Préface
Gimp est un logiciel de retouche d’images que ... l’on ne présente plus tellement il est connu. Cet acronyme signifie GNU Image Manipulation Program. Logiciel Open Source de retouche d’images et d’animation pour le Web, ces fonctionnalités développées peuvent être augmentées par des plug-ins ou greffons et des scripts, ce qui en fait un logiciel très puissant.
De plus, ce que l’on pourrait appeler la planète Gimp avec , un ensemble de pilotes pour l’impression , (autrefois Film Gimp ou le Hollywood Gimp), ou (GEneric Graphical Library) le rend d’autant plus attrayant.
Ce logiciel fonctionne sous tous les systèmes d’exploitation et se trouve être à la portée de tous financièrement parlant.
Ainsi, quiconque possède un appareil photo numérique (et vous êtes nombreux !) ou se doit de retoucher des images ou encore d’en créer (pour un site web par exemple), trouvera dans ce logiciel toutes les fonctionnalités nécessaires.
Cet ouvrage est entièrement dédié à GIMP. Il vise à apprendre par la pratique. Le point de vue choisi est, en effet, de conduire progressivement à la maîtrise de Gimp au travers d’exemples s’apparentant à des recettes ou des techniques.
La majorité des outils est ainsi abordée et leurs différentes fonctionnalités passées en revue. Les notions essentielles de calques, canaux, courbes ou transparence sont présentées au fur et à mesure des sections.
Il est conseillé de savoir se servir de l’outil informatique a minima : les opérations les plus simples comme ouvrir un fichier ou savoir ce qu’est un fichier jpg ne sont pas données. De même, quelques connaissances du jargon photographique seront les bienvenues.
Les images utilisées proviennent le plus souvent, soit de la Bibliothèque du Congrès américain – la source est alors indiquée –, soit elles sont de la composition de l’auteur. En toute logique, les résultats des étapes décrites produiront le même résultat sur vos photos.
Préface
Les notions sont abordées progressivement. Les renvois sont à lire : ils détaillent souvent un point important !
Le Chapitre 1 est consacré à l’interface de Gimp. Il ne concerne pas l’installation qui ne nous a pas paru présenter de difficultés. Certaines astuces sont utiles, comme l’importation des images de son appareil photo directement dans Gimp. Pour les plus débutants, ce chapitre fournit des points de repère en décrivant largement la toute nouvelle interface de Gimp.
Le Chapitre 2 aborde des modifications simples des images. Elles concernent la taille, le recadrage, les bordures, l’orientation, les perspectives et les améliorations basiques, ainsi que la netteté des images. Ce chapitre explique également ce que sont les calques, base de tout travail avancé.
Le Chapitre 3 est axé sur le texte. Comment sont gérées les polices, comment ajouter du texte, remplacer des mots, faire des effets sur le texte ou encore créer un logo ? Outre la réponse à ces questions, ce chapitre explique les canaux.
Le Chapitre 4 se concentre sur la retouche. Les calques, canaux et les quelques outils de sélection ayant été passés en revue, nous faisons place à un peu plus de divertissement en enlevant des fils électriques, en changeant les couleurs et la tonalité des images, etc.
Le Chapitre 5 est l’occasion d’effectuer quelques montages. Panoramiques, hors cadre, suppression de parties de l’image, etc., sont au programme.
Le Chapitre 6 est dédié à la couleur et à l’exposition. Les niveaux sont abordés en détail, de même que la balance des couleurs et les canaux. Nous changeons ainsi les couleurs d’une photographie, améliorons ces couleurs, créons des dégradés et des motifs.
Le Chapitre 7 est entièrement consacré aux effets : la profondeur de champ, la simulation de la vitesse et des reflets, en passant par la création de diaporama et de gif animé. Ce chapitre ne vise pas à être un catalogue exhaustif des effets possibles dans Gimp ! Mais en abordant chaque astuce, nous vous donnons des pistes pour les appliquer à d’autres circonstances. Nous avons retenu ces effets, non pas pour leur aspect impressionnant, mais pour leur champ d’application à de nombreuses images et parce qu’ils permettent d’en produire d’autres.
Préface
L’Annexe consacre quelques pages aux greffons et scripts en présentant les multiples possibilités en la matière. Ce sujet mériterait un livre à lui tout seul. Nous verrons simplement comment automatiser certaines tâches et quelques scripts déjà présents dans Gimp. Cette annexe explicite plus largement les différentes options des outils, ainsi que les modes, pour finir par les formats de fichiers de sauvegarde.
Enfin, un Résumé des recettes retrace les différents sujets abordés.
Les menus sont signalés par cette typographie. Les URL sont cliquables.
Certains textes attirent votre attention sur des points particuliers. Ils sont encadrés de bleu.
D’autres concernent des messages qui devraient vous mettre en garde. Cette fois, le cadre est rouge.
Nos remerciements vont :
3 à mon éditeur pour sa patience ;
3 à celles et ceux qui m’ont patiemment relue, notamment Christiane Buraud, relectrice infatigable ;
3 à mes lecteurs ;
3 à l’équipe de Gimp.
Cet ouvrage a été écrit pour différentes versions de Gimp. Vous y trouverez du Mac, du Windows, etc. Il s’applique à toutes ces plateformes et souvent aux versions 2.8 comme 2.6.
Vous pouvez joindre l’auteur pour lui faire part de vos remarques à [email protected] .
La boîte à outils
9 : pipette à couleurs
10 : zoom
11 : outil de mesure
12 : outil de déplacement
13 : alignement
14 : découpage
15 : rotation
16 : mise à l’échelle
17 : cisaillement
18 : perspective
19 : retournement
20 : transformation par cage (Gimp 2.8.)
Les outils de texte et de peinture :
21 : texte
22 : remplissage
23 : dégradé
24 : crayon
25 : pinceau
26 : gomme
27 : aérographe
28 : calligraphie
29 : clonage
30 : correcteur
31 : clonage en perspective
32 : flou et netteté
33 : barbouillage
34 : éclaircissement et assombrissement
Les réglages des préférences :
35 : les couleurs de premier et arrière-plan, espace couramment nommé aire des couleurs. Si vous modifiez ces couleurs (noir et blanc par défaut), un simple clic dans la mini icône à gauche rétablit les couleurs par défaut.
Garder tout à portée de main
36 : les trois icônes qui suivent représentent la brosse, le motif et le dégradé actifs. Vous accédez aux options de ces outils d’un simple clic sur l’icône.
37 : la dernière icône concerne l’image active : l’icône est remplacée par une miniature de l’image active (sur laquelle vous travaillez).
Chaque outil sera détaillé au fur et à mesure du livre. Grâce à l’index, vous retrouverez les sections concernées.
Au lancement de Gimp, vous aimeriez que les boîtes de dialogue que vous utilisez le plus régulièrement restent constamment dans votre espace de travail. Il est possible de rattacher les boîtes de dialogue à la fenêtre de la boîte à outils principale, que vous soyez en mode fenêtre unique ou non.
Dans un premier temps, vous allez attacher la boîte de dialogue des Calques à la boîte d’outils principale. Je choisis celle-ci car je m’en sers très souvent. Après quelques semaines d’utilisation de Gimp, vous pourrez déterminer quelles boîtes de dialogue vous sont les plus utiles.
La partie basse de la boîte d’outils principale affiche le message You can drop dockable dialogs here (voir figure 1.5).
Figure 1.5. Rattacher des onglets
C’est dans cette partie que l’on va rattacher celle des calques. Déroulez le menu Fenêtres > Fenêtres ancrables > Calques. La fenêtre des calques va s’ancrer directement en haut et à droite. Vous pouvez la conserver ici ou la faire glisser dans
la partie de la boîte à outils.
Garder tout à portée de main
Nous pouvons ajouter ainsi toutes les boîtes à outils. Pour l’exemple, ajoutons celle des polices. On peut la placer de trois manières :
3 au-dessus des Calques ;
3 sous les Calques ;
3 en tant qu’onglet des Calques.
Pour la mettre au-dessus, faites-la glisser de la même façon que pour les Calques, mais en prenant garde de bien l’ancrer à la fenêtre principale. L’apparition d’un cadre permet de vérifier qu’on l’ancre bien sous la fenêtre des Calques.
Pour la placer dessous, la démarche est la même, et là encore, il faut faire attention à l’ancrer au bas de la fenêtre. Le cadre, qui cette fois se situe en bas de la fenêtre de dialogue des Calques, sert de repère.
Figure 1.6. Une série de boîte de dialogue ancrées
La troisième possibilité est d’inclure la boîte en tant qu’onglet. Placez-vous dans la boîte des Calques. Le triangle en haut de la boîte (entouré d’un cercle orangé à la figure 1.6) contient un menu déroulant qui propose notamment d’ajouter un onglet. Ce menu est illustré à la figure 1.7.
Notez que ce menu permet de personnaliser l’affichage des onglets (en texte, icône, liste, etc., via le sous-menu Style d’onglet. Le premier choix de ce menu concerne les options propres à la boîte de dialogue.
Si au fur et à mesure de vos activités, vous réalisez que l’une des boîtes ou des onglets ne vous est plus utile, pour la détacher sélectionnez le menu Fermer
l’onglet.
Préface
Gimp est un logiciel de retouche d’images que ... l’on ne présente plus tellement il est connu. Cet acronyme signifie GNU Image Manipulation Program. Logiciel Open Source de retouche d’images et d’animation pour le Web, ces fonctionnalités développées peuvent être augmentées par des plug-ins ou greffons et des scripts, ce qui en fait un logiciel très puissant.
De plus, ce que l’on pourrait appeler la planète Gimp avec , un ensemble de pilotes pour l’impression , (autrefois Film Gimp ou le Hollywood Gimp), ou (GEneric Graphical Library) le rend d’autant plus attrayant.
Ce logiciel fonctionne sous tous les systèmes d’exploitation et se trouve être à la portée de tous financièrement parlant.
Ainsi, quiconque possède un appareil photo numérique (et vous êtes nombreux !) ou se doit de retoucher des images ou encore d’en créer (pour un site web par exemple), trouvera dans ce logiciel toutes les fonctionnalités nécessaires.
Cet ouvrage est entièrement dédié à GIMP. Il vise à apprendre par la pratique. Le point de vue choisi est, en effet, de conduire progressivement à la maîtrise de Gimp au travers d’exemples s’apparentant à des recettes ou des techniques.
La majorité des outils est ainsi abordée et leurs différentes fonctionnalités passées en revue. Les notions essentielles de calques, canaux, courbes ou transparence sont présentées au fur et à mesure des sections.
Il est conseillé de savoir se servir de l’outil informatique a minima : les opérations les plus simples comme ouvrir un fichier ou savoir ce qu’est un fichier jpg ne sont pas données. De même, quelques connaissances du jargon photographique seront les bienvenues.
Les images utilisées proviennent le plus souvent, soit de la Bibliothèque du Congrès américain – la source est alors indiquée –, soit elles sont de la composition de l’auteur. En toute logique, les résultats des étapes décrites produiront le même résultat sur vos photos.
Préface
Les notions sont abordées progressivement. Les renvois sont à lire : ils détaillent souvent un point important !
Le Chapitre 1 est consacré à l’interface de Gimp. Il ne concerne pas l’installation qui ne nous a pas paru présenter de difficultés. Certaines astuces sont utiles, comme l’importation des images de son appareil photo directement dans Gimp. Pour les plus débutants, ce chapitre fournit des points de repère en décrivant largement la toute nouvelle interface de Gimp.
Le Chapitre 2 aborde des modifications simples des images. Elles concernent la taille, le recadrage, les bordures, l’orientation, les perspectives et les améliorations basiques, ainsi que la netteté des images. Ce chapitre explique également ce que sont les calques, base de tout travail avancé.
Le Chapitre 3 est axé sur le texte. Comment sont gérées les polices, comment ajouter du texte, remplacer des mots, faire des effets sur le texte ou encore créer un logo ? Outre la réponse à ces questions, ce chapitre explique les canaux.
Le Chapitre 4 se concentre sur la retouche. Les calques, canaux et les quelques outils de sélection ayant été passés en revue, nous faisons place à un peu plus de divertissement en enlevant des fils électriques, en changeant les couleurs et la tonalité des images, etc.
Le Chapitre 5 est l’occasion d’effectuer quelques montages. Panoramiques, hors cadre, suppression de parties de l’image, etc., sont au programme.
Le Chapitre 6 est dédié à la couleur et à l’exposition. Les niveaux sont abordés en détail, de même que la balance des couleurs et les canaux. Nous changeons ainsi les couleurs d’une photographie, améliorons ces couleurs, créons des dégradés et des motifs.
Le Chapitre 7 est entièrement consacré aux effets : la profondeur de champ, la simulation de la vitesse et des reflets, en passant par la création de diaporama et de gif animé. Ce chapitre ne vise pas à être un catalogue exhaustif des effets possibles dans Gimp ! Mais en abordant chaque astuce, nous vous donnons des pistes pour les appliquer à d’autres circonstances. Nous avons retenu ces effets, non pas pour leur aspect impressionnant, mais pour leur champ d’application à de nombreuses images et parce qu’ils permettent d’en produire d’autres.
Préface
L’Annexe consacre quelques pages aux greffons et scripts en présentant les multiples possibilités en la matière. Ce sujet mériterait un livre à lui tout seul. Nous verrons simplement comment automatiser certaines tâches et quelques scripts déjà présents dans Gimp. Cette annexe explicite plus largement les différentes options des outils, ainsi que les modes, pour finir par les formats de fichiers de sauvegarde.
Enfin, un Résumé des recettes retrace les différents sujets abordés.
Les menus sont signalés par cette typographie. Les URL sont cliquables.
Certains textes attirent votre attention sur des points particuliers. Ils sont encadrés de bleu.
D’autres concernent des messages qui devraient vous mettre en garde. Cette fois, le cadre est rouge.
Nos remerciements vont :
3 à mon éditeur pour sa patience ;
3 à celles et ceux qui m’ont patiemment relue, notamment Christiane Buraud, relectrice infatigable ;
3 à mes lecteurs ;
3 à l’équipe de Gimp.
Cet ouvrage a été écrit pour différentes versions de Gimp. Vous y trouverez du Mac, du Windows, etc. Il s’applique à toutes ces plateformes et souvent aux versions 2.8 comme 2.6.
Vous pouvez joindre l’auteur pour lui faire part de vos remarques à [email protected] .
La boîte à outils
9 : pipette à couleurs
10 : zoom
11 : outil de mesure
12 : outil de déplacement
13 : alignement
14 : découpage
15 : rotation
16 : mise à l’échelle
17 : cisaillement
18 : perspective
19 : retournement
20 : transformation par cage (Gimp 2.8.)
Les outils de texte et de peinture :
21 : texte
22 : remplissage
23 : dégradé
24 : crayon
25 : pinceau
26 : gomme
27 : aérographe
28 : calligraphie
29 : clonage
30 : correcteur
31 : clonage en perspective
32 : flou et netteté
33 : barbouillage
Les réglages des préférences :
35 : les couleurs de premier et arrière-plan, espace couramment nommé aire des couleurs. Si vous modifiez ces couleurs (noir et blanc par défaut), un simple clic dans la mini icône à gauche rétablit les couleurs par défaut.
Garder tout à portée de main
36 : les trois icônes qui suivent représentent la brosse, le motif et le dégradé actifs. Vous accédez aux options de ces outils d’un simple clic sur l’icône.
37 : la dernière icône concerne l’image active : l’icône est remplacée par une miniature de l’image active (sur laquelle vous travaillez).
Chaque outil sera détaillé au fur et à mesure du livre. Grâce à l’index, vous retrouverez les sections concernées.
Au lancement de Gimp, vous aimeriez que les boîtes de dialogue que vous utilisez le plus régulièrement restent constamment dans votre espace de travail. Il est possible de rattacher les boîtes de dialogue à la fenêtre de la boîte à outils principale, que vous soyez en mode fenêtre unique ou non.
Dans un premier temps, vous allez attacher la boîte de dialogue des Calques à la boîte d’outils principale. Je choisis celle-ci car je m’en sers très souvent. Après quelques semaines d’utilisation de Gimp, vous pourrez déterminer quelles boîtes de dialogue vous sont les plus utiles.
La partie basse de la boîte d’outils principale affiche le message You can drop dockable dialogs here (voir figure 1.5).
Figure 1.5. Rattacher des onglets
C’est dans cette partie que l’on va rattacher celle des calques. Déroulez le menu Fenêtres > Fenêtres ancrables > Calques. La fenêtre des calques va s’ancrer directement en haut et à droite. Vous pouvez la conserver ici ou la faire glisser dans
la partie de la boîte à outils.
Garder tout à portée de main
3 au-dessus des Calques ;
3 sous les Calques ;
3 en tant qu’onglet des Calques.
Pour la mettre au-dessus, faites-la glisser de la même façon que pour les Calques, mais en prenant garde de bien l’ancrer à la fenêtre principale. L’apparition d’un cadre permet de vérifier qu’on l’ancre bien sous la fenêtre des Calques.
Pour la placer dessous, la démarche est la même, et là encore, il faut faire attention à l’ancrer au bas de la fenêtre. Le cadre, qui cette fois se situe en bas de la fenêtre de dialogue des Calques, sert de repère.
Figure 1.6. Une série de boîte de dialogue ancrées
La troisième possibilité est d’inclure la boîte en tant qu’onglet. Placez-vous dans la boîte des Calques. Le triangle en haut de la boîte (entouré d’un cercle orangé à la figure 1.6) contient un menu déroulant qui propose notamment d’ajouter un onglet. Ce menu est illustré à la figure 1.7.
Notez que ce menu permet de personnaliser l’affichage des onglets (en texte, icône, liste, etc., via le sous-menu Style d’onglet. Le premier choix de ce menu concerne les options propres à la boîte de dialogue.
Si au fur et à mesure de vos activités, vous réalisez que l’une des boîtes ou des onglets ne vous est plus utile, pour la détacher sélectionnez le menu Fermer
l’onglet.