sortir la machine du domaine. Redémarrer la machine.
Créer un compte utilisateur standard.
Joindre la machine au domaine en utilisant le nom de DNS de domaine. Utiliser le compte standard pour vous authentifier. Redémarrer la machine.
Ouvrir la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ». Aller dans le conteneur « Computers ».
Aller dans les propriétés du compte ordinateur et parcourir les différents onglets. A quoi sert le groupe « Ordinateurs du domaine ».
Supprimer le compte ordinateur. Redémarrer la station de travail . Essayer d’ouvrir une session avec le compte utilisateur. Cela échoue. Pourquoi ? Ouvrir les observateurs d’événements et chercher une erreur Netlogon.
Joindre de nouveau la machine dans le domaine (la repasser en workgroup au préalable).
Réinitialiser le mot de passe du compte ordinateur. Redémarrer la station de travail. Ouvrir les observateurs d’événements. Une erreur NETLOGON apparaît de nouveau. Pourquoi ?
Qu’est ce qu’un groupe ?
Un groupe est un ensemble de ressources.
Un groupe n’est pas un conteneur (ne pas confondre avec les OU).
On ne peut pas affecter de GPO à un groupe. On peut cependant filtrer l’application des GPO à des groupes en définissant les droits « Lire » et « Appliquer les stratégies de groupes » à un groupe (dans l’onglet Sécurité).
2 types de groupes :
Les groupes de sécurité : utilisés pour la messagerie et gérer les droits. Les groupes de distribution : utilisés pour la messagerie (liste de diffusion)
3 étendues différentes :
Les groupes globaux de domaine
Les groupes locaux de domaine Les groupes universels
A partir du mode natif 2003, si l’on ajoute un objet comme membre d’un groupe, seul l’ajout du membre réplique. Auparavant l’objet groupe répliquait complètement.
On va pouvoir changer l’étendue d’un groupe à partir du mode natif 2000.
Etendue | Membres | Visibilité | Intérêt |
Globale | Objet du même domaine Ne peut pas contenir de groupe universel. | Visible sur le domaine locale et tous les domaines approuvées. | Groupe d’utilisateurs |
Locale | Objet du domaine locale et de tous les domaines approuvées. | Visible sur le domaine locale uniquement. | Pour définir des permissions. |
Universelle | Objet de tous les domaines de la forêt (pas sur les domaines approuvées hors de la forêt) | Visible sur le domaine locale et tous les domaines approuvées | Liste des distributions pour Exchange. |
Les propriétaires d’un groupe : peut gérer les appartenances aux groupes.
L’imbrication des groupes : un groupe peut avoir comme membre d’autres groupes selon le niveau fonctionnel du domaine.
Pour modifier l’étendue d’un groupe : convertir un groupe globale en groupe universel puis le repasser en groupe local. Attention aux permissions définis sur les serveurs à l’aide des groupes ! Un groupe globale est visible depuis le domaine locale et tous les domaines approuvées. Un groupe locale n’est visible que depuis son domaine ! Attention aux incohérences.
On peut aussi changer le type d’un groupe. Attention si l’on passe un groupe de sécurité en groupe de distribution, toutes les permissions définies ne fonctionneront plus mais elles continueront de s’afficher dans l’onglet « Sécurité ». Pas de synchronisation entre le système de fichiers et l’annuaire.
Permission accès partage = cumul le plus restrictif permissions Partages / NTFS.
Eviter de convertir les groupes de sécurités en groupe de distribution.
Utiliser les groupes locaux de domaine pour définir des permissions sur les serveurs de fichiers et au niveau de l’annuaire. Utiliser les groupes globaux comme des groupes d’utilisateurs.
Définir une topologie de groupe globaux sur papier. Elle doit correspondre à la structure administrative de l’entreprise. Un groupe par sous-services par exemple… Pas plus de 5 niveaux d’encapsulation (pour des raisons de performance). Convenir avec la direction d’une convention de nommage.
Pour gérer les accès à une ressource :
L’administration des accès doit se faire depuis la console Utilisateurs et Ordinateurs du domaine ou Centre d’administration Active Directory.
Créer 3 groupes locaux de domaine, un pour l’accès en lecture, un pour l’accès en lecture et écriture (Modifier), un pour l’accès en Contrôle Totale.
Définir les permissions à ces 3 groupes au niveau de la ressource (onglet Sécurité). Ajouter « Contrôle Total » aux groupes SYSTEM et au groupe Administrateurs. Créer vos groupes d’utilisateurs (groupes globaux).
Pour définir des accès à la ressource, ajouter des groupes globaux ou des comptes utilisateur / ordinateur en tant que membres des groupes locaux de domaine.
Créer 3 dossiers imbriqués les uns dans les autres (Niveau1, Niveau 2 et Niveau 3). Désactiver l’héritage au niveau du dossier Niveau 1.
Partager Niveau 1 (contrôle Total pour tout le monde).
Sécuriser le répertoire Niveau 1 selon les Best Practice (utiliser les groupes locaux de domaine pour définir des permissions). Création groupes GDL_Niveau1_L, GDL_Niveau1_M et GDL_Niveau1_CT.
Créer des comptes utilisateurs compta1 et compta2 et le groupe globale (GG_Comptaibilité). Ajouté les utilisateurs compta1 et compta2 dans ce groupe globale.
Définir des permissions « Modifier » sur le répertoire Niveau1 à l’utilisateur
« Compta1 ».
Se loguer avec le compte Compta2 sur une machine membre du domaine et accéder au partage Niveau1.
Peut on sauvegarder un répertoire sur lequel on a pas d’accès. La réponse est oui si on est opérateur de sauvegarde, Opérateur de Server et administrateurs. Voir la capture de droite. Expliquer ?
Ne pas déplacer.
Equivalent des groupes locaux de domaine.
Ne pas utiliser si possible car on ne peut pas les migrer avec des outils comme
ADMT.
Rôle de ces groupes :
Builtin\Administrateurs : administrateur local sur tous les contrôleurs de domaine. Droits presque équivalents à Admins du domaine. Les membres de ce groupe ne sont pas administrateur local des stations de travail membrew du domaine.
▪ BUILTIN\Duplicateurs
▪ Builtin\Opérateurs de compte : peut créer des comptes. Peut être utilisé pour faire un premier niveau
▪ Builtin\Opérateurs de sauvegarde : peut sauvegarder des données même si ce dernier n’a pas d’accès.
▪ Builtin\Opérateurs de Server : peut effectuer certaines actions au niveau des contrôleurs de domaine comme changer la configuration IP.
Seul les groupes BUILTIN Opérateurs de sauvegarde, Administrateurs, Opérateurs de comptes et Opérateurs d’impression peuvent ouvrir une session sur un contrôleur de domaine (configurable via GPO).
Les groupes dans conteneur Users :
Admins du domaine : n’a des droits que sur le domaine. Il n’a que des droits partiels sur la partition de configuration. Il est administrateurs de tous les serveurs et stations de travail du domaine.
Administrateur de l’entreprise : administrateur de tous les domaines de la forêt
Administrateur du schéma : seul groupe habilité à modifier le schéma Active Directory
Tout le monde : tout le monde.
Créateur propriétaire : par défaut le créateur d’un fichier et d’un dossier est le propriétaire. Il a le droit de modifier les permissions.
System : droit presque équivalent à administrateur local. C’est par exemple le seul à pouvoir modifier le contenu de la base SAM dans la base de registre.
94
OU = unité d’organisation
C’est un conteneur (rien à voir avec les groupes).
On peut créer dans une OU tout type d’objet dont d’autres OU.
La topologie d’unités d’organisation doit correspondre à l’organisation administrative de l’entreprise. Elle est à faire sur papier et doit être validée par la direction. Les OU permettent aussi de faire de la délégation d’administration et de créer des
GPO.
Depuis Windows 2008, la console « Gestion des stratégies de groupe » est installé par défaut. On ne peut donc plus créer d’objets stratégies de groupe depuis la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory ».
Nouveauté sur les contrôleurs de domaine :
Quand on crée une nouvelle OU sur un DC 2008 / 2008, par défaut la protection renforcée contre la suppression accidentelle est activée. Cette protection met des permissions « Refusé » à Tout le monde pour la suppression d’objet.
Si on essaie de déplacer ou supprimer une OU, on a donc un message « Accès Refusé ».
Passer en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées » pour cocher ou décocher cette case.
Il est possible de déléguer des droits au niveau de chaque attribut (chaque champ) pour chaque type d’objet.
Méthode 1 : utilisateurs membres d’Opérateur de Comptes. Ces comptes utilisateur peuvent créer des groupes / comptes utilisateur / ordinateur dans l’AD.
Méthode 3 : Utiliser l’assistant Délégation en mode avancé « Créer une tâche personnaliser à déléguer ». Cette méthode permet de déléguer la gestion de certains attributs pour certains types d’objets.
Méthode 4 : lancer la console « Utilisateurs et Ordinateurs Active Directory » en mode d’affichage « Fonctionnalités avancées ». Aller au niveau d’une OU, cliquer sur « Propriétés » et aller dans l’onglet « Sécurité » puis passer en mode Advanced.
Microsoft propose maintenant une méthode appelée Tier 0, Tier 1 et Tier 2 pour déléguer l’administration Active Directory. L’idée principale est de séparer l’administration du service Active Directory (Tier 0), l’administration des serveurs (Tier 1) et l’administration des stations de travail et des comptes standards (Tier 2).
Créer une OU appelée Msreport1.
Créer un compte utilisateur dans cette OU appelé admin1_msreport.
Faire un clic droit au niveau de l’OU CHU et cliquer « Délégation de contrôle ». Ajouter le utilisateur ou le groupe à qui vous souhaitez déléguer des droits d’administration.
Sélectionner le ou les droits à déléguer.
Se loguer sur une station de travail membre du domaine avec le compte admin1_msreport.
Installer les outils d’administration (RSAT) sur la station d’administration ?id=45520 Tester la création d’un compte utilisateur.
Créer une OU appelée MSREPORT2.
Créer un compte utilisateur dans cette OU appelé admin2_msreport.
Clic droit sur l’OU CHU et cliquer « Délégation de contrôle ». Ajouter le utilisateur ou le groupe à qui vous souhaitez déléguer des droits d’administration.
Sélectionner « Créer une tâche d’administration personnalisée à déléguer ».
Sélectionner « Seulement les objets suivants dans le dossier ».
Cocher les cases « Créer et supprimer des objets ». Sélectionner « générales » dans la fenêtre « Afficher les autorisations ».
Sélectionner les propriétés de votre choix.
Se loguer sur une station de travail membre du domaine avec le compte admin2_msreport.
Installer les outils d’administration (RSAT) sur la station d’administration ?id=45520 Tester la création d’un compte utilisateur.
101
La base de registre est la base de configuration de Windows. Pour éditer la base de registre, on utilise REGEDIT ou REGEDT32 (c’est le même exécutable depuis Windows XP).
Ruche : ensemble de clés et de valeurs qui correspondent à un fichier au niveau du système. Clés : c’est un conteneur de valeur.
Valeur : variable. Il existe différent type de valeur (binaire, chaîne de caractères, tableaux de chaines de caractères…).
La base de registre est organisée en deux grandes sections HKEY LOCAL MACHINE et HKEY USERS.
La ruche HKEY_CURRENT_CONFIG est une sous ruche de HKEY_LOCAL_MACHINE
Il est possible de charger des ruches (fichier d’un autre utilisateur…).
Il est possible de définir des permissions au niveau des clés de registre
Sur une station de travail Windows XP Pro, lancer l’éditeur de base de registre. Aller dans HKEY_LOCAL_MACHINE | SAM | SAM.
Faire un clic droit sur le dossier SAM et cliquer sur « Autorisation ».
Ajouter les droits Control Total au groupe Administrateurs de la base SAM locale.
Vous pouvez maintenant visualiser le contenu de la base SAM locale.
Créer un compte utilisateur appelé « testregistre » au niveau du domaine et se loguer avec ce compte sur la station de travail. Personnaliser puis fermer la session (ajout imprimante réseau…).
Ouvrir une session avec le compte administrateur local sur cette station de travail. Lancer l’éditeur de base de registre.
« PROFILEIMAGEPATH ». A quoi sert cette clé. On se rend compte que toute la sécurité est basé sur le SID. Il est possible de réassocier un compte utilisateur avec le profil d’un autre utilisateur. Pour plus d’informations, voir . Aller dans c:\windows\system32\config. On y retrouve tous les fichiers des ruches de la base de registre.
Qu’est ce qu’une stratégie de groupe ?
Les stratégies de groupes (GPO) : se sont des
La console Gestion des stratégies de groupe : permet d’ajouter, lier, modifier et supprimer les GPO.
Il est possible d’ajouter de créer des stratégies de groupes personnalisées (fichier ADM ou ADMX).
A la création du domaine, deux GPO, la « Default Domain Policy » (configuration du domaine ) et la Default Domain Controller Policy (configurer des DC). Ne pas supprimer ces deux GPO. Eviter de les modifier.
Possibilité d’exporter / importer des GPO via GPMC.
Déployer des logiciels (installeur au format .MSI obligatoire). Pas de rapport, risque saturation réseau si gros logiciels.
Déposer les exécutables dans le partage NETLOGON ou SYSVOL.
D’exécuter des scripts au démarrage / arrêt de la machine (sous compte SYSTEM).
De configurer les stratégies de mots de passe, Kerberos et de verrouillage de comptes. Les paramètres de stratégie de mot de passe pour les comptes du domaine se définissent uniquement au niveau de la « Default Domain Policy ». Si on définit ce paramètre dans une autre stratégie, cela s’applique pour les comptes locaux. Voir . De configurer les paramètres et options de sécurité (qui peut ouvrir une session localement, arrêter la machine, accéder à la machine via le réseau, changer l’heure, les protocoles d’authentification autorisés…).
?familyid=92d8519a-e143-4aee-8f7ae4bbaeba13e7&displaylang=en
Depuis Windows 2008, L incluse GPO de préférences. Nécessite déploiement d’un correctif sur
Windows XP / Vista / 2003. Voir
Comment s’appliquent les GPO ?
Une GPO « Configuration Ordinateur » s’applique
Possibilité de fixer des GPO avec des paramètres contradictoires à différents niveaux.
Pour gérer les conflits, les GPO s’appliquent dans un certains ordre :
Local, Site, Domaine, unités d’organisation, unités d’organisation enfant
En cas de conflit c’est la dernière stratégie qui s’applique qui l’emporte sauf si les paramètres « Appliquer » (ne pas passer outre) et « Bloquer l’héritage » ont été définis.
Paramètre « Appliquer » : force l’application de la GPO.
Paramètre « Bloquer l’héritage » : si ce paramètre est fixé au niveau d’une OU enfant, les GPO au niveau des sites, domaines et des OU parent ne s’appliquent pas (sauf les paramètres de sécurité).
Le paramètre « Appliquer » prime sur le paramètre « Bloquer l’héritage ».
Paramètres de stratégies de mots de passe : configurable au niveau de la stratégie « Default Domain Policy ».
Utiliser les Fine Grained Password Policy / Granular Password Policy pour créer des stratégies de mots de passe spécifiques pour un groupe d’utilisateurs : Permet d’attribuer une stratégie de mots de passe à un compte utilisateur ou à un groupe. Nécessite domaine en mode Fonctionnalité Windows 2008.
(WS.10).aspx
Permet de définir quels sont les applications que l’on peut exécuter sur une station de travail.
APPLOCKER ne fonctionne qu’avec Windows Seven ou Windows 2008 R2. Utiliser le mode d’inventaire avant de mettre des stratégies restrictives.
(WS.10).aspx
Toujours consulter l’onglet « Aide » au niveau d’un paramètre de stratégie de groupe (désactiver une stratégie qui masque le panneau de configuration active le panneau de configuration…).
Pour les scripts de déploiement réseau, configurer la stratégie « Ouverture de session : attendre les connexions réseau » pour forcer l’application des scripts de démarrage avant l’ouverture de session.
Pour bloquer l’application des stratégies pour les administrateurs : supprimer l’entité « Utilisateurs authentifiés » et ajouter les droits lire et appliquer la stratégie à des groupes utilisateurs et des groupes d’ordinateurs. Pour plus d’informations, voir
En cas de suppression des stratégies Default Domain Policy et Default Domain Controller Policy, appliquer l’article : Pour réinitialiser stratégie sécurités :
Bug GPRESULT :
Pour afficher les stratégies de mots de passe : net accounts /domain
Les stratégies de préférence :
8. Les mécanismes de réplication :
116
Réplication Active Directory : basée sur numéro USN (Unique Séquence Number). La restauration autoritaire (avec NTDSUTIL) permet d’augmenter numéro USN. Par défaut, les DC d’un même site réplique toutes les 15 secondes entre eux.
Intérêt de créer plusieurs sites Active Directory : définir avec quels DC les stations de travail s’authentifient et configurer l’intervalle de réplication entre contrôleurs de domaine.
Chaque site est associé à un ou plusieurs sous réseaux IP.
Un sous réseau IP ne peut pas être associé à deux sites Active Différents.
Pour configurer 2 sites AD différents, il faut 2 sous réseaux IP (un pour chaque site).
-us
Le service RRAS permet de transformer Windows Server en routeur IP, serveur NAT, serveur VPN et en serveur RAS.
Depuis Windows Server 2008 R2, il est nécessaire d’installer le rôle « Services de stratégies et d’accès distants » et de configurer ensuite le service RRAS en tant que routeur IP.
Installer le rôle « Services de stratégies et d’accès réseau » avec les services de rôles « Service de routage et accès distant ».
Aller dans les outils d’administration et lancer la console « Routage et Accès distants ».
Démarrer la console « Routage et Accès distant » (dans les outils d’administration). Cliquer sur « Configurer et activer le routage et l’accès distant ». Sélectionner « Configuration personnalisée » puis « Routage IP ». Cliquer sur « Démarrer le service ». Valider que les deux contrôleurs de domaine peuvent communiquer ensemble
(ping).
Définir 1er DC avec IP : 192.168.1.1 /24 et 2ème DC avec IP : 192.168.2.1 /24.
Changer les adresses de serveur DNS et indiquer une passerelle (routeur RRAS).
Supprimer les anciennes entrées dans le DNS (anciennes IP des DC).
Taper les commandes suivantes :
Ipconfig /registerdns
Net stop netlogon & Net start netlogon
Ipconfig /flushdns
Valider que les deux DC peuvent communiquer ensemble (PING).
Lancer « Sites et Services Active Directory » . Forcer la réplication entre les 2 DC. Renommer le site par défaut en « Nemours ». Créer un second site appelé
« Meudon ». Créer 2 SUBNETs 192.168.1.0./24 et 192.168.2.0 /24. Lier 1er SUBNET au site Nemours, lier 2ème SUBNET à Meudon.
Renommer le lien inter-sites par défaut en Nemours-Meudon. Configurer la réplication sur 15 minutes. Permettre la réplication à toutes heures.
Déplacer le 2ème contrôleur de domaine dans le site Meudon. Lancer la commande repadmin /kcc pour forcer l’ISTG à générer les objets Connexion. Supprimer les liens connexions. Désactiver le KCC / ISTG : -us
123
NTBACKUP a été replacé par « Windows Server Backup ».
Windows Server Backup permet prend en charge la déduplication quand on sauvegarde sur une partition dédiée. On peut donc exécuter des sauvegardes complètes toutes les heures. Seuls les blocs modifiés sont sauvegardés.
Windows Server Backup ne permet pas de sauvegarder sur bande. Pour faire une sauvegarde sur bande, sauvegarder vers un partage et sauvegarder ensuite les fichiers produits par « Windows Server Backup ».
Quand on fait une sauvegarde sur disque local, le disque est formaté en NTFS mais n’est pas monté. Il est alors réservé par Windows Server Backup.
Mise en pratique : Prérequis : Il faut disposer d’un second disque sur le serveur (dédié). Lancer la détection des disques et à le mettre en ligne.
Installer la fonctionnalité « Windows Server Backup » (avec la partie PowerShell). Lancer la console « Windows Server Backup » et cliquer sur Planifier une sauvegarde. Cliquer sur sauvegarde complète (inclue la sauvegarde de l’Etat du système). Faire une sauvegarde plusieurs fois par jour vers un disque dédié.
Aller dans les tâches planifiées, dans la section backup. Modifier la tâche pour qu’elle autorise les actions manuelles et lancer une sauvegarde.
Ouvrir la console Windows Server Backup et valider l’état d’avancement de la sauvegarde.
Une fois la sauvegarde terminée, relancer une seconde fois la sauvegarde. L’espace disque évolue t’il ? Le fait de faire une seconde sauvegarde nous fait passer de 7,01 Go à 7,03 Go.
Lancer PowerShell et taper la commande suivante : addpssnapin windows.serverbackup. Cela ajoute les CMDLET Windows Server backup à PowerShell.
Taper ensuite la commande get-command -module windows.serverbackup pour afficher les commandes
Windows Server Backup.
Vérifier qu’il est possible de charger le pilote de la carte Fibre / DAS depuis le CD d’installation (en mode récupération).
(WS.10).aspx (WS.10).aspx
On ne peut pas restaurer un DC à une date antérieure à la période de Tombstone
Depuis Windows 2008, il est possible de faire une restauration complète d’un DC en démarrant depuis le DVD d’installation. Vérifier une fois que la restauration est effectuée que tout réplique bien et qu’il n’y a pas d’erreurs dans les logs. Faire un DCDIAG /V /E pour valider le bon fonctionnement de l’annuaire.
Pour faire une restauration autoritaire (restaurer un objet supprimé par exemple), il faut redémarrer en mode
« Restauration des services d’annuaire ». (WS.10).aspx
Mise en pratique :
Démarrer sur le CD d’installation et cliquer sur « Réparer l’ordinateur ». Restaurer avec la sauvegarde disque.
Restauration Windows Server Backup 2/2
Au redémarrage, appuyer sur F8.
Démarrer en mode « Restauration des services d’annuaire ».
Lancer Windows Server Backup et faire une restauration classique.
Lancer l’utilitaire NTDSUTIL pour marquer les objets qui sont à restaurer de manière autoritaire (cela incrémente le numéro USN de l’objet). Appliquer la procédure suivante : (WS.10).aspx
Attention aux problèmes d’appartenance des groupes. Préférer utiliser la corbeille Active Directory quand cela est possible.
Avant la corbeille Active Directory, il était déjà possible de récupérer les objets qui étaient en mode Tombstone. Lorsque un objet est supprimé, il passe en mode Tombstone pendant 60 jours ou 180 jours. Il est alors possible de le restaurer.
La forêt doit être en mode natif 2008 R2 pour activer cette fonctionnalité. La durée de vie pendant laquelle les objets peuvent être restaurés est contrôlés par le paramètre « msDS-deletedObjectLifetime ». Ne pas oublier de définir la valeur souhaitée.
Vérifier que la forêt est en mode natif 2008 R2 (en PowerShell)
Activer la corbeille Active Directory en tapant la commande suivante (remplacer le nom de domaine, ici par le nom de votre domaine) :
Enable-ADOptionalFeature -Identity 'Recycle Bin Feature' –Scope ForestOrConfigurationSet Target
Configurer la durée de vie de la corbeille.
Set-ADObject -Identity "CN=Directory Service,CN=Windows
NT,CN=Services,CN=Configuration,DC=formation10,DC=Lan" -Partition
"CN=Configuration,DC=formation10,DC=Lan" -Replace:@{"msDS-DeletedObjectLifeTime" = 365} Créer un compte utilisateur testsuppr1 et un groupe Testlab2. Ajouter l’utilisateur dans le groupe. Ouvrir une session avec ce compte et personnaliser la session.
Supprimer ce compte utilisateur. Lister les objets supprimés :
Get-ADObject -Filter 'isdeleted -eq $true -and name -ne "Deleted Objects"' -
IncludeDeletedObjects -Properties *
Get-ADObject -filter 'samaccountname -eq « guillaume.mathieu"' –IncludeDeletedObjects
Restaurer l’objet en tapant la commande suivante :
Get-ADObject -filter 'samaccountname -eq "dominique.mathieu"'
-IncludeDeletedObjects | Restore-ADObject
10. Notions avancées Active Directory :
135
Compléments d’informations sur les paramètres de sécurité Active Directory (quotas…) :
Réinitialiser le mot de passe administrateur du domaine depuis le mode Restauration des services d’annuaire :
?post/2008/02/27/Reset-du-mot-de-passe-Admin-dudomaine-sous-Windows-Server-2003
Visibilité du champ UserPassword : ?post/2009/11/23/l-attribut-UserPassword-en-clear-text
Configuration des paramètres KERBEROS :
Etape 1 : Faire une sauvegarde de l’Etat du Système avant toutes modifications. Avant d’effectuer la moindre modification, valider qu’il existe une sauvegarde de l’Etat du système pour chaque contrôleur de domaine (au moins un DC par domaine). Valider le bon fonctionnement de la sauvegarde en lançant la console « Windows Server Backup ».
Etape 2 : reproduction du problème :
Reproduire le problème : généralement quand on arrive à reproduire le problème, l’incident à 90% de chance d’être résolu.
Etape 3 : Vérification préliminaire :
Valider que les services suivants sont démarrés sur tous les DC :
Appel de procédure distante (RPC), Assistance NetBIOS sur TCP/IP, Centre de Distribution de
Clés Kerberos, Client DHCP (gère la mise à jour dynamique DNS, Explorateur d’ordinateurs (pour le voisinage réseau), Messagerie Inter-site Netlogon, Registre à distance, Réplication de fichiers (si niveau fonctionnelle domaine < 2008 natif), Réplication DFS (si niveau fonctionnelle domaine > 2003 R2), Serveur DNS, Services de domaine Active Directory, Services Web Active Directory
Désactiver temporairement UAC et le pare Windows.
Vérifier que les stations de travail peuvent communiquer avec les contrôleurs de domaine (ping).
Etape 4 : Analyse : Analyser les observateurs d’événements. Filtrer sur les erreurs et les avertissements uniquement dans un premier temps. Attention, de nombreuses erreurs risquent de remonter. Il faut trouver la cause du problème et ne pas se focaliser sur les conséquences.
Validation la configuration DNS (tous les DC ont le même serveur DNS principal).
Valider le bon fonctionnement de la réplication Active Directory (NTDS) et SYSVOL. Pour cela, lancer la console « Sites et Services Active Directory » et forcer la réplication. Copier un fichier dans c:\windows\sysvol\sysvol et valider que ce fichier apparaît dans sur tous les DC.
Lancer les outils de diagnostics DCDIAG, REPADMIN, MPSREPORT, REPLMON…
Etape 5 : recherche et validation solution :
Vous pouvez vous appuyer sur les sites communautaires (), les NEWGROUP et la base de connaissance Microsoft () . Pour plus d’informations, voir l’article « A la découverte de la communauté Microsoft » sur
Une fois la solution trouvée, il faut monter une maquette pour valider la solution.
Faire une sauvegarde avant toute application de la solution sur l’environnement de production.
Analyser le contenu des journaux Systèmes, Application, Key Management Service, Réplication DFS (pour SYSVOL et le DFS), Service DNS, Services d’annuaire, Services Web Active Directory.
Configurer les filtres pour n’afficher que les avertissements, les erreurs et les messages critiques.
Quelques erreurs à rechercher : USERENV, NTDS REPLICATION, NETLOGON, SAM, NTDS, DNS-SERVER-SERVICE, DFS-REPLICATION, SCECLI.
De nombreuses erreurs vont remonter. Chercher les causes pas les conséquences. Astuces : Aller sur et taper la source de l’événement et le code d’erreur après (exemple : NETLOGON 5722).
Pour les recherches dans la base de connaissance Microsoft (, toujours en anglais).
Pour afficher les événements de plusieurs journaux, passer par les vues !
NTDSUTIL :
➢ Réinitialisation du mot de passe compte restauration des services d’annuaire.
➢ Supprimer un contrôleur de domaine ou un domaine.
➢ Permet de défragmenter l’annuaire.
➢ Permet de faire une restauration autoritaire.
➢ Permet de forcer le transfert d’un rôle.
➢ Permet de créer des SNAPSHOT d’Active Directory (que l’on peut monter en lecture seule).
➢ Permet de créer des partitions d’application.
DCDIAG /V /E > c:\ :
➢ Faire une recherche sur le mot « Fail » ou « Echec » au niveau du fichier de sortie.
DCPROMO /FORCEREMOVAL :
➢ Permet de forcer la suppression d’un contrôleur de domaine. Ce dernier ne contacte pas les autres DC qui référencent donc toujours le DC. Il faut faire ensuite un NTDSUTIL METADATACLEANUP
DFSDIAG :
Permet de valider le bon fonctionnement de la réplication DFS-R (SYSVOL).
REPADMIN :
➢ Repadmin /KCC : permet de forcer l’ISTG / KCC a régénérer la topologie de réplication (liens connexions dans la console Sites et Services Active Directory).
➢ Repadmin /showrepl : permet de valider le bon fonctionnement de la réplication.
➢ Repadmin /options nom_serveur +Disable_Outbound_REPL
➢ Repadmin /options nom_serveur +Disable_Inbound_REPL
Attention, en Français il y
a un bug avec l’invite de
commande quand on redirige une commande vers un fichier de sortie. En fait le fichier est chiffré en UTF8. Il faut donc l’enregistrer dans le bon format.
Pré-requis :
Disposez de 2 DC qui répliquent et qui sont serveur de « Catalogue Global ».
Déterminer sur quel DC les rôles FSMO sont installés. Si les rôles sont répartis, les transférer sur un unique contrôleur de domaine.
Mise en pratique :
Sur le contrôleur de domaine qui dispose de tous les rôles FSMO, taper la commande :
DCPROMO /FORCEREMOVAL.
De nombreux messages apparaissent expliquant quels sont les conséquences de la suppression en mode forcée du contrôleur de domaine qui héberge les rôles FSMO / Catalogue global.
Saisir un nouveau mot de passe administrateur local (la base SAM va être recréée).
A ne faire que si la suppression du contrôleur de domaine échoue !
Toujours faire une sauvegarde de l’annuaire (sauvegarde complète avec Windows Server Backup).
Ouvrir un invite de commande et lancer l’utilitaire NTDSUTIL.
Utiliser l’utilitaire NTDSUTIL pour supprimer les références à l’ancien contrôleur de domaine. Attention une simple suppression du compte ordinateur en suffit pas! Pour cela appliquer l’article Microsoft suivant : -us
Ne pas se tromper au niveau de la partie « Select Operation target ». On sélectionne le DC que l’on veut supprimer.
Forcer le transfert des rôles FSMO (avec l’outil NTDSUTIL). Pour cela appliquer l’article Microsoft suivant :
Procédure à appliquer avec les DC 2012 et versions ultérieures :
Migration de ressources entre forêts / fusion de deux forêts en une seule : Utilisation de l’outil ADMT 3.1 / ADMT 3.2 (pas de prise en charge des annuaires gérés par des contrôleurs de domaine Windows 2000).
Utilisation de l’attribut SID History.
Les ressources sont copiés entre le domaine source et le domaine cible. Commencer par migrer tous les groupes, puis tous les comptes utilisateurs. Migrer ensuite les comptes ordinateurs par lots.
Attention lors de la suppression de l’ancien domaine, les anciens SID ne sont plus résolus. Il faut donc lancer l’assistant translation des SID sur tous les serveurs. Voir outil tiers pour les NAS NETAPP / EMC…
L’agent ADMT exécute un script qui va permettre de changer la machine de domaine et de translater les SID. Lancer l’outil avec un compte utilisateur du domaine source (compte membre du groupe administrateur du domaine source et BUILTIN\Administrateurs dans le domaine cible).
Fusion de deux domaines dans la même forêt :
Outils : Microsoft ADMT (gratuit) ou Quest Migration Manager (payant).
Les ressources sont déplacées avec ADMT. Il faut migrer les groupes (les passer en groupes universelles) puis migrer par les lots les comptes utilisateurs / comptes ordinateurs.
?familyid=6D710919-1BA5-41CAB2F3-C11BCB4857AF&displaylang=en
Mise à jour des contrôleurs de domaine :
Utilisation de l’outil ADPREP pour mettre à jour le schéma Active Directory. Migration par ajout et suppression de contrôleurs de domaine. (WS.10).aspx
11. Les services réseaux :
149
Permet d’affecter dynamiquement une adresse IP à des stations de travail.
Réservation IP : affectation d’une IP à une adresse MAC (utile pour les imprimantes ou les éléments dont l’IP ne doit pas changer).
Le service DHCP de Windows s’interface avec le service DNS. Le serveur DHCP peut mettre à jour les enregistrements DNS dynamiques à la place des stations de travail.
Il est nécessaire d’autoriser le serveur DHCP sur une machine membre / contrôleur d’un domaine (nécessite les droits administrateur de l’entreprise).
Activer la détection des conflits IP (au niveau des propriétés du serveur DNS). Cocher la case « Ignorer les enregistrements A et PTR lorsque le bail est supprimé ».
Pour les problèmes avec les mises à jour dynamiques DNS : voir
Quelques problèmes connus :
Croix rouge au niveau des baux DHCP :
Erreurs DCHP 1010 / 1014 :
Doublons dans les zones DNS :
Déconnecter la salle du cours du réseau d’entreprise ou faire sur des machines virtuelles dans un réseau isolé.
Faire ce TP par groupe de 2.
Installer le service DHCP (ajout du rôle depuis le Gestionnaire de Server). Créer une étendue DHCP avec deux adresses (voir formateur) et la configurer pour affecter une adresse de serveurs DNS / Wins / passerelle). Tester le fonctionnement de l’étendue. Que se passe t’il ?
Tester les commandes ipconfig /release et ipconfig /renew et ipconfig /all Arrêter tous les serveurs DHCP. Faire un ipconfig /release et un ipconfig /renew. Que se passe t’il ?
Créer une réservation IP.
Wins : Windows Internet Naming Service
Utiliser aujourd’hui encore pour accélérer l’affichage du voisinage réseau.
Mise en pratique :
Avec le bloc Note, ouvrir le fichier C:\WINDOWS\system32\drivers\etc\ . A quoi sert ce fichier ?
Installer le service WINS (Ajout de fonctionnalités dans le Gestionnaire de Server).
Configurer le serveur pour s’enregistrer dans la base WINS (paramètres TCP / IP, paramètres avancées).
Créer un enregistrement www avec comme IP 192.168.0.1. Faire un ping de www puis un nbstat -n puis nbtstat -R. Qu’est ce qu’est le cache Wins.
Configurer votre serveur WINS pour être partenaire de réplication avec un autre serveur WINS.
Renommer le fichier en LMHOST et configurer Windows pour utiliser ce fichier. Créer une entrée dans ce fichier et conclure.
Présenter le fonctionnement du voisinage réseau et exécuter la commande
« Browstat status ». Qu’est ce qu’un master browser ?
Lire article
11. Sécuriser son annuaire Active Directory :
153
➢ 280 jours : délais pour détecter une attaque
➢ 63 jours : délais pour s’en remettre
➢ 20 minutes (Petya) : 2000 machines, 100 serveurs, sauvegarde HS
➢ 81 % : les entreprises françaises ciblées par une attaque informatique en 2015.
➢ 35 % : source de l’incident de sécurité, l’équipe IT
➢ 800 000 euros : prix (moyenne) pour s’en remettre
La méthodologie pour sécuriser son AD
Avec Ping Castle, c’est gratuit et automatique !
Outils pour faire des tests d’intrusion Active Directory
Principaux outils de tests d’intrusion :
Cain, DSInternal, Metasploit, Mimikatz, PowerSploit, PSEXEC
Méthodologie d’attaques :
Elévation de privilèges, mouvement latéral, social engineering, altération des fichiers du système.
Scénario d’attaque :
Je deviens administrateur local de la machine (via une faille de sécurité, en copiant / renommant par en console de récupération).
Une fois SYSTEM, je me connecte à la mémoire du processus de la machine pour des Hash de mots de passe de compte à fort privilège.
Je me connecte via ses comptes à fort privilèges à d’autres machines.
Je fouille la mémoire du processus d’autres machines jusqu’à devenir Domain Admins / Enterprise Admins.
Je me crée un Golden Ticket pour disposer d’une porte dérobée pour rentrer sur l’annuaire AD quand je le souhaite.
Visionner les vidéos suivantes :
Msreport - durcissement de la sécurité Active Directory - vue d'ensemble
Msreport - les élévations de privilèges Active Directory et comment les détecter Lire le guide “Tester la sécurité de son annuaire Active Directory”.