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Chapitre 1 Principes généraux de l’électrocinétique
Objectifs
Définitions et principes fondamentaux
D’une manière générale, tout circuit électrique peut se représenter sous la forme d’un générateur d’énergie alimentant un récepteur chargé de transformer l’énergie électrique reçue en une autre forme exploitable, les deux dispositifs étant reliés par des conducteurs. Tout circuit électrique est le siège d’un transfert de charges entre ces deux éléments (figure 1.1). Il est couramment admis de représenter ce transfert par un flux d’électrons que l’on modélise par un courant électrique traversant les conducteurs.
Figure 1.1
Ce courant électrique (exprimé en ampères) représente la quantité de charges q (en coulombs) traversant une section donnée du conducteur par unité de temps. Les élec- trons possédant une charge négative, la logique veut que le courant i soit représenté en sens contraire du flux d’électrons. Dans un circuit composé d’une seule boucle, le même courant circule à chaque instant dans tout le circuit.
Générateurs et récepteurs simples possèdent en général deux bornes. Ce sont des dipôles électriques. Les dipôles générateurs sont dits actifs, ceux qui ne font que consommer de l’énergie sont des dipôles passifs.
Le générateur de tension parfait
Le dipôle actif le plus simple est le générateur de tension continue parfait qui délivre une tension E constante (en volts) et l’impose au dipôle récepteur qui présente donc à ses bornes la même tension E. Le courant qui apparaît alors dans le circuit dépend de E et de la nature du récepteur. Cette tension E est la différence de potentiel VA - VB. La flèche symbolisant cette différence de potentiel est dirigée vers le potentiel le plus élevé.
Comme les électrons sont attirés par le point A, correspondant au potentiel le plus élevé, le courant sera naturellement orienté, au sortir du générateur, par une flèche dirigée dans l’autre sens.
Pour un circuit alimenté par un générateur de tension, on considère en général que sa borne B constitue la référence de tension pour l’ensemble du circuit et se trouve donc au potentiel 0 V (on dit aussi à la masse). Sa borne A se trouve donc au potentiel VA = E .
On assimile donc toute différence de potentiel entre un point X quelconque et cette référence, au potentiel du point X.
Conventions
Dans un circuit simple composé d’un générateur de tension et d’un dipôle récepteur, compte tenu du fait que la même tension règne aux bornes des deux éléments, et que le même courant circule dans tout le circuit, on note que du côté du générateur, courant et tension sont représentés par des flèches dirigées dans le même sens, alors que du côté du récepteur, elles sont dirigées en sens contraires (figure 1.3). Par convention, nous dirigerons systéma- tiquement les flèches des courants et des tensions dans le même sens pour le générateur (convention générateur), et en sens contraires pour tout récepteur (convention récepteur).
En règle générale, les circuits simples ne comportent qu’un seul générateur. Toutefois, certains peuvent en contenir plusieurs. Dans ce cas, si un générateur est considéré comme appartenant à la partie réceptrice du circuit, c’est la convention récepteur que nous utiliserons.
Figure 1.3
Le respect des conventions de signes est absolument essentiel dans la résolution d’un problème d’électricité en général et d’électronique en particulier. La plupart des erreurs proviennent du non respect de ces règles élémentaires.
On retiendra notamment qu’en général, on n’utilise la convention générateur que pour le générateur principal du circuit.
Fiche 1
Le générateur de courant continu parfait
Outre le générateur de tension parfait, un circuit peut être alimenté par un générateur de courant parfait (figure 2.1).
Ce dernier impose un courant I au dipôle récepteur. La tension qui apparaît alors aux bornes du dipôle récepteur dépend de I et de la nature du récepteur.
Les générateurs de courant sont en général des dispositifs complexes utilisés dans des cas bien particuliers.
Le générateur de tension réel
Dans la réalité, un générateur de tension n’est jamais parfait. La tension qu’il délivre diminue plus ou moins selon l’intensité du courant qu’on lui soutire. Ce phénomène est dû à la superposition de diverses chutes de potentiel internes qui ne peuvent plus être négligées lorsque le générateur est parcouru par un courant intense.
On considère alors qu’un modèle plus proche de la réalité consiste à associer une résis- tance en série avec un générateur de tension parfait, ou une résistance en parallèle avec un générateur de courant parfait. Ces résistances sont appelées résistances internes des générateurs (figure 2.2).
Si I est le courant qui circule dans le circuit, on a : VA - VB = E - rI .
courant I
générateur de tension réel
Le générateur de courant réel
De la même manière, un générateur de courant réel sera modélisé par la mise en parallèle d’un générateur de courant parfait et d’une résistance dite interne (figure 2.3).
Dans ce cas, le courant qui alimente le récepteur est plus faible que le courant délivré par le générateur parfait et dépend de la tension qui s’installe aux bornes du récepteur.
courant ≠ I
générateur récepteur de courant réel
Figure 2.3
Les autres générateurs
Outre les générateurs continus qui délivrent des tensions ou des courants constants, il est très fréquent d’utiliser des générateurs de signaux variables dans le temps et de formes variées (signaux sinusoïdaux, par exemple, ou autres signaux périodiques, etc.). D’une manière générale, on réserve les lettres majuscules pour nommer les grandeurs continues (VA, E, I0) et les lettres minuscules pour les grandeurs variables ( v, e1, in).
Dans tous les cas, lorsqu’il s’agit du générateur principal du circuit, on utilisera la convention générateur pour repérer le sens de la tension à ses bornes et celui du courant qu’il délivre (flèches dirigées dans le même sens).
Les lois de fonctionnement élémentaires
Trois dipôles passifs sont couramment utilisés dans les circuits électroniques. Ils ont la particularité de posséder un fonctionnement qui s’exprime sous la forme d’une équation différentielle simple, linéaire, à coefficients constants. L’équation de fonctionnement d’un dipôle lie la tension à ses bornes et le courant qui le traverse. En supposant que, dans le cas le plus général, ces deux grandeurs sont variables dans le temps, les lois de fonction- nement des trois dipôles passifs usuels sont présentées sur la figure 3.1.
résistance bobine condensateur
u(t) R
u(t)
u(t)
u(t )= Ri(t)
R : résistance en ohms (Ω)
u(t )= L d i
d t
L : inductance propre en henrys (H)
Figure 3.1
u(t)= i 1 i(t)dt C
C : capacité en farads (F)
Associations de dipôles
Deux dipôles quelconques sont dits associés en série si une des bornes de l’un est reliée à une des bornes de l’autre, l’ensemble formant un nouveau dipôle. Ils sont dits associés en parallèle si les paires de bornes sont connectées deux à deux (figure 3.2).
Dans le cas de l’association en série, les deux dipôles sont parcourus par le même courant. La tension totale aux bornes de l’ensemble est égale à la somme des deux diffé- rences de potentiel aux bornes de chacun des deux dipôles.
Dans le cas de l’association en parallèle, la même différence de potentiel règne aux bornes de chacun des deux dipôles.
En tenant compte de ces constats, on peut en déduire les règles d’association des diffé- rents dipôles.
Figure 3.2
association en parallèle
En associant des résistances, on forme un dipôle qui se comporte comme une résis- tance, dont la valeur est appelée résistance équivalente, que l’on note en général Req. Lorsque l’on associe des condensateurs, on forme un condensateur équivalent de capacité Ceq.
Lorsque deux résistances R1 et R2 sont associées en série, on a Req = R1 + R2.
R1R2 .
R1 + R2
Lorsque deux condensateurs C1 et C2 sont associées en série, on a C
Lorsqu’ils sont associés en parallèle, on a Ceq = C1 + C2.
Attention
On remarquera que les règles d’associations des résistances et celles d’associations des condensateurs se trouvent inversées.
Les règles qui régissent l’association de bobines sont les mêmes que celles qui concernent les résistances : les inductances s’additionnent lorsque les bobines sont placées en série. Leurs inverses s’ajoutent lorsqu’elles sont placées en parallèle.
L’ensemble des résultats présentés ici se généralisent sans problème à l’association série ou parallèle de n éléments différents.
Il est possible de simplifier les circuits électriques en calculant les valeurs équivalentes d’une combinaison plus ou moins complexe de dipôles. On procède alors de proche en proche en recherchant les associations les plus simples et en réduisant ainsi pas à pas le circuit initial.
Selon la forme de la tension (ou du courant) délivrée par le générateur qui alimente un circuit, on dit que ce circuit fonctionne selon un certain régime.
Le régime continu
Lorsqu’un circuit est alimenté par un générateur qui délivre une tension constante, on dit qu’il fonctionne en régime continu. Les régimes continus font partie des régimes dits permanents ou établis. Dans un circuit fonctionnant en régime continu, toutes les tensions et tous les courants dans le circuit sont en général continus.
En régime continu, un élément inductif (une bobine) n’a aucun effet. Son équation de fonctionnement montre que, parcourue par un courant constant quelconque, une bobine présente toujours une différence de potentiel nulle à ses bornes :
u(t) = L didt
fi u(t) = 0 si i = Cte.
Un condensateur, en régime continu, n’est parcouru par aucun courant :
u(t) = Ú i(t) dt fi i(t) = 0 si u(t) = Cte.
Remarque
Si aucun courant ne peut traverser un condensateur en régime continu, tout condensateur qui se voit imposer une tension U présente bel et bien une charge emmagasinée Q telle que Q = CU. Un condensateur parfait possède en outre la propriété de conserver cette charge emmagasinée, une fois l’alimentation U coupée. Ceci, bien évidemment, à condition qu’il soit isolé, c’est-à-dire que ses deux bornes ne soient reliées à aucun autre circuit.
Le régime sinusoïdal
Lorsqu’un circuit est alimenté par un générateur qui délivre une tension sinusoïdale e(t) = E0 coswt, le régime sera dit sinusoïdal ou harmonique.
Les régimes sinusoïdaux font également partie des régimes dits permanents ou établis. Dans un circuit fonctionnant en régime sinusoïdal, tensions et courants sont tous sinusoï- daux, de même pulsation w que la source de tension, mais présentant apriori des déphasages.
Le régime transitoire
Les régimes transitoires correspondent en général au passage d’un régime permanent à un autre régime permanent. Ces changements de régime sont la plupart du temps dus à l’ouverture ou à la fermeture d’un interrupteur dans le circuit ou encore à la présence de composants agissant comme des interrupteurs.
Dans le circuit représenté sur la figure 4.1.a, le dipôle AB est alimenté par un généra- teur parfait de tension constante E par l’intermédiaire d’un interrupteur K. Lorsqu’on ferme l’interrupteur, tout se passe comme si on passait brusquement d’un régime perma- nent e(t) = 0 à un autre régime permanent e(t) = E . Le dipôle est en quelque sorte alimenté par la tension e(t) (figure 4.1.b).
Il suffit de considérer que l’instant t = 0 correspond à l’instant de fermeture de l’in- terrupteur. Comme un interrupteur n’est pas un élément linéaire, on préfère utiliser le modèle représenté sur la figure 4.1.b, dans lequel le circuit est linéaire (schéma sans interrupteur), mais dans lequel la forme de la tension d’alimentation n’est pas constante mais se présente sous la forme d’un échelon (figure 4.1.c).
Important
Les régimes transitoires peuvent intervenir aussi bien à l’ouverture qu’à la fermeture d’interrupteurs, ou encore au basculement de commutateurs. D’une manière générale, le régime transitoire conduit toujours le système vers un régime permanent.
Les problèmes à résoudre sont en général toujours les mêmes : il s’agit de déterminer tensions et courants dans le circuit. Comme celui-ci n’est pas alimenté par une tension constante ou sinusoïdale, tous les courants et toutes les tensions dans le circuit seront a priori variables.
La résolution des problèmes d’électricité en régime transitoire se traduit en général par des équations différentielles. Les plus simples, comme par exemple les équations diffé- rentielles linéaires à coefficients constants d’ordre peu élevé se résolvent directement avec une relative facilité. Pour les autres, des outils plus performants seront nécessaires comme la transformée de Laplace, voire des méthodes numériques.
Définitions
r Réseau électrique : toute association simple ou complexe de dipôles interconnectés, alimentée par un générateur.
r Branche : partie dipolaire d’un réseau parcourue par un même courant.
r Nœud d’un réseau : tout point du réseau commun à plus de deux branches.
r Maille d’un réseau : tout chemin constituant une boucle et formé de plusieurs branches.
Sur le circuit de la figure 5.1, l’association de R1, R2, R3, R4 et R5 formant le dipôle AC constitue un réseau électrique alimenté par le générateur de tension E. A, B, C et D sont les nœuds de ce réseau. Le schéma montre trois mailles. Il en existe d’autres, par exemple, en partant du point A, on peut définir une maille qui comprend R2, R3 et R5, qui passe par D, puis C et qui rejoint A en incluant R1.
…
La loi des nœuds
La somme des courants se dirigeant vers un nœud est égale à la somme des courants qui sortent de ce nœud.
Ou encore : la somme algébrique des courants dirigés vers un nœud d’un circuit est nulle (en comptant positivement les courants dirigés vers le nœud et en comptant néga- tivement ceux qui en sortent).
Cette loi exprime le fait qu’il ne peut pas y avoir accumulation de charges en un point quelconque d’un conducteur du réseau. Dans l’exemple de la figure 5.1, on pourra écrire entre autres équations : I0 = I1 + I2 et I2 = I3 + I4.
La loi des mailles
La somme algébrique des différences de potentiel le long d’une maille, obtenue en parcourant la maille dans un sens donné, est nulle. Les différences de potentiel orientées dans le même sens que le sens de parcours de la maille sont comptées positivement. Les différences de potentiel orientées dans le sens opposé au sens de parcours de la maille sont comptées négativement.
Ainsi, dans l’exemple de la figure 5.1 :
Maille 1 : E - E1 = 0
Maille 2 : E1 - E2 - E4 = 0
Maille 3 : E4 - E3 - E5 = 0
Les lois de Kirchhoff sont présentées ici en régime continu (lettres majuscules pour les tensions et les courants). En réalité, elles restent valables quel que soit le régime.
…
D’un point de vue pratique, cela signifie que dans un circuit complexe, on peut définir arbitrairement un contour fermé et appliquer la loi des nœuds aux bornes de ce contour.
Remarque
Il est assez rare d’utiliser les lois de Kirchhoff pour résoudre entièrement un problème d’électricité. En effet, elles génèrent beaucoup d’équations et beaucoup d’inconnues et on leur préfère des théorèmes plus puissants.
Le théorème de Millman permet d’exprimer le potentiel en un nœud quelconque d’un réseau en fonction des potentiels aux nœuds voisins. Il est une conséquence de la loi des nœuds et peut donc être utilisé à sa place. L’avantage réside dans le fait qu’on exprime des relations sans courant, uniquement à l’aide de tensions. En utilisant à la fois le théorème de Millman et la loi des mailles, on dispose de deux outils qui permettent de résoudre pratiquement n’importe quel problème d’électrocinétique.
Considérons un nœud quelconque d’un circuit (figure 6.1). Ce nœud est relié à n points du circuit par l’intermédiaire de n branches possédant chacune une résistance Ri. Soient Vi les tensions aux n points voisins du nœud X.
Le potentiel VX s’exprime en fonction des potentiels aux nœuds voisins de la manière suivante :
…
R1 R2
Rn i =1 Ri
On peut définir également la conductance d’un dipôle résistif par l’inverse de sa résis- tance. Soit :
1 unité : siemens (S).
Ri
Ainsi, le théorème de Millman peut aussi s’écrire :
…
n
ÂGi
i =1
Ce qui revient à dire que le potentiel en un nœud quelconque d’un circuit est la moyenne des potentiels aux nœuds voisins, pondérée par les conductances des différentes branches.
Le théorème de Millman est un outil extrêmement intéressant, surtout si on le compare aux lois de Kirchhoff :
r Comme il découle de la loi des nœuds mais ne met en équation que des tensions, il permet de limiter le nombre de variables introduites dans les équations.
r Il permet de cibler le calcul d’un potentiel particulier ou d’une différence de potentiels donnée en n’écrivant qu’une seule ligne de calcul. Ne pas oublier que bien souvent, on cherche la valeur d’une tension particulière et que la connaissance de toutes les grandeurs électriques, courants ou tensions, en tout point du circuit, ne sert pas à grand chose.
r Il s’applique tout aussi bien en régime continu qu’en régime variable.
r Dans le cas de circuits plus complexes que celui qui est présenté dans l’exemple précé- dent, il suffit souvent d’appliquer plusieurs fois le théorème de Millman pour obtenir les grandeurs recherchées. Peu d’équations seront générées avec, par conséquent, moins de risque d’erreur de calculs.
r Si c’est un courant qui est recherché, par exemple dans une résistance, penser à utiliser le théorème de Millman pour trouver d’abord la tension aux bornes de cette résistance.
Le pont diviseur de tension
Le circuit de la figure 7.1 représente un pont de deux résistances placées en série et alimentées par un générateur de tension parfait. Les deux résistances sont ainsi parcou- rues par le même courant.
On s’intéresse au potentiel VA au point A, point commun aux deux résistances R1 et R2, autrement dit, à la tension aux bornes de R2.
Par simple application de la loi d’Ohm, on peut écrire : I = E . R1 + R2
D’où : VA = R2 E.R + R
Le potentiel au point A est donc égal à une fraction de la tension E, d’où la dénomina- tion de pont diviseur de tension.
Table des matières
Avant-propos VII
Comment utiliser cet ouvrage ? VIII
Remerciements X
Chapitre 1 Principes généraux de l’électrocinétique 1
Fiche 1 Généralités et conventions 2
Fiche 2 Les différents types de générateurs 4
Fiche 3 Les dipôles passifs linéaires usuels 6
Fiche 4 Les régimes électriques dans les circuits 8
Fiche 5 Les lois de Kirchhoff en régime continu 10
Fiche 6 Le théorème de Millman 12
Fiche 7 Les ponts diviseurs 14
Fiche 8 Le principe de superposition 16
Fiche 9 Les théorèmes de Thévenin et Norton 18
Fiche 10 Les circuits linéaires en régime sinusoïdal 20
Fiche 11 Le modèle complexe en régime sinusoïdal 22
Fiche 12 Le régime sinusoïdal – Méthode 24
Fiche 13 La puissance électrique 26
Fiche 14 La puissance en régime sinusoïdal 28
Fiche 15 La modélisation des quadripôles 1 30
Fiche 16 La modélisation des quadripôles 2 32
Fiche 17 Les schémas équivalents des quadripôles 34
Focus AC/DC 36
QCM 37
Exercices 39
Chapitre 2 Signaux et systèmes 43
Fiche 18 La notion de spectre 44
Fiche 19 Le spectre des signaux périodiques 46
Fiche 20 Le spectre des signaux non périodiques 48
Fiche 21 La transformation de Laplace 1 50
Fiche 22 La transformation de Laplace 2 52
Fiche 23 La fonction de transfert d’un système 54
Fiche 24 Les méthodes de résolution des problèmes 56
Focus Signaux analogiques et signaux numériques 58
QCM 59
Exercices 61
Chapitre 3 Les diodes 63
Fiche 25 La conduction électrique intrinsèque 64
Fiche 26 La diode à jonction 66
Fiche 27 Le principe de fonctionnement de la diode 68
Fiche 28 Les caractéristiques électriques de la diode 70
Fiche 29 La polarisation de la diode 72
Fiche 30 La puissance dissipée dans une diode 74
Fiche 31 Les applications des diodes 76
Fiche 32 Le redressement double alternance 78
Fiche 33 Les régulateurs de tension 80
Focus Les ancêtres des semi-conducteurs 82
QCM 83
Exercices 85
Chapitre 4 Les transistors bipolaires 87
Fiche 34 Le transistor bipolaire 88
Fiche 35 La polarisation d’un transistor 90
Fiche 36 L’approche physique de la polarisation 92
Fiche 37 Le fonctionnement en commutation 94
Fiche 38 Les montages à plusieurs transistors 96
Focus Toute une gamme de transistors 98
QCM 99
Exercices 101
Chapitre 5 Les transistors bipolaires en régime dynamique 103
Fiche 39 Les paramètres hybrides du transistor NPN 104
Fiche 40 Le schéma équivalent du transistor 106
Fiche 41 Les amplificateurs 108
Fiche 42 L’amplificateur à émetteur commun 110
Fiche 43 L’amplificateur à collecteur commun 112
Fiche 44 L’amplificateur à base commune 114
Fiche 45 Le montage push-pull 116
Fiche 46 Le montage push-pull à correction de distorsion 118
Fiche 47 L’amplificateur différentiel simple 120
Fiche 48 La réjection du mode commun 122
Fiche 49 Le montage Darlington en régime variable 124
Focus Les différentes classes d'amplificateurs 126
QCM 127
Exercices 129
Chapitre 6 Les amplificateurs opérationnels en régime linéaire 131
Fiche 50 Les caractéristiques de l’amplificateur opérationnel 132
Fiche 51 Le fonctionnement linéaire de l’amplificateur opérationnel 134
Fiche 52 Les additionneurs et les soustracteurs 136
Fiche 53 Les montages évolués 138
Fiche 54 De la théorie à la pratique 140
Fiche 55 Les montages dérivateurs et intégrateurs 142
Fiche 56 L’oscillateur à pont de Wien 144
Focus Quand l’électronique résout les problèmes de physique 146
QCM 147
Exercices 149
Chapitre 7 Les filtres analogiques linéaires 153
Fiche 57 Les diagrammes de Bode 154
Fiche 58 Les diagrammes de Bode asymptotiques 156
Fiche 59 Les différents types de filtres 158
Fiche 60 Le filtre passif passe-bas du premier ordre 160
Fiche 61 Le filtre actif passe-bande 162
Focus Musique ! 164
QCM 165
Exercices 167
Chapitre 8 Les amplificateurs opérationnels en régime non linéaire 171
Fiche 62 Le comparateur 172
Fiche 63 Le basculement d’un comparateur 174
Fiche 64 Le trigger de Schmitt inverseur 176
Fiche 65 Le trigger de Schmitt non inverseur 178
Fiche 66 Les montages astables et monostables 180
Focus Le circuit intégré 555 182
QCM 183
Exercices 185
Chapitre 9 Les transistors à effet de champ 189
Fiche 67 Les transistors à effet de champ à jonction 190
Fiche 68 La polarisation des transistors JFET 192
Fiche 69 Le schéma équivalent en régime linéaire 194
Fiche 70 Les amplificateurs à JFET 196
Fiche 71 Les transistors JFET en commutation 198
Focus Le bruit de fond 200
QCM 201
Exercices 203
Chapitre 10 Les circuits logiques combinatoires 207
Fiche 72 Les fonctions logiques 208
Fiche 73 Les nombres binaires entiers 210
Fiche 74 L’algèbre de Boole 212
Fiche 75 Les circuits logiques combinatoires 214
Fiche 76 Méthode de conception d’un circuit combinatoire 216
Fiche 77 Simplification des fonctions logiques 218
Fiche 78 Multiplexeur, démultiplexeur 220
Fiche 79 Encodeurs et décodeurs 222
Fiche 80 Le comparateur 224
Fiche 81 L’additionneur 226
Fiche 82 Le soustracteur 228
Fiche 83 Les caractéristiques technologiques des circuits combinatoires 230
Focus Du cristal de silicium à l’ordinateur 232
QCM 233
Exercices 235
Chapitre 11 Les circuits logiques séquentiels 239
Fiche 84 La logique séquentielle 240
Fiche 85 La fonction séquentielle synchrone 242
Fiche 86 Les registres 244
Fiche 87 Les compteurs 246
Fiche 88 Les machines à nombre fini d’états 248
Fiche 89 L’analyse de machines d’état 250
Fiche 90 La synthèse des machines d’état 252
Fiche 91 Le graphe d’état pour les systèmes non conditionnés 254
Fiche 92 Le graphe d’état pour les systèmes à évolution conditionnelle 256
Fiche 93 Les caractéristiques temporelles des systèmes séquentiels 258
Focus Fabrication d’un circuit intégré 260
QCM 261
Exercices 263
Chapitre 12 Les technologies des circuits numériques 267
Fiche 94 Circuits TTL et CMOS 268
Fiche 95 La classification des circuits numériques 270
Fiche 96 Les circuits PLD 272
Fiche 97 Les circuits FPGA 274
Fiche 98 Mémoires, notions générales 276
Fiche 99 Mémoires RAM et PROM 278
Fiche 100 Les circuits combinatoires à base de RAM 280
Fiche 101 Les machines d’états à base de mémoire et registre 282
Focus Les nouvelles technologies mémoire 284
QCM 285
Exercices 287
Chapitre 13 Éléments d’instrumentation et de mesure 289
Fiche 102 La mesure du courant 290
Fiche 103 La mesure d’une tension 292
Fiche 104 L’oscilloscope 294
Fiche 105 Les sondes de courant et différentielle 296
Fiche 106 La chaîne d’instrumentation 298
Fiche 107 Les capteurs : principes généraux 300
Fiche 108 Les capteurs actifs 302
Fiche 109 Les capteurs passifs 304
Fiche 110 Les convertisseurs analogique-numérique 306
Fiche 111 Les convertisseurs numérique-analogique 308
Focus Les capteurs solaires photovoltaïques 310
QCM 311
Exercices 313
Chapitre 14 Éléments d’électronique de puissance 317
Fiche 112 Les composants en régime de commutation 318
Fiche 113 Introduction à l’électronique de puissance 320
Fiche 114 Les hacheurs série et parallèle 322
Fiche 115 Le hacheur série en conduction continue 324
Fiche 116 Le hacheur série en conduction discontinue 326
Fiche 117 Le hacheur parallèle en conduction continue 328
Fiche 118 Le hacheur parallèle en conduction discontinue 330
Fiche 119 Les hacheurs à accumulation 332
Fiche 120 Les hacheurs à accumulation inductive en conduction continue 334
Fiche 121 Les onduleurs et la structure de pont en H 336
Focus Les convertisseurs et le photovoltaïque 338
QCM 339
Exercices 341
Corrigés des exercices 343
Annexes 429
Index 435