Comment régler la grille et les caméras de Blender pour dessiner à l’échelle? VVPix v1.00

Apprendre comment régler la grille et les caméras de Blender pour dessiner à l’échelle
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La 3D, acronyme de 3 dimensions, est par déformation la désignation d'une façon de produire des graphismes en utilisant les 3 dimensions, nommées généralement X, Y et Z. Ainsi, la 3D permet à son utilisateur de créer diverses formes dans l'espace, mais également de leur donner une couleur, des propriétés, etc. La 3D fonctionne sur un principe simple: il existe des points dans l'espace, dont certains sont reliés par des arêtes, et le tout forme parfois des faces, lorsque 3 arêtes ou plus sont reliées.
Par convention, mais également pour des raisons de propreté au niveau du travail, une face ne doit pas avoir plus de 4 côtés. Il est possible d'en faire plus, mais il est nettement plus facilement de faire de graves erreurs après. De plus, il faut savoir que, suivant les logiciels utilisés, on utilise soit des faces à 3 côtés, soit des faces à 4 côtés. Blender fait partie des nombreux logiciels qui favorisent les faces à 4 côtés. Il faudra donc s'y atteler dans la mesure du possible. Malheureusement, il existe certaines formes qu'il est impossible de faire avec des faces à 4 côtés, notamment des cylindres, et plus généralement de tout ce qui présente une forme circulaire. Notez tout de même que la 3D nécessite quelques bases, comme les notions de faces, d'arêtes, ou de points. Et quelques principes plus avancés pourront être énoncés dans ce livre, mais sans pour autant être fondamentaux: ils seront dans la plupart des cas présentés en ayant pour objectif de donner une information complémentaire, pour "ceux que ça intéresse".
Un petit peu de vocabulaire
En 3D, on note un certain nombre de vocabulaire, utilisé très couramment. Voici les principaux.
Maillage : ensemble de points, d'arêtes et de faces.
Mesh : maillage formant un ensemble cohérent.
Texture : image apparaissant sur un objet.
Matériel : couleurs, propriétés liées à l'aspect final (effet de transparence, de miroir), et textures d'un ou de plusieurs objets.
Modificateur : outil permettant une modification semi-automatique ou automatique d'un maillage afin d'effectuer une action longue et/ou répétitive.
Contrainte : outil permettant de limiter les possibilités de modification d'un objet afin de les bloquer et faciliter l'édition.
Rendu : calcul qui permettra de créer une image finalisée du projet.
Objet : mesh ou entité (lumière, caméra) comportant des propriétés diverses.
Scène : ensemble d'objets.
Qu'est-ce que je peux faire en 3D ?
Théoriquement, il est possible de tout faire.
En vérité, la 3D et Blender ne sont que des outils, et bien souvent, le facteur limitant réside en les compétences de l'utilisateur. Ainsi, il a très peu de choses qu'il est impossible de faire en 3D, il suffit juste souvent de beaucoup de patience et de savoir-faire.
Qu'est-ce que Blender ?
Un logiciel réputé et performant
Même si vous vous doutez que Blender est un logiciel capable de faire de la 3D, il y a de nombreuses
fonctionnalités qui différencient les différentes logiciels du secteur:
L'édition par maillage, ou par courbes de Bézier
Différents moteurs de rendus intégrés: Internal (basique), Cycles (photoréaliste), Game (jeux)
Un système d'édition vidéo, de rendu nodal
Une interface graphique pour le mapping
Un support solide de plugins
Une grande personnalisation
La possibilité de scripter (en Python)
Et des nombreuses autres...
Projets officiels
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Installation pour les distributions de GNU/Linux basées sur Debian
Introduction
L'archive sur le site officiel, bien que plus récente, n'offre pas une réelle intégration au système. Selon les distributions GNU/Linux, il existe un système d'installation qui permet, à la condition d'avoir le droit d'installer des logiciels (souvent, cela signifie un accès au compte root, ou un utilisateur qui figure dans le fichier sudoers). Ce système possède plusieurs avantages: il garantit la mise à jour automatique de l'application lors des mises à jour du système, permet une intégration totale à l'environnement de bureau que vous utilisez (si vous en utilisez un, naturellement) et évite les problèmes de dépendances. L'inconvénient, c'est qu'il est possible que la version du site officiel soit plus récente. (Par exemple, au moment où ces lignes sont écrites, les dépôts Debian n'ont que la 2.61, alors que le site officiel propose la 2.63. Vu la différence de numéro de version, il y a cependant fort à parier qu'il ne s'agit que de modifications mineures telles que des ajouts de "petites" fonctionnalités et correctifs de bugs. L'ensemble de l'interface devrait être quasi identique. Plus d'infos ici: Blender 2.63. Ne connaissant que la distribution Debian, je vais indiquer ici la marche à suivre pour cette distribution, mais il est à noter que la procédure devrait fonctionner pour toutes les distributions basées sur Debian, telles qu'Ubuntu.
Je vais également détailler la procédure en ligne de commande, parce qu'il est plus simple d'indiquer les commandes à saisir que de décrire l'arborescence des menu d'un logiciel. En plus, la seule chose commune aux utilisateurs de GNU/Linux, c'est la ligne de commande. Les logiciels graphiques ayant tendance à proliférer, chacun avec ses spécificités...
En bref, les étapes sont:
- vérification de la présence d'une version suffisamment récente dans les dépôts
- vérification que les dépôts activés sur la machine possèdent une version qui nous intéresse
- si ce n'est pas le cas, configuration de ces dits dépôts
- installation
Utiliser un terminal
Préalablement à toute manipulation, il va falloir lancer ce que l'on appelle un émulateur de terminal, ou une console (TTY). Les environnements de bureau (KDE, Gnome, XFCE...) et les configurations pouvant changer d'une machine à l'autre, en fonction des préférences de l'utilisateur, je vais essayer d'être le plus général possible. Pour cela, je vais décrire 3 méthodes différentes, de la plus simple d'accès (mais moins universelle) à un débutant à la plus déstabilisante (on ne peux pas vraiment parler de compliquée...). Une fois l'une des 3 méthodes que je décris par la suite suivie, vous aurez ce que l'on appelle une console. La console vous affichera quelque chose du genre " ", mais le sujet n'étant pas ici de faire un tutoriel sur la ligne de commande, je n'expliciterais pas. Cependant, je vais tout de même signaler un point: par convention, on (et par défaut le système aussi) utilise le $ pour indiquer les commandes à faire par l'utilisateur normal, tandis que celles du super-utilisateur (ou "root") sont préfixées d'un #. Ces caractères ne sont pas à saisir ! Ce ne sont que des repères qui apparaissent également sur la console elle-même. A noter qu'il est tout à fait possible de faire ces manipulation au travers d'interfaces classiques, mais il est plus simple d'expliquer comment faire en ligne de commande, parce que cette technique est identique partout. C'est d'ailleurs pourquoi sur les forums et articles très peu de gens évoquent les logiciels comme synaptic, qui font la même chose, en moins puissant mais plus simple.
Méthode visuelle
Ce que j'appelle la méthode visuelle est celle qui est le moins générique de toutes: trouver sur votre bureau et/ou dans votre menu un émulateur de terminal. En général, il s'agit d'une icône représentant une fenêtre noire avec un $ à l'intérieur. Mais comme les icônes changent selon les goûts des gens... Le nom peut contenir soit "console", "terminal" ou tout autre synonyme.
Méthode clavier graphique
Ici, je parle d'utiliser un raccourcis clavier qui vous permettra de lancer ce fameux émulateur sans toucher à la souris, et donc sans avoir à chercher sur votre bureau une icône ou un texte. Les environnements de bureau on une application qui sers à en lancer d'autres en saisissant leur nom. Le nom peut très bien être "launcher", "starter"... aucune idée. Généralement, une telle application est liée à un raccourcis clavier. Pour XFCE, c'est Alt + F2 . Je crois que pour gnome aussi, et pour KDE je n'en ai aucune idée. Dans la ligne de saisie, entrez simplement "x-terminal-emulator" (émulateur de terminal pour X, qui est le logiciel qui vous permet d'avoir du graphisme avec linux) et votre émulateur apparaîtra.
Méthode clavier TTY
TTY, c'est le diminutif de Text TeletYpe. Il s'agit en fait de l'interface première de Debian (et d'ailleurs, de la seconde interface historique des ordinateurs, la première étant des fiches perforées).
Pour sortir de ce "mode", il faut utiliser le raccourcis clavier suivant: Ctrl + Alt + Fx avec Fx correspondant aux touches F7 ou F8 (selon la configuration de votre machine). Pour y entrer, c'est la même chose, mais avec les touches de F1 à F6 . Une fois cette combinaison de touches faite, vous ne verrez plus qu'un terminal noir avec du texte blanc. C'est moche et peut faire peur, mais rassurez-vous, c'est moins difficile à utiliser que cela ne le semble. La machine devrait afficher "login:" afin de vous demander votre nom d'utilisateur. Ensuite, elle vous demandera votre mot de passe. Notez qu'au fur et à mesure de la frappe, rien ne s'affichera (pas même les astérisques habituelles), c'est tout à fait normal, il s'agit d'une mesure de sécurité (que je trouve personnellement moyennement utile sur une machine familiale, mais Debian n'est pas que pour les machines de ce type). A noter que vous aurez quitté (temporairement) le mode graphique, et que donc la souris est inutilisable dans ce mode.
Vérifications
Maintenant que j'ai résumé les intérêts et les grandes lignes de ce type d'installation, le détail de la procédure: Vérification de la présence du paquet dans les dépôts sources: Il suffit d'aller sur cette URL pour Debian: Blender sur le site des packages Debian. Le premier résultat ("Paquet blender") étant celui qui nous intéresse, on y va directement. Il y a plusieurs entrées, assez explicites. Vous noterez que selon l'architecture de votre machine, les versions disponibles ne sont pas les mêmes. Si vous ne savez pas quelle est celle de votre machine, il y a très fort à parier qu'il s'agit d'une des plus répandues pour les ordinateurs de bureau: amd64 ou i386 (pour les tablettes, il s'agit de armel). Blender 2.6x est donc disponible (à l'heure de l'écriture de cette page, la dernière version disponible pour Debian est 2.63a-1) à partir du dépôt "wheezy" (aka: testing).
Pour vérifier que le dépôt qui nous intéresse (wheezy ou testing) est activé, il faut afficher le fichier "/etc/apt /sources.list" pour cela tapez: $cat /etc/apt/sources.list et cherchez une entrée qui ressemble à deb testing main (si il y a aussi les termes contrib et/ou non-free, ce n'est pas gênant). Pour les prochaines étapes, on va avoir besoin des droits du super-utilisateur (que j'appellerai "root" maintenant. Déjà, c'est son nom habituel, ensuite, c'est plus court), les manipulations suivantes doivent être effectuées avec prudence, comme toujours quand on doit utiliser le compte root
Selon votre machine, il y a 2 façons d'accéder au compte root:
"$su" suivi du mot de passe root
"$sudo su" (certaines installations désactivent le compte root donc on doit passer par un sudo) suivi de VOTRE mot de passe
Si ça a fonctionné, vous devriez donc avoir une invite (le texte avant le curseur) qui ressemble à ça: " ". Notez le # qui indique que l'on utilise le compte root et qu'il faut être prudent (c'est à dire, ne saisir que des choses que l'on comprend. Si on ne comprend pas une commande, il y a internet et la commande "man commande_que_je_n_ai_pas_comprise) ! Si cette entrée n'existe pas, nous allons devoir l'ajouter. Si elle existe, il est inutile de suivre les instructions suivantes, jusqu'à l'installation proprement dite. Note: Dans mon exemple, j'ai préféré utiliser le nom générique de la distribution dite "testing". Il est aussi possible que le nom utilisé soit le "nom de baptême" de la version. Je vous renvoie à wikipédia pour le nom de l'actuelle testing : Debian : Historique des versions (à l'heure de l'écriture de ces lignes, c'est wheezy)
Ajout de l'entrée
#echo deb
Afin d'éviter une mise à jour complète du système, il convient de configurer le système pour qu'il ne prenne que blender de ce dépôt plus récent (mon but n'est pas de vous faire changer la version de votre OS). Cette pratique s'appelle "apt-pinning" pour les intéressés. Cette configuration consiste à ajouter les lignes suivantes dans le fichier "/etc/apt/preferences" (le créer s'il n'existe pas) au moyen d'un éditeur de texte. Debian installe par défaut nano et vim-tiny, mais si vous ne maîtrisez pas vim (probable, si vous lisez ces lignes), je vous conseille chaudement nano (plus simple à utiliser.). Ou vous pouvez utiliser la technique utilisée dans la dernière commande: "#echo ligne à ajouter au fichier >> fichier à modifier". A vous de voir.
Les lignes à ajouter sont celles-ci:
Package: *
Pin: release a=stable
Pin-Priority: 850
Package: *
Pin: release a=testing
Pin-Priority: 800
Package: Blender*
Pin: release a=testing
Pin-Priority: 855
Il faut maintenant mettre votre système à jour (ce qui permet de prendre en compte le fait qu'un dépôt aie été ajouté) via la commande suivante: #aptitude update (vous pouvez aussi utiliser #apt-get update, c'est une question de goûts)
Installation
Pour l'installation, rien de plus simple, il suffit d'un: #aptitude install blender (encore une fois, on peut aussi faire apt-get install blender, question de goûts, toujours) Votre installation est maintenant terminée, et il n'y a plus qu'a lancer blender de la même façon que vous lanceriez n'importe quelle autre application (vous pouvez aussi vous amuser à le lancer a partir du terminal si vous n'avez pas utilisé de TTY, il suffit de taper "$blender" pour ça.)
Un aperçu de l'interface de Blender
Introduction
Alors, maintenant que vous avez téléchargé un nouveau logiciel, il est temps d'apprendre à l'utiliser et la première étape, c'est de savoir se repérer dans l'interface de Blender. Je vais alors vous demander d'ouvrir Blender (si ce n'est pas déjà fait) et là, surprise !!! Blender est en anglais. Pour certains c'est la catastrophe, pour d'autres non. Hé oui, Blender est en anglais, mais ce n'est pas grave, vous allez vous y habituer (je sais ce que je dis, j'ai eu la même réaction lorsque j'ai ouvert pour la première fois Blender, sauf que je savais qu'il était en anglais, c'est un peu différent, mais on s'y fait). Heureusement, pour les allergiques à l'anglais, une traduction est disponible, et il y a même un tutoriel. Attention tout de même, le livre est fait avec la version anglaise, car la traduction pourrait être supprimée dans les prochaines versions ! La langue, finalement, n'a pas beaucoup d'importance, on repère plus les boutons à leur position qu'à leur nom... L'interface de Blender a été grandement chamboulée depuis les versions 2.4x. Nouveau design, nouvel emplacement pour les fonctions, nouveaux outils... Mais ce n'est pas grave, et si la nouvelle interface de Blender a beaucoup changé pour les habitués de Blender 2.4x, il va falloir montrer que l'on est plus fort qu'un simple changement d'interface !
L'interface
Vous pouvez voir sur le schéma ci-contre plusieurs mini-fenêtres. Chacune a une fonction particulière :
- La vue 3D : C'est notre "zone de travail". C'est ici que nous allons créer les figures 3D.
- La palette d'outils : On trouvera ici les principaux outils que l'on va utiliser.
- La palette des propriétés : On trouvera les propriétés des couleurs, des objets.
- La hiérarchie : Ici, tous les objets de la scène sont classés.
- Les menus : Je pense que vous aviez trouvé tout seuls...
- La barre d'édition : Ce sont tous les outils dont on a besoin dans la vue 3D...
La barre d'animation (ou ligne de temps) : Cette partie regroupe les outils d'animations les plus courants (comme la timeline, la grande bande).
Vous avez pu remarquer qu'une autre fenêtre de code s'est ouverte en même temps que celle de Blender. C'est une console Python (si vous utilisez Windows. Il est possible que certaines distributions GNU/Linux l'affichent également, mais pas toutes : par exemple Debian ne l'affiche pas). Normalement, elle se ferme dès que Blender a fini de se charger. Python est un langage de programmation, voici ci-dessous le lien vers l'article sur Wikipédia : L'article sur Python sur Wikipédia.
Est-ce que cela veut dire qu'il faut savoir programmer en Python pour utiliser Blender ?
Non, bien sûr que non, il n'est pas obligatoire de connaître Python pour utiliser Blender. On peut utiliser Blender différemment, c'est tout. Moi, par exemple, je n'utilise pas du tout Python dans Blender (surtout que je ne sais pas coder en python, mais vous ferez comme si je n'avait rien dit, hein) et cela ne m'empêche pas de l'utiliser. Donc, aucun souci, pas de programmation en vue !
Les Boutons de la Vue 3D
Nous allons nous intéresser à la capture d'écran ci-contre. Sur la page de démarrage, vous voyez un cube, entouré d'une bordure orange, et au centre, trois flèches. Elles symbolisent trois axes, que nous verrons plus profondément dans le chapitre suivant. La vue 3D est un espace où nous pourrons déplacer, redimensionner et tourner les formes primaires comme le cube, le plan, la sphère, l'icosphère, le cône ou le cylindre. (Ce sera d'ailleurs le sujet d'un prochain TP , mais chuuut...) Nous avons présenté la page de démarrage de Blender, mais en dessous de la Vue 3D, il y a une barre pleine de boutons. Nous allons nous y intéresser de plus près, pour cela, regardez la capture ci-dessous... Cette capture d'écran a été modifiée par ajout de couleur pour repérer les contrôles décris ci-dessous.
Rouge : Type de fenêtre, ici, Vue 3D (3D View)
Jaune foncé : Permet de cacher la sélection vert clair
Vert clair : Ce sont les menus qui proposent les options pour la Vue 3D (View), pour la sélection (Select) et pour les objets sélectionnés (Object)
Bleu clair : C'est le bandeau déroulant qui permet d'avoir accès à plusieurs modes :
Le Mode Objet ou Object Mode permet d'avoir accès aux opérations sur les objets entiers, on ne s'occupe donc pas du maillage
Le Mode Edition ou Edit Mode permet d'avoir accès aux opérations sur le maillage
Le Mode Sculpture ou Sculpt Mode permet de sculpter le maillage, c'est très utile
Le Mode Peinture sur Sommets ou Vertex Paint permet de peindre une couleur sur les sommets des objets
Le Mode Peinture de Texture ou Texture Paint permet de peindre des textures sur les objets (à condition d'avoir une UVTexture
Il existe d'autres modes mais on utilisera surtout ces 5 premiers modes
Rose : Permet de changer de style d'affichage :
Solide : Permet de voir le volume (on l'utilise tout le temps)
Wireframe : Permet de voir le maillage (très utile pour la modélisation)
Bounding Box : Permet de voir les objets sous forme de boîtes (pas très utilisé, mais on peut en avoir besoin)
Textured : Permet de voir les textures et les zones éclairées (très utile pour les textures et les réglages de luminosité)
Violet : Permet de changer le centre de rotation.
Active Element : Permet que l'élément actif soit le centre de rotation. S'il y a plusieurs éléments sélectionnés, ce sera l'objet sélectionné en premier qui sera le centre de rotation.
Median Point : Permet, s'il y a plusieurs objets sélectionnés, de définir le centre de rotation à égale distance de l'origine des différents objets.
Individual Origins : Permet, s'il y a plusieurs objets sélectionnés, que le centre de rotation soit au centre de chaque objet. Ainsi, chaque objet sélectionné a son centre de rotation.
3D Cursor : Permet de placer le centre de rotation à la place du curseur 3D.
Bounding Box : Permet de mettre le centre de chaque objet sélectionné à la place du centre d'une boîte imaginaire qui englobe l'objet.