Sommaire
A1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
A2 Concepts et terminologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
A21 sous-programmes internes et externes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
A22 le transfert du contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 A23 le passage des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
A24 notion de variables globales et locales [clause GLOBAL ] . . . . . . . . . . . 6
A25 données externes [clause EXTERNAL ] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 A26 les sous-programmes communs [clause COMMON ] . . . . . . . . . . . 11
A27 l’initialisation des sous-programmes (verbe CANCEL + clause INITIAL ] 16
B |
Formats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
B1 Le verbe CALL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
B2 La phrase PROCEDURE DIVISION USING . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
B3 La phrase ENTRY..USING . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
B4 La clause END PROGRAM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
B5 Le verbe CANCEL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
B6 Le verbe EXIT PROGRAM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
B7 Les clauses EXTERNAL et GLOBAL . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
B8 Les attributs d’un sous-programme (INITIAL et COMMON) . . . . . . . . . . . 24
B9 Les formats pour les applications MULTI-LANGAGES . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . 25
C1 cas simple de S/P internes et externes avec données globales,locales,externes . . . 29
C2 cas avec un fichier déclaré «externe» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
C3 cas complet .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
D1 Généralités-concepts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
D2 Les formats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
D3 exemples .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
A) Concepts de base
A1 |
Un sous-programme est un programme qui est appelé par un autre (et qui peut lui-même faire appel à d’autres sous-programmes etc ) pour réaliser une action (=> algorithme ) auquel on passe éventuellemnt des informations-paramètres et qui retourne éventuellement des informations-résultats.
Le nom «sous-programme» est très général ; il englobe les termes : «procédures» , «fonctions» , «modules» que l’on trouve dans la «littérature» spécifique aux langages et aux méthodes de développement.
En cobol , un sous-programme est un programme à part entière ( => composé des divisions et sections habituelles : IDENTIFICATION DIVISION , ENVIRONMENT DIVISION,DATA DIVISION , .etc ).
En principe , on écrit un sous-programme lorsque l’action réalisée par celui-ci peut être réutilisée par d’autres applications. (ce qui évite de réécrire du code inutilement et permet de gagner de la place en mémoire ).
Remarques :
Il arrive également qu’on écrive des sous-programmes spécialement pour une (et une seule) application lorsqu’on veut sérier les problèmes et modulariser : en cobol , pour traiter ces cas , on ne fait pas réellement des sous-programmes (qui sont des programmes complets) mais on utilise l’instruction PERFORM qui permet de se brancher sur des «modules» (appartenant au même programme) placés après l’instruction STOP RUN. [CF le paragraphe D ]
A2 |
Les programmes appelants et appelés peuvent être placés dans le même fichier source ; dans ce cas on dit que les sous-programmes sont internes : ici ,après la compilation ,on obtient un seul programme «objet» (.obj) et après l’édition des liens , un seul (et relativement volumineux ) exécutable (.exe).
Ce procédé est parfois appelé «modularisation statique».
[NB : en cobol , les S/P internes se terminent par la clause END PROGRAM nom-du-program-id ]
En réalité , il est souvent plus judicieux de travailler en «modularisation dynamique» qui consiste à faire un fichier source par sous-programme et à compiler et linker séparément tous les modules : ceux-ci sont alors appelés «sous-programmes externes». Ensuite , on constitue des bibliothèques avec les programmes objet ou avec les exécutables et on les utilise à partir de n’importe quelle autre application (écrite éventuellement dans un langage différent).
Le programme appelant appelle et passe le contrôle au sous-programme par l’intermédiaire de l’instruction
CALL. [CF format : paragraphe B1]
Quand son exécution est terminée , le sous-programme «rend la main» au programme appelant grâce à l’instruction EXIT PROGRAM : le module principal (ou maître ou appelant ..) continue en séquence à partir de l’instruction qui suit le verbe CALL.
NB : en cobol ,on peut également appeler et exécuter une partie d’un sous-programme (à partir d’un point d’entrée) néanmoins ce procédé (résultant d’une mauvaise analyse du problème) est rarement utilisé.
|
En COBOL , comme dans tous les langages , on peut passer des paramètres à un sous-programme :
par valeur : au retour dans le programme principal , les zones passées ne sont pas modifiées.
par adresse : les zones passées ( en fait c’est l’adresse de ces zones qui est transmise ) peuvent être modifiées par le sous-programme.
Pour «passer»? des zones à un sous-programme , il suffit de les citer derrière la clause USING du verbe CALL en précisant les options «par valeur» (BY CONTENT) ou «par adresse» (BY REFERENCE).
? en réalité , on ne passe aucune donnée ; le sous-programme utilise l’adresse des zones appartenant au module appelant [CF Principe de la linkage section - page suivante ]
Pour utiliser les zones «transmises» dans le sous-programme , il faut décrire celles-ci dans une LINKAGE
SECTION placée en DATA DIVISION et les inscrire (dans le même ordre ) dans la clause PROCEDURE DIVISION
USING
La linkage section est utilisée dans le sous-programme pour décrire des données qui existent dans le programme appelant.
Les descriptions en linkage section ne génèrent aucune zone réelle ; elles permettent d’énumérer les données communes entre le programme appelant et le programme applelé.
==> Aucune zone n’est allouée pour le sous-programme pour la linkage section :
l’adressage de ces données est résolu, lors de l’exécution, par correspondance entre la liste des zones mentionnées dans la phrase «PROCEDURE USING » et la liste des zones (réelles et uniques appartenant à la data division du programme principal) qui sont indiquées dans le «CALL USING » [NB : parfois on utilise le terme «passage de paramètres par liste d’adresses» ]
Les données citées dans le «CALL USING » et dans le «PROCEDURE DIVISION USING » doivent être dans le même ordre.
Les noms-données inscrits dans la linkage section n’ont pas besoin d’être les mêmes que ceux du programme appelant (il est même préférable d’éviter de procéder ainsi ) car le lien entre la donnée du programme appelant et celle de l’appelé ne se fait pas par le nom mais par l’emplacement (la position) dans la liste des noms cités dans la PROCEDURE USING»
1ère position dans procedure division using => 1ère zone dans la liste du call.. using
2ème position dans procedure division using => 2ème zone dans la liste du call.. using
. . .
CALL «SP» USING PROCEDURE DIVISION USING |
La structure de la linkage section est la même que celle de la working-storage section : chaque zonegroupe (niveau 1) ou zone élémentaire (niveau 77) doit être unique dans le programme.
Les données décrites dans une linkage section ne peuvent être utilisées par le sous-programme que si elles sont déclarées dans la clause «PROCEDURE USING » ou si elles sont subordonnées à celles-ci.
NB : dans la phrase PROCEDURE DIVISION USING.. les noms-données cités doivent correspondre à des nombres niveaux 1 ou 77 en linkage section.
les zones décrites en linkage section et celles déclarées dans le module appelant (et mises en commun par
CALL USING..) doivent avoir la même longueur. initialisation des zones de la linkage section : la clause VALUE est interdite en linkage section (sauf
avec les nombres niveaux 88 => noms conditions et variables booléennes )
Les termes «local» et «global» ne concernent que les programmes et leurs sous-programmes internes.
? Définition d’une variable locale
Implicitement ( ==> si on ne met aucune clause ) , toutes les variables sont «locales» c’est-à-dire connues (ou «visibles» ) uniquement par le programme dans lequel elles sont décrites.
Une variable décrite dans un sous-programme , portant le même nom qu’une autre appartenant au programme appelant (ou à un autre sous-programme) est totalement indépendante de celle-ci .
==> quand une donnée locale et globale porte le même nom c’est toujours la locale qui est prise en compte.
A partir du moment où on décrit une variable dans un sous-programme , elle est systématiquement locale même si celle-ci est déclarée comme globale dans un autre module :
si dans un sous-programme, on veut utiliser une donnée décrite appartenent au programme appelant , il faut la déclarer «globale» dans celui-ci et ne faire aucune description dans l’appelé.
Inversement , si on ne décrit pas une donnée et qu’elle n’est pas déclarée globale ailleurs , on a une erreur à la compilation (du type «nom-donnée non déclaré»).
exemple
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. tp0.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 a pic 99 value 12.
PROCEDURE DIVISION.résultats obtenus debut.
display "au début dans TP0 : a = " aa = 12 call "plus5"
display "après plus5 dans TP0 : a = " aa = 12 call "moins2" display "après moins2 dans TP0 : a = " aa = 12 stop run.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. plus5 initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 a pic 99 value 64. PROCEDURE DIVISION. debut. add 5 to a display "avant exit dans PLUS5 a = " aa = 69 exit program. end program plus5.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. moins2 initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 a pic -9V,99.
77 b pic 9v99 value 1.89.
PROCEDURE DIVISION. debut. subtract 2 from b giving a display "avant exit dans MOINS2 a = " aa = -0,11 exit program. end program moins2. end program tp0.
? Définition d’une variable globale
Une donnée est dite «globale» lorsqu’elle est «vue» ou «visible» ( et donc accessible ) par tous les sousprogrammes internes.
En cobol , pour qu’une donnée soit globale , il suffit de la déclarer avec la clause «..IS GLOBAL» dans le programme appelant ; dans tous les sous-programmes dans lesquels on veut l’utiliser , on ne fait aucune description.
Les variables déclarées globales dans un sous-programme qui contient lui-même des sous-programmes internes ne sont connues que par ceux-ci.
exempledebut.
NB : D’autres entités peuvent être déclarées globales (ex les fichiers,..)
CF parag B : règles et formats [clause GLOBAL et clause COMMON]
parag C : exemples sur le partage des fichiers
conseil :
L’utilisation des variables globales n’est pas conseillée car le sous-programme est lié à son module appelant et donc peu réutilisable. D’autre part des modifications intervenant dans le source du programme appelant peuvent impliquer des mises à jour dans les sous-programmes utilisant les variables globales.
Un bon sous-programme doit être indédendant : une fois mis au point il ne doit plus être retouché : il réalise à l’aide de ses propres données (et celles qu’on lui a éventuellement passées comme arguments ) l’action ou la fonction pour laquelle il a été prévu.
=> Plutôt que de déclarer des données globales , il vaut mieux les passer (par adresse ou par valeur) au sous-programme qui en a besoin.
Le concept de «donnée externe» est sensiblement analogue à celui évoqué (ci-dessus) pour les données globales mais il concerne essentiellement les sous-programmes externes.
global : signifiant connu par tous les éléments du source considéré. externe :signifiant global par rapport à l’ensemble des sources constituant l’application.
Les informations dites «externes» sont celles dont on a besoin dans un sous-programme externe et qui existent déjà ailleurs (déjà décrites et utilisées dans d’autres programmes ou sous-programmes de l’application).
? Définition
Une donnée externe est une information qui existe et qui a déjà été décrite dans un autre programme de l’application en cours de développement et qu’on veut pouvoir utiliser directement (sans la passer par valeur ou par adresse).
En cobol , pour qu’on puisse utiliser une donnée externe , il faut la déclarer avec la clause «..IS EXTERNAL» dans le programme où elle existe (description initiale) ainsi que dans les sous-programmes dans lesquels on veut l’utiliser.
Les variables déclarées externes dans un programme ( ou un sous-programme ) sont «visibles» par tous les éléments internes ou externes qui les déclarent avec la clause IS EXTERNAL.
Quand on a besoin d’utiliser une variable existant ailleurs , et qu’on la décrit avec IS EXTERNAL , le système sait qu’il s’agit d’une étiquette (référence externe ) et non d’une description réelle par un nomdonnée : c’est à l’édition des liens qu’il la remplace par l’adresse réelle de la zone. conseil :
Le problème est le même que pour les données globales : L’utilisation des variables externes n’est pas conseillée car le sous-programme considéré est lié au programme contenant la donnée réelle et donc peu réutilisable. D’autre parts des modifications intervenant dans le source du programme contenant les données réelles peuvent impliquer des mises à jour dans les modules qui utilisent ces variables externes.
Un bon sous-programme doit être indédendant : une fois mis au point il ne doit plus être retouché : il réalise à l’aide de ses propres données (et celles qu’on lui a éventuellement passées comme arguments ) l’action ou la fonction pour laquelle il a été prévu.
=> Plutôt que de déclarer des données externes , il vaut mieux les passer (par adresse ou par valeur) au sous-programme qui en a besoin.
En cobol , il existe néanmoins des cas où on ne peut pas passer l’information par valeur ou par adresse : c’est le cas des fichiers qui est traité dans l’exemple suivant.
Le partage des fichiers : principe et exemple:
? :
[L’organisation interne des fichiers peut être spécifique à une machine et à son système d’exploitation par exemple : les fichiers utilisés sur BULL DPS8,8000,9000 avec leur «attribute region»,leurs «rcw» ,leurs «offset» n’ont aucun point commun avec ceux qui ont été manipulés sur PC pour écrire ce support.
Chaque fichier est caractérisé par une zone nommée «File Connector» qui contient un buffer pour la lecture des données , un champ pour indiquer l’état du fichier (ouvert , ) , un pointeur qui indique sur quel caractère on est positionné , etc
En cobol , ce file-connector n’est pas transmissible à un sous-programme par valeur ou par adresse. (il est toujours possible de traiter ce problème dans un module écrit dans un autre langage tel que le «C» dans lequel le nom du fichier logique est en fait l’adresse de ce file-connector que l’on peut passer au sous-programme choisi.)
? si on veut utiliser un fichier existant dans l’état où il se trouve , on ne peut que : - le déclarer en «global» si on veut y accéder dans un sous-programme interne - le déclarer en «externe» si on veut y accéder depuis un sous-programme externe. |
A partir du fichier c:\gestion\ décrit ci-dessous , on veut éditer toutes les personnes dont le nom commence par un groupe de n lettres.( par ex toutes les personnes dont le nom commence par «LAB»)
NOM PRENOM
n° 1 02 ETU KKKK054 BOBARD JEAN 0000000000 560914 TEF 1225 %%%%% n° 2 02 ETU KKKK132 BOVEAU JEAN 0000000000 590914 OS1 1622 %%%%% n° 3 02 ETU KKKK028 CARMICON JEAN 0000000000 420914 TEF 1725 %%%%% n° 4 02 ETU KKKK030 CASBONBINI MARCEL 0000000000 620914 TEF 1236 %%%%% n° 5 02 ETU KKKK050 CHIALOUX FLORENCE 0000000000 410914 TEF 1725 %%%%% n° 6 02 ETU KKKK060 CHIASSOUX-BERNARD ANTHONY 0000000000 520914 OS1 1825 %%%%% n° 7 02 ETU KKKK140 DESSALON OLIVIA 0000000000 510914 IEF 1625 %%%%% n° 8 02 ETU KKKK026 DUFER CASIMIR 0000000000 420914 IEF 1550 %%%%% n° 9 02 ETU KKKK056 FITROCHON BENOIT 0000000000 560914 OS1 1642 %%%%% n° 10 02 ETU KKKK005 FOUMI PIERRE 0000000000 400813 OS1 1700 %%%%% n° 11 02 ETU KKKK034 LABAF JEAN 0000000000 700914 TEF 1625 %%%%% n° 12 02 ETU KKKK138 LABROUILLE ISIDORE 0000000000 550914 IPE 1625 %%%%% n° 13 02 ETU KKKK130 LE CHAUVE STANISLAS 0000000000 580914 OS1 1622 %%%%% n° 14 02 ETU KKKK032 MACARONETTINI LEON 0000000000 690914 TEF 1350 %%%%% n° 15 02 ETU KKKK136 MULLER AGATHE 0000000000 550914 IEF 1525 %%%%% n° 16 02 ETU KKKK058 MURINI ANGE 0000000000 690914 OS1 1105 %%%%% n° 17 02 ETU KKKK018 N'GORE JEAN 0000000000 560914 TEF 1650 %%%%% n° 18 02 ETU KKKK002 PIOLA JEAN 0000000000 420914 TEF 1625 %%%%% n° 19 02 ETU KKKK062 PISSOUNET MARCEL 0000000000 540914 OS1 1925 %%%%% n° 20 02 ETU KKKK016 RASPITOU JEAN 0000000000 450914 TEF 1425 %%%%% n° 21 02 ETU KKKK052 ROUPIGNAC THIERRY 0000000000 500914 TEF 1425 %%%%% n° 22 02 ETU KKKK134 ROYER-MOLLOUX VERONIQUE 0000000000 550914 IEF 1624 %%%%%
IDENTIFICATION DIVISION. Externa = Pg
PROGRAM-ID. externa. principal ENVIRONMENT DIVISION . nterne input-output section.
file-control.
select fetu02 assign to "c:\gestion\".
data division. file section.
fd fetu02 is external. 1 enreg pic x(80).
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wtrouve pic 9 value 0. 88 trouve value 1.
77 wdeb-nom pic x(20) value "LAB".
77 wdeb-long pic 9(5) value 3.
1 i external pic 999.
1 wctf1 external pic 9.
88 fin-fichier value 1.
procedure division . debut.
move 0 to wctf1 i open input fetu02 read fetu02 at end set fin-fichier to true
end-read perform until fin-fichier
cancel "recherch" if trouve then
display "n° " i "==> " enreg(13:20) enreg(33:20)
read fetu02 at end set fin-fichier to true
end-read
end-if end-perform close fetu02 stop run.
IDENTIFICATION DIVISION. Recherch = S/P externe
PROGRAM-ID. recherch. nterne ENVIRONMENT DIVISION. input-output section.
file-control. select fetu02 assign to "c:\gestion\".
data division. file section.
fd fetu02 is external. 1 ze pic x(80).
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wctf1 external pic 9.
88 fin-fichier value 1.
1 i external pic 999.
linkage section.
77 ltrouve pic 9.
88 lok value 1.
77 ldeb-nom pic x(20).
1 ldeb-long pic 9(5).
procedure division using ltrouve ldeb-nom ldeb-long.
debut.
move 0 to ltrouve perform until fin-fichier or lok if ze(13:ldeb-long) = ldeb-nom(1:ldeb-long) then add 1 to i set lok to true else read fetu02 at end set fin-fichier to true
end-read
?
On aurait pu faire une application très simple, mais, le but étant de montrer l’utilisation des variables externes , on a sciemment utiliser une logique et une analyse du problème peu performantes.
La 1 ère lecture de
a lieu dans ce module
Les autres sont effectuées dans «recherch» tant qu’on ne trouve pas de personne avec un nom commençant par «LAB»:
quand c’est le cas, on traite (retour au programme principal dans lequel est fait le display de l’élément trouvé)
et on relit à nouveau l’article suivant dans cette séquence.
n° 1==> LABAF JEAN n° 2==> LABROUILLE ISIDORE
end-if end-perform exit program.
Un sous-programme commun (option COMMON dans le paragraphe PROGRAM-ID) est un programme qui peut être appelé par tous les autres sous-programmes de l’application sauf par ceux correspondant aux cas suivants :
?
Le sous-programme qui possède la clause COMMON ne peut s’appeler lui-même ( CF le chapître sur la récursivité) ni être appelé par un sous-programme qu’il contient.
?
Si le sous-programme qui possède la clause COMMON est directement inclus dans un autre , il ne peut être appelé que ceux qui sont inclus au même niveau ou par le programme contenant. Par contre, ce même sous-programme «common» peut faire appel à des sous-programmes de niveau supérieur (par exemple ceux de même niveau que son contenant).
Exemple simple
sans la clause COMMON |
avec la clause COMMONt |
PROGRAM-ID A PROGRAM-ID B
END PROGRAM B
A peut appeler B et C
B ne peut pas appeler C ou A
C ne peut pas appeler B ou APROGRAM-ID C
END PROGRAM C
END PROGRAM A
Exemple complet sur les sous-programmes internes avec ou sans «COMMON»
on a écrit les programmes pg-A, sp-B, sp-C, sp-D, sp-E, sp-F, sp-G avec les imbrications suivantes :
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. sp-b initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wqui pic xxxx value "sp-b".
PROCEDURE DIVISION.
debut.
move " , j'ai été appelé par : " to m2
move wqui to wcible display "n° " i m
add 1 to i move wqui to wsource move "sp-c" to wcible call wcible on overflow move " , impossible d'appeler: " to m2 display "n° " i m1 wqui m2 wcible end-call cancel "sp-c"
add 1 to i move wqui to wsource move "sp-f" to wcible call wcible on overflow move " , impossible d'appeler: " to m2 display "n° " i m1 wqui m2 wcible end-call cancel "sp-f"
add 1 to i move wqui to wsource move "sp-g" to wcible call wcible on overflow move " , impossible d'appeler: " to m2 display "n° " i m1 wqui m2 wcible end-call cancel "sp-g"
exit program. end program sp-b.
IDENTIFICATION DIVISION. PROGRAM-ID. sp-d common initial. WORKING-STORAGE SECTION. 77 wqui pic xxxx value "sp-d". PROCEDURE DIVISION. debut. move " , j'ai été appelé par : " to m2 move wqui to wcible display "n° " i m add 1 to i move wqui to wsource move "sp-e" to wcible call wcible on overflow move " , impossible d'appeler: " to m2 display "n° " i m1 wqui m2 wcible end-call cancel "sp-e" exit program. |
exit program.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. sp-f common initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wqui pic xxxx value "sp-f". PROCEDURE DIVISION.
Un sous-programme est exécuté avec ses données à l’état initial (correspondant essentiellement aux clauses VALUE en working-storage section ) quand:
- il est applelé pour la première fois.
- il est applelé la première fois après l’exécution d’un CANCEL.- à chaque fois qu’il est appelé , si le paragraphe PROGRAM-ID du sous-programme contient la clause INITIAL.
B) Règles et formats
B1 |
? Le nom du sous-programme appelé
Littéral-1 ou identificateur-1 doit être alphanumérique.
NB cobol microsoft : si le nom ou le littéral est un caractère numérique ou un caractère non ASCII , cela correspond à l’appel d’une routine système ( ex call X«AF» using )
La valeur de littéral-1 ou identificateur-1 est le nom (PROGRAM-ID) du sous-programme que l’on veut appeler ou le nom d’un point d’entrée dans le sous-programme.
Il est possible d’appeler deux (ou plus ) sous-programmes qui portent le même nom à condition que l’un soit inclus (interne) dans celui qui contient le CALL et que l’autre soit externe.
? Le passage de paramètres
La clause using ne doit être incluse que si dans le programme appelé , il y a une phrase PROCEDURE DIVISION USING .. ; dans ce cas , le nombre et l’ordre des paramètres doivent être les mêmes.
Tous les nom-données cités dans cette clause «USING» représentent des zones qui peuvent se trouver en FILE SECTION,WORKING-STORAGE SECTION,COMMUNICATION SECTION, LINKAGE SECTION du programme appelant.
Les nom-données cités dans la clause USING peuvent avoir des nombres niveaux 1 ou 77 ou compris entre 2 et 49.
L’option BY REFERENCE qui correspond au passage d’arguments par adresse (ou plus précisément par liste d’adresses - CF les concepts de base- ) est implicite : les zones inscrites derrière cette clause peuvent être modifiées par le sous-programme appelé. NB : si on souhaite qu’un sous-programme retourne des informations , il faut lui passer des zones BY REFERENCE dans lesquelles seront rangés les résultats.
? Traitement des anomalies
ON EXCEPTION est synonyme de ON OVERFLOW : les instructions inscrites dans cette clause sont exécutées
lors de toute impossibilité d’appel du sous-programme (quelle que soit la raison : manque de ressource ,..).
NB ? : sur certains systèmes ,quand le sous-programme appelé ne peut être chargé en mémoire (faute de place ) , l’exécution du programme appelant se poursuit à l’instruction suivante : il est donc plus prudent de prévoir la clause ON EXCEPTION (ou NOT..).
B2 |
? Présence de la clause USING ( cf page 4,5 )
Elle n’est nécéssaire que si , dans le programme appelant , on a fait un CALL USING ; dans ce cas les nom-donnée-1 , , nom-donnée-n qui suivent correspondent (dans le même ordre ) aux zones passées avec le USING du verbe CALL. nom-donnée-1,..nom-donnée-n doivent avoir des niveaux 1 ou 77 en linkage section.
La linkage section qui contient la description des zones utilisées dans le sous-programme , c’est-àdire celles définies dans le USING de PROCEDURE DIVISION , peut éventuellemnt contenir d’autres données supplémentaires (CF paragraphe suivant sur la clause ENTRY).
Si on a fait un « CALL .. USING a b c » et que dans le sous-programme appelé on oublie
( volontairement ou pas ) de mentionner certaines zones : par exemple « PROCEDURE DIVISION USING a c » ; les informations omises sont inaccessibles , mais cela ne génére aucune erreur.
B3 |
Remarques
Le format le plus couramment utilisé est le ? , le n° ? qui est équivalent au USING du verbe CALL permet de choisir au niveau du point d’entrée le type de passage de paramètres.
La méthode pour définir des points d’entrée dans un sous-programme peut varier d’un système à l’autre
(compilateur) : l’exemple général cité à la page 3 où des nom-procédure placés en colonne 8 constituent les points d’entrée n’est pas valable en cobol microsoft ( CF l’exemple de la page suivante).
Règles(cobol microsoft)
Le nom de chaque point d’entrée (il peut y en avoir plusieurs - CF page 20 - ) doit être un littéral alphanumérique ou un nom-donnée décrit en PIC X(.) ; seuls les 8 premiers caractères sont significatifs ( 6 seulement sur certaines machines ).
Le nom choisi pour un point d’entrée doit être unique (il ne doit surtout pas être le même que celui d’un autre sous-programme de l’application ).
Le point d’entrée est en fait une étiquette à partir de laquelle le sous-programme appelé s’exécute lorsqu’on rencontre l’instruction CALL «nom du point d’entrée»
La clause USING a la même fonction que celle mentionnée dans PROCEDURE DIVISION : elle permet de définir les paramètres qui seront utilisables par cette portion de sous-programme (lesquels doivent se trouver en linkage section). Avec le USING de ENTRY , on peut passer à chaque point d’entrée , des paramètres différents.
La clause ENTRY ne fonctionne pas avec des sous-programmes internes.
Pour accéder aux divers points d’entrée , il faut que le sous-programme ait été appelé au moins une fois par son nom de PROGRAM-ID.
Le USING pour un point d’entrée a un fonctionnement identique au USING de PROCEDURE DIVISION (la seule différence est que ce dernier concerne l’ensemble du sous-programme et non une partie )
NB cobol microsoft : il existe une directive de compilation «STICKY-LINKAGE» (ou «NOSTICKY-LINKAGE» ) qui peut influer sur le fonctionnement de la clause USING de ENTRY : elle permet aux autres points d’entrée l’accès aux paramètres des autres points d’entrée à condition qu’ils aient été appelé au moins une fois.
exemple :
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. entree.
WORKING-STORAGE SECTION.
résultat SANS la directive STICKYLINKAGE bonjour , lz=0 cas n° 0 a=256,b=049,c=003 cas n° 0 a=000,b=001,c=003 cas n° 0 a=000,b=000,c=000 |
77 a pic 999 value 16.
77 b pic 999 value 49.
77 c pic 999 value 3.
77 d pic 999 value 2.
77 z pic 9 value 0.
77 wchoix pic x(8) value "racin2".
PROCEDURE DIVISION. debut.
call "puiss2" using by reference a d display "cas n°" z " a=" a ",b=" b ",c=" c
move 0 to a
call wchoix using by reference b display "cas n°" z " a=" a ",b=" b ",c=" c
move 0 to b
CALCUL = S/P display "cas n°" z " a=" a ",b=" b ",c=" c externestop run.
résultat AVEC la directive STICKYLINKAGE bonjour , lz=0 cas n° 1 a=256,b=049,c=003 cas n° 2 a=000,b=007,c=003 cas n° 3 a=000,b=000,c=001 |
$set sticky-linkage
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. calcul.
WORKING-STORAGE SECTION .
linkage section.
77 la pic 999 .
77 lb pic 999.
77 lc pic 999.
77 ld pic 999.
77 lz pic 9.
PROCEDURE DIVISION using lz.debut.
display "bonjour ,lz=" lz exit program. entry "puiss2" using la ld compute la = la ** ld
add 1 to lz exit program. entry "racin2" using lb compute lb = lb ** (1 / ld)
add 1 to lz exit program. entry "divid2" using lc compute lc = lc / ld add 1 to lz exit program.
commentaires :
puiss2 (élévation à la puissance ld=2) | connait lz si on a mis la directive STICKY-LINKAGE |
racin2 (racine carrée) | connait lz et ld si on a mis la directive STICKY-LINKAGE |
divid2 (division par ld = 2 ) | connait lz et ld si on a mis la directive STICKY-LINKAGE |
B4 |
? cas de plusieurs sous-programmes
Si le paragraphe «PROGRAM-ID» est placé entre le «PROGRAM-ID» et le «END PROGRAM» d’un autre module, la clause «END PROGRAM» doit précéder le «END PROGRAM» de celui-ci.
interdit |
PROGRAM-ID APROGRAM-ID APROGRAM-ID A
PROGRAM-ID BEND PROGRAM APROGRAM-ID B
END PROGRAM BPROGRAM-ID BEND PROGRAM A
END PROGRAM AEND PROGRAM BEND PROGRAM B
B5 |
Littéral-1 doit être un littéral alphanumérique et identificateur-1 un nom-donnée décrit en PIC X(.).
L’ordre CANCEL permet d’effacer en mémoire le sous-programme considéré ; cela garantit que lors du prochain appel , le système n’utilisera pas une copie mais le chargera dans son état initial. Le CANCEL d’un programme s’applique également à tous les sous-programmes internes inclus.
Dans un sous-programme appelé , il est interdit de faire un CANCEL de l’appelant ou d’autres programmes de niveau supérieur. Ce qui équivaut à dire qu’on ne doit jamais faire CANCEL pour un sous-programme qui n’est pas encore passé par EXIT PROGRAM (retour à l’applelant).
Le verbe CANCEL est un effacement « explicite » d’un sous-programme ; il existe un cancel automatique dit «implicite» qui se produit dans les cas suivant :
- avant l’appel du sous-programme si celui-ci contient la clause INITIAL.
- quand l’application (.exe) se termine ( si on relance l’exécutable , tous les sous-programmes sont mis à l’état initial ).
Si on fait un CANCEL d’un programme qui n’a pas été appelé , il n’y a aucune action : le contrôle est passé à l’instruction suivante.
LE contenu des informations « externes » d’un sous-programme ne change pas lorsqu’on fait un CANCEL.
Lorqu’un CANCEL intervient , un CLOSE (implicite) est généré pour chaque fichier ouvert (le fileconnector interne de chaque fichier est remis à l’état fermé) : toutes les USE procedure associées à ces fichiers ne sont pas exécutées.
B6 |
Cette instruction permet de quitter un sous-programme pour revenir à l’instruction du programme appelant qui suit le CALL. Avec certains compilateurs EXIT PROGRAM doit être la seule instruction d’un paragraphe.
Si on passe sur un EXIT PROGRAM alors qu’on n’a pas appelé aucun sous-programme , l’exécution se poursuit à partir de l’instruction suivante.
L’exécution d’un EXIT PROGRAM dans un sous-programme appelé qui possède l’attribut INITIAL génère un CANCEL de celui-ci.
B7 |
pour les zones en data division (notamment en working-storage section)
pour le report writer
? cas des fichiers
Si on veut qu’un fichier soit externe , il suffit de déclarer « EXTERNAL » au niveau de la phrase FD mais en aucun cas au niveau de la description de l’article.
Par contre , l’enregistrement (niveau 1 ) peut être GLOBAL si on veut l’utiliser dans un sous-programme interne.
GLOBAL au niveau de la phrase FD n’implique pas GLOBAL au niveau du record lu. (au niveau de la description en FD , on agit sur la zone file-connector du fichier.)
Si le fichier est une imprimante (c’est-à-dire qu’on a une clause LINAGE en FD) , le LINAGE-COUNTER est
GLOBAL si on a mis cette clause en FD ; il est EXTERNAL si on a choisi cette option ; il est GLOBAL et EXTERNAL si les deux clauses ont été placées dans la phrase FD.
? cas des descriptions de données (en working)
Dans tous les cas , la clause EXTERNAL est imcompatible avec VALUE (sauf le VALUE des niveaux 88 ).
Si une zone-groupe (niveau 1) a un attribut GLOBAL ou EXTERNAL , les zones sous-groupes et élémentaires subordonnées héritent de ces proriétés.
On ne doit pas déclarer EXTERNAL une zone redéfinie (avec REDEFINES.) , par contre on peut redéfinir une donnée externe.
Une donnée GLOBALE ne doit être décrite que dans le programme appelant alors qu’une information EXTERNAL est déclarée dans les deux avec le même nom. NB : la clause GLOBAL peut être mentionnée en linkage section.
Des zones en data division portant le même nom-donnée ne peuvent pas avoir l’attribut GLOBAL.
? cas du report writer)
Si la « report description » contient GLOBAL , les registres LINE-COUNTER et PAGE-COUNTER (CF le chapitre sur l ‘éditeur d’état) sont globaux.
B8 |
Si le sous-programme est interne , le nom du programme doit être unique dans le source considéré. COMMON ne concerne que les sous-programmes internes : (tout le principe est expliqué pages 11 à 15) Si PROGRAM est spécifié , la clause COMMON et/ou INITIAL doit être présente.
Quand un sous-programme contenant la clause INITIAL est appelé , toutes les zones de sa data division sont remises à l’état initial .
B9 |
La plupart des formats étudiés dans les paragraphes précédents ont été complétés au fur et à mesure de l’évolution des différentes versions des compilateurs , par des clauses permettant de gèrer la communication (appel , transfert de données , retour de code , ..) entre des sous-programmes écrits dans différents langages. Ce domaine concerne les questions suivantes :
- comment passer en paramètre l’adresse d’un sous-programme [CF exemple C3 ]
- comment appeler un sous-programme à l’aide de son adresse. [CF exemple C3 ] - comment appeler un sous-programme écrit (ou pas ) dans un autre langage.
- comment envoyer des informations à un sous-programme écrit (ou pas ) dans un autre langage.
- comment récupérer des données provenant d’un sous-programme écrit (ou pas ) dans un autre langage.
Ces clauses que nous allons décrire succintement peuvent également servir pour une application écrite totalement en cobol. [CF exemple C3 ]
Elles font volontairement l’objet d’un paragraphe à part pour ne pas surcharger les notions essentielles vues précédemment car elles sont moins fréquemment utilisées .
Le but de ce paragraphe est d’énumérer (tout en expliquant brièvement) certaines phrases omises dans les paragraphes B1 à B8 afin que le lecteur ne soit pas surpris en les découvrant dans certains programmes.
C’est pourquoi nous n’entrerons pas dans les détails de syntaxe ou de règles d’utilisation .
Néanmoins , pour fournir un support relativement complet , nous avons testé ces éléments dans l’exemple commenté du paragraphe C3.
b92 la convention.
SPECIAL-NAMES.. CALL-CONVENTION nombre IS nom mnémonique . |
Cette clause permet de choisir un nom mnémonique pour définir un type de langage (en principe , le langage dans lequel a été écrit le sous-programme que l’on veut appeler). Le nombre doit être compris entre 0 et 65535. [en binaire sur 16 bits ;en fait, seuls les bits 0,1,2 sont utilisés
bit 0 : 0 => analyse des paramètres de la droite vers la gauche
1 => gauche vers la droite
bit 1 : 0 => le programme appelant renvoie des paramètres
1 => appelé
bit 2 : 0 => le code retourné par le sous-programme sera mis dans le RETURN-CODE
1 => le registre RETURN-CODE ne sera pas mis à jour
les phrases RETURNING ne sont pas concernées par ce bit]
Si on ne met pas cette clause CALL-CONVENTION , par défaut le nombre est 0 qui signifie COBOL STANDARD.
EXEMPLE :
SPECIAL-NAMES.
CALL-CONVENTION 0 is MICROSOFT-C
CALL-CONVENTION 2 is FORTRAN CALL-CONVENTION 3 is PASCAL.
Le nom mnémonique est ensuite utilisé de la façon suivante :
? CALL MICROSOFT-C « nom-du-programme » USING paramètres
pour appeler un module écrit en C
? PROCEDURE DIVISION PASCAL USING paramètres..
pour spécifier la convention que ce programme pourrait nécéssiter pour être appelé par un autre écrit dans un autre langage.
b93 description et récupération de l’adresse d’un programme (cf
les zones dans lesquelles on veut mettre l’adresse d’une procédure (programme) doivent être décrite avec la clause :
un pointeur sur une procédure est une zone succeptible de contenir l’adresse d’un point d’entrée (nom fixé par la phrase ENTRY) ou d’un programme (nom qui se trouve dans le paragraphe PROGRAMM-ID). Dans ce type de donnée , on peut récupérer l’adresse d’un programme écrit dans un autre langage.
Une zone en « usage procedure-pointer » doit toujours être élémentaire : si on met cette clause en niveau 1 , seules les données élémentaires subordonnées seront utilisables. Une telle zone est renseignée à l’aide du verbe SET
SETnom-donnée-1 (décrit en usage procedure-pointer)TO { nom-donnée-2 (usage procedure-pointer) ENTRY { identificateurlittéral } | } |
identificateur (ou littéral) est le nom du programme ou du point d’entrée.
CALL [nom-mnémonique USING GIVING RETURNING | identificateur-1 littéral-1 ] nom de pointeur sur procédure-1 } BY REFERENCEnom de pointeur sur procédure-2 BY CONTENT nom de pointeur sur procédure-3 nom de pointeur sur procédure-4} BY VALUE { [littéral-2[SIZE IS littéral-3]] INTO identificateur-2} ADDRESS OF identificateur-3 | ] |
La clause SIZE définit le nombre de caractères (pic X) à passer: si cette clause est présente , littéral-2 doit être numérique en COMP-5.
Si la clause SIZE n’est pas mentionnée , le nombre (par défaut) de bytes transmis est de 4 ou égal à la valeur fixée avec la directive LITVAL-SIZE. Un paramètre passé BY VALUE ne peut dépasser 4 bytes.
ex : CALL MICROSOFT-C «essai» BY VALUE 6 SIZE 2. ==> passe la valeur 6 sur 2 bytes
Identificateur-3 doit être défini en LINKAGE section avec un niveau 1.
On ne peut pas faire CANCEL d’une zone en usage procedure-pointer. [« nb de l’auteur»:
Mon compilateur (m-soft V4.5) ne semble pas connaître GIVING ; avec RETURNING qui semble être un synonyme : pas de problème ]
Les clauses GIVING et VALUE sont réservées pour des valeurs numériques :
binaires : usage binary , comp,comp-4,comp-5 entiers pointeurs usage is pointer , procedure-pointer
Si on met la clause RETURNING nom-de-zone (ou GIVING ) au niveau du verbe CALL , l’information retournée par le sous-programme appelé sera rangée dans nom-de-zone sinon elle sera stockée dans le registre spécial nommé RETURN-CODE.
Le registre RETURN-CODE est en principe en pic S9(4) COMP ; si on met la directive RTNCODE-SIZE«4» , il sera en pic S9(8) COMP.
b95 le verbe EXIT PROGRAM (cf C3)
EXIT PROGRAM GIVING} { ADDRESS OF nom-donnée-1} RETURNING Littéral-1 |
Littéral-1 doit être un entier.
Nom-donnée-1 représente n’importe quelle zone en data division.
Ce format du EXIT PROGRAM permet au sous-programme appelé de retouner une valeur ou une adresse au programme appelant. (écrit dans n’importe quel langage).
Si le RETURNING (ou GIVING ) n’a pas été mentionné dans le verbe CALL , le retour s’effectue dans le registre spécial RETURN-CODE sinon dans la zone suivant RETURNING (ou GIVING). Les programmes qui utilisent ce format doivent être traité avec la directive système MF.
Le format de l’EXIT PROGRAM ci-dessus a été rajouté (avec les mêmes règles de fonctionnement ) à tous les ordres cobol permettant de quitter un programme :
PROCEDURE DIVISION.debut.
move 12 to w1 move 15.52 to w2 move 789 to w3 move 28.55 to w4
display " w1 w2 w3 w4" display " après init.=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4 call "mult2" ?
display "après mult2=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4
call "plus5" ?
display "après plus5=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4
call "plus8" ?
display "après plus8=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4
call "plus1" ?
display "après plus1=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4
display "apr moins3=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4
call "div10" ? display "après div10=> " w1 " " w2 " " w3 " " w4 stop run.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. mult2 initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 w2 pic 99v99 external.
1 w4 pic 99v99 global.
PROCEDURE DIVISION.
debut.
multiply 2 by w1 w2 w3 w4 exit program.
end program mult2.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. moins3 initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 w2 pic 99v99 external.
1 w3 pic 9999 external global.
1 w4 pic 99v99 global.
PROCEDURE DIVISION.
debut.
subtract 3 from w1 w2 w3 w4 exit program.
end program moins3.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. div10 initial.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 w2 pic 99v99 external.
1 w3 pic 9999 external .
PROCEDURE DIVISION.
debut.
divide 10 into w1 w2 w3 w4 exit program.end program div10.end program tp1.
C2 |
le partage des fichiers : cas avec des variables globales et et des variables externes
A partir de 2 fichiers décrits ci-dessous , on veut éditer toutes les personnes dont le nom commence par la lettre «P» ou «p».
NB :On aurait pu faire une application très simple, mais , le but étant de montrer l’utilisation des variables globales et externes , on a volontairement multiplié l’utilisation de sous-programmes totalement inutiles.
JEU d’ESSAI : c:\gestion\
NOM PRENOM
n° 1 02 DIR KKKK133 BISTOUKET PIERRE 0000000000 590208 OS1 1204 %%%%% n° 2 02 DIR KKKK135 CASANOVIEN ALICE 0000000000 550208 IPE 1250 %%%%% n° 3 02 DIR KKKK059 CHIASSOU ZOE 0000000000 690208 IPE 1500 %%%%% n° 4 02 DIR KKKK053 DE LA CARTOUCHE JACQUES 0000000000 500208 IPE 1345 %%%%% n° 5 02 DIR KKKK061 EBOUNARD BERTRAND 0000000000 510208 IPE 1200 %%%%% n° 6 02 DIR KKKK055 FITROCHON GISELE 0000000000 560208 IPE 1641 %%%%% n° 7 02 DIR KKKK137 JACQUOUX JACQUES 0000000000 550208 OS1 1552 %%%%% n° 8 02 DIR KKKK131 LE CHAUVE IRENE 0000000000 580208 IPE 1202 %%%%% n° 9 02 DIR KKKK057 MOMEAU FERNAND 0000000000 690208 IPE 1160 %%%%% n° 10 02 DIR KKKK051 PASTISSE ALPHONSE 0000000000 410208 IPE 1800 %%%%% n° 11 02 DIR KKKK063 PISSOUNET JACQUES 0000000000 530208 OS1 1550 %%%%% n° 12 02 DIR KKKK139 SOMMIER-DUVALLON MARCELLIN 0000000000 520208 OS1 1200 %%%%% n° 13 02 DIR KKKK017 ZYVANISEVITCHSKY JULES 0000000000 420208 IPE 1550 %%%%%
JEU d’ESSAI : c:\gestion\
n° 1 02 ETU KKKK054 BOBARD JEAN 0000000000 560914 TEF 1225 %%%%% n° 2 02 ETU KKKK132 BOVEAU JEAN 0000000000 590914 OS1 1622 %%%%% n° 3 02 ETU KKKK028 CARMICON JEAN 0000000000 420914 TEF 1725 %%%%% n° 4 02 ETU KKKK030 CASBONBINI MARCEL 0000000000 620914 TEF 1236 %%%%% n° 5 02 ETU KKKK050 CHIALOUX FLORENCE 0000000000 410914 TEF 1725 %%%%% n° 6 02 ETU KKKK060 CHIASSOUX-BERNARD ANTHONY 0000000000 520914 OS1 1825 %%%%% n° 7 02 ETU KKKK140 DESSALON OLIVIA 0000000000 510914 IEF 1625 %%%%% n° 8 02 ETU KKKK026 DUFER CASIMIR 0000000000 420914 IEF 1550 %%%%% n° 9 02 ETU KKKK056 FITROCHON BENOIT 0000000000 560914 OS1 1642 %%%%% n° 10 02 ETU KKKK005 FOUMI PIERRE 0000000000 400813 OS1 1700 %%%%% n° 11 02 ETU KKKK034 LABAF JEAN 0000000000 700914 TEF 1625 %%%%% n° 12 02 ETU KKKK138 LABROUILLE ISIDORE 0000000000 550914 IPE 1625 %%%%% n° 13 02 ETU KKKK130 LE CHAUVE STANISLAS 0000000000 580914 OS1 1622 %%%%% n° 14 02 ETU KKKK032 MACARONETTINI LEON 0000000000 690914 TEF 1350 %%%%% n° 15 02 ETU KKKK136 MULLER AGATHE 0000000000 550914 IEF 1525 %%%%% n° 16 02 ETU KKKK058 MURINI ANGE 0000000000 690914 OS1 1105 %%%%% n° 17 02 ETU KKKK018 N'GORE JEAN 0000000000 560914 TEF 1650 %%%%% n° 18 02 ETU KKKK002 PIOLA JEAN 0000000000 420914 TEF 1625 %%%%% n° 19 02 ETU KKKK062 PISSOUNET MARCEL 0000000000 540914 OS1 1925 %%%%% n° 20 02 ETU KKKK016 RASPITOU JEAN 0000000000 450914 TEF 1425 %%%%% n° 21 02 ETU KKKK052 ROUPIGNAC THIERRY 0000000000 500914 TEF 1425 %%%%% n° 22 02 ETU KKKK134 ROYER-MOLLOUX VERONIQUE 0000000000 550914 IEF 1624 %%%%%
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. tp3. ENVIRONMENT DIVISION. input-output section.
file-control.
select fetu02 assign to "c:\gestion\". select fdir02 assign to "c:\gestion\". select fvidageassign to "c:\gestion\".
data division.file section. fd fvidage is global external linage is 66. fichier utilisé dans le S/P interne «ecriture» sous forme globale
et dans le S/P externe «rechdir» => déclaration en «externe»
1 sligne pic x(120). fd fdir02 is external. 1 enreg-dir2 pic x(80). fd fetu02 is external. 1 enreg-etu2 global pic x(80).
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wtrouve pic 9 value 0.
88 trouve value 1.
77 wlettre pic x value "P".
1 i global external pic 999.
1 wctf1 external pic 9.
88 ff-dir value 1.
1 wctf2 external pic 9.
88 ff-etu value 1. procedure division.debut.
move 0 to wctf1 wctf2 i
ces 2 fichiers sont utilisés dans des S/P externes => déclaration en EXTERNAL et l’article de est directement imprimé dans le sous-programme «écriture» => déclaration en global.
open input fetu02 fdir02 output fvidage read fetu02 at end La 1 ère lecture de a lieu dans ce set ff-etu to true module end-read perform until ff-etu Les autres sont effectuées dans «nomrech» call "nomrech" using wtrouve wlettre tant qu’on ne trouve pas de personne avec un cancel "nomrech" nom commençant par «P» ou «p» : if trouve then quand c’est le cas, on traite (appel S/P display enreg-etu2 d’impression) call "ecriture" et on relit à nouveau l’article suivant read fetu02 at end dans cette séquence. set ff-etu to true end-read end-if end-perform read fdir02quand le premier fichier est fini , on accède |
at end display "fichier = vide" not at end
call "rechdir" |
cancel "rechdir" end-read close fdir02 fetu02 fvidage stop run.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. ecriture.
DATA DIVISION.
1 wligne .
3 pic x(3).
3 wnum pic zzz.
3 pic x(6).
3 w108 pic x(108).
procedure division.
debut.
add 1 to i move i to wnum move enreg-etu2(1:2) to w108(1:5) move enreg-etu2(3:3) to w108(6:6) move enreg-etu2(6:7) to w108(12:10) move enreg-etu2(13:20) to w108(22:23) move enreg-etu2(33:20) to w108(45:23) move enreg-etu2(53:10) to w108(68:13) move enreg-etu2(63:6) to w108(81:9) move enreg-etu2(69:3) to w108(90:6) move enreg-etu2(72:4) to w108(96:7) move enreg-etu2(76:5) to w108(103:5) write sligne from wligne
au 2 ème lequel sera gèré par le S/P externe «rechdir» et son sous-programme inclus «rechnom» décrits à la page suivante.
Ce sous-programme interne utilise : le fichier Fvidage (déclaré en global)
l’article du fichier également global
et la variable globale i (qui est également incrémentée dans le module «rechdir» et donc définie en external )
=> il n’y a aucune description à écrire concernant ces 2 entités.
les données globales ne sont pas décrites dans le module interne appelé
exit program.
end program ecriture.
end program tp3.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. rechdir. ENVIRONMENT DIVISION. input-output section.
file-control.
select fdir02 assign to "c:\gestion\". select fvidage assign to "c:\gestion\".
data division.file section. fd fdir02 is global external. 1 enreg-dir2 global pic x(80). fd fvidage is external linage is 66. 1 sligne pic x(120).
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wlettre pic x value "P".
77 wtrouve pic 9 value 0.
88 trouve value 1.
77 wctf1 global external pic 9.
88 ff-dir value 1.
77 i is external pic 999.
1 wligne.
3 pic x(3).
3 wnum pic zzz.
3 pic x(6).
3 w108 pic x(108).
procedure division. debut.
cancel "rechnom" if trouve then display enreg-dir2 add 1 to i move i to wnum move enreg-dir2(1:2) to w108(1:5) move enreg-dir2(3:3) to w108(6:6) move enreg-dir2(6:7) to w108(12:10) move enreg-dir2(13:20) to w108(22:23) move enreg-dir2(33:20) to w108(45:23) move enreg-dir2(53:10) to w108(68:13) move enreg-dir2(63:6) to w108(81:9) move enreg-dir2(69:3) to w108(90:6) move enreg-dir2(72:4) to w108(96:7) move enreg-dir2(76:5) to w108(103:5) write sligne from wligne read fdir02 at end set ff-dir to true
end-read
end-if end-perform
exit program.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. rechnom.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wmaj pic x. 77 wmin pic x. linkage section.
77 ltrouve pic 9.
88 lok value 1. 77 llettre pic x.
procedure division using ltrouve llettre.
debut.
move 0 to ltrouve move llettre to wmaj wmin call "cbl_toupper" using wmaj by value 1 call "cbl_tolower" using wmin by value 1 perform until ff-dir or lok if enreg-dir2(13:1) = wmaj or wmin then set lok to true else read fdir02 at end set ff-dir to true
end-read
end-if
end-perform exit program.end program rechnom.end program rechdir.
$set NESTCALL
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. nomrech. ENVIRONMENT DIVISION. configuration section. input-output section.
file-control.
select fetu02 assign to "c:\gestion\".
data division. file section. fd fetu02 is external. 1 enreg-etu2 pic x(80).
WORKING-STORAGE SECTION.
77 wtrouve pic 9 value 0.
88 trouve value 1.
77 wctf2 external pic 9.
88 ff-etu value 1.
77 wmaj pic x. 77 wmin pic x. linkage section.
77 ltrouve pic 9.
88 lok value 1.
77 llettre pic x.
procedure division using ltrouve llettre.
debut.
move 0 to ltrouve move llettre to wmaj wmin
call "cbl_toupper" using wmaj by value 1 call "cbl_tolower" using wmin by value 1
perform until ff-etu or lok if enreg-etu2(13:1) = wmaj or wmin then
set lok to true
else read fetu02 at end
set ff-etu to true
end-read
end-if
end-performexit program.
1 02 ETU KKKK002 PIOLA JEAN 0000000000 420914 TEF 1625 %%%%% 2 02 ETU KKKK062 PISSOUNET MARCEL 0000000000 540914 OS1 1925 %%%%% 3 02 DIR KKKK051 PASTISSE ALPHONSE 0000000000 410208 IPE 1800 %%%%% 4 02 DIR KKKK063 PISSOUNET JACQUES 0000000000 530208 OS1 1550 %%%%%
C3 |
Exemple complet comprenant les cas suivants :
utilisation de sous-programme internes et externes utilisation de variables globales et locales
utilisation de variables externes passage d’information par adresse
passage en paramètre de l’adresse réelle d’un programme
appel d’un sous-programme par son adresse utilisation du code de retour
Le masque d’écran ci-dessous nous décrit le résultat à obtenir : à partir d’un nombre décimal [9(6) maxi] saisi par l’utilisateur , on veut afficher sur l’écran les représentations de ce nombre en binaire, en hexadécimal et en octal.
Les solutions pour résoudre ce problème sont nombreuses mais , on a imposé la réalisation de 3 sousprogrammes :
« doct » qui convertit le décimal en octal
« dbin » qui convertit le décimal en binaire
« dhex » qui convertit le décimal en hexadécimal
Cet exercice étant généralement étudié en début de cours ,les élèves ne connaissent pas encore les tables, les clauses occurs , redefines , : on a donc choisi , pour les algorithmes des sous-programmes , de ne travailler qu’avec les verbes arithmétiques.
PROGRAM-ID CONVERBE.PROGRAM-ID DBIN.PROGRAM-ID DHEX.
appel de « doct » appel de « dhex »
EXIT PROGRAMEXIT PROGRAM
END PROGRAM CONVERBE.
C33 programmes cobol
$set RTNCODE-SIZE"4"
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. converbe.
AUTHOR. IC LAFARGUE.
DATA DIVISION.
WORKING-STORAGE SECTION.
1 wad-dhex usage is procedure-pointer.
1 wdecimal is global external pic 9(6).
1 woctal is global pic 9(7) value 0.
1 wbina value zero.
3 pic x(12).
3 wbinaire pic x(24).
1 whexa external pic xxxxx.
1 wreponse pic x value " ".
1 wreturn-code pic -*(7)9.
SCREEN SECTION.
COPY "c:\laf\cobol\ex1\".
PROCEDURE DIVISION.
10. set wad-dhex to entry "dhex" perform until wreponse = "F" or "f" move space to wreponse display magrille accept gdecimal call "dbin" using wbina wad-dhex ?
* cancel "dbin" move return-code to wreturn-code 01 magrille.
02 BACKGROUND-COLOR 7 FOREGROUND-COLOR 0.
03 BLANK SCREEN.
03 LINE 6 COL 3 VALUE "+-------------- ".
03 COL 19 BACKGROUND-COLOR 3 VALUE "conversion du nombre saisi -" en base 8 , 2 , 16".
. . . .
. . . .
03 COL 71 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND-COLOR 7 HIGHLIGHT VALUE " ".
03 COL 73 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND-COLOR 7 HIGHLIGHT VALUE " ".
03 COL 74 VALUE "-+".
03 gdecimal LINE 11 COL 44 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND COLOR 7 HIGHLIGHT PIC Z(5)9 TO wdecimal PROMPT ".". 03 goctal LINE 17 COL 7 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND-COLOR 1 HIGHLIGHT PIC Z(6)9 FROM woctal.
03 gbinaire LINE 17 COL 25 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND- COLOR 1 HIGHLIGHT PIC X(24) FROM wbinaire. 03 ghexa LINE 17 COL 65 PIC X(5) FROM whexa. 03 greponse LINE 20 COL 72 BACKGROUND-COLOR 0 FOREGROUND- COLOR 7 HIGHLIGHT PIC X USING wreponse.
display "return-code = " at line 6 col 10 return-code at line 6 col 26 display "wreturn-code = " at line 7 col 10 wreturn-code at line 7 col 26 if return-code = 57 ? then
call "doct" ? ?
cancel "doct" on appelle « dbin » en lui passant
l’adresse du S/P « dhex » qu’on a
end-if mis dans wad-dhex avec SET.
display goctal « dbin » se servira de cette adresse display gbinaire pour appeler « dhex » display ghexa
accept greponse ?
end-perform appel de « doct » (interne) sans passer stop run. de paramètres qui sont globaux.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. doct initial. DATA DIVISION.
WORKING-STORAGE SECTION. ?
77 i pic 9 value 0. on vérifie le code de retour renvoyé
77 wdividende pic 9(6)value 0. par « dbin » au moyen de la commande
77 wdiviseur pic 9(6)value 8. exit program returning.. : comme le
77 wquotient pic 9(6)value 0. call de « dbin » ne contenait pas de
77 wreste pic 9(7)value 0. returning , l’information retournée PROCEDURE DIVISION. se met dans le RETURN-CODE.
10. (on a mis la valeur 9 dans le code
move 0 to woctal retour mais celui-ci contient 57 qui move wdecimal to wquotient est en fait le code ASCII de « 9 » perform until wquotient <= 0 en décimal) move wquotient to wdividende divide wdividende by wdiviseur giving wquotient remainder wreste
compute woctal = woctal+ wreste * (10 ** I)
add 1 to i end-perform exit program.
end program doct.end program converbe. *$set RTNCODE-SIZE"4"
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. dbin initial.
DATA DIVISION.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 i pic 9(6) value 0. 77 wdividende pic 9(6)value 0.
77 wdiviseur pic 9(6)value 2.
77 wquotient pic 9(6)value 0. 77 wreste pic 9 value 0. 1 wresultat.
3 wresu pic 9(18)value 0.
1 wdecimal pic 9(6) external.
1 lad-i usage is pointer.
1 werreur pic 9 value 0.
linkage section.
1 lbina.
3 pic x(18).
3 lresu pic 9(18).
1 ladresse-dhex usage is procedure-pointer.
PROCEDURE DIVISION using lbina ladresse-dhex.
10. move zero to lbina move wdecimal to wquotient perform until wquotient <= 0 move wquotient to wdividende divide wdividende by wdiviseur giving wquotient remainder wreste compute lresu = lresu + wreste * (10 ** I)
add 1 to i end-perform
call ladresse-dhex returning into lad-i
move 9 to werreur exit program returning werreur.
IDENTIFICATION DIVISION.
PROGRAM-ID. dhex initial.
DATA DIVISION.
WORKING-STORAGE SECTION.
77 i pic 9 value 5.
77 wdividende pic 9(6) value 0.
77 wdiviseur pic 9(6) value 16.
77 wquotient pic 9(6) value 0.
77 wreste pic 99 value 0.
1 wdecimal external pic 9(6).
1 whexa external pic x(5).
PROCEDURE DIVISION.
10. move zero to whexa move wdecimal to wquotient perform until wquotient <= 0 move wquotient to wdividende divide wdividende by wdiviseur giving wquotient remainder wreste
evaluate wreste when 0 thru 9 move wreste(2:1) to whexa(i:1)
when 10 move "A" to whexa(i:1)
when 11 move "B" to whexa(i:1)
when 12 move "C" to whexa(i:1)
when 13 move "D" to whexa(i:1)
when 14 move "E" to whexa(i:1)
when 15 move "F" to whexa(i:1) end-evaluate subtract 1 from i end-perform exit program returning address of i.